Festival du Boeuf
Festival du Boeuf : quand la viande charolaise atteint son public !

Le 25e Festival du Boeuf a tenu toutes ses promesses. Plus de 4.000 personnes se sont rendues à cet événement incontournable de la filière charolaise. D’année en année, la manifestation s’enrichit pour mieux promouvoir la viande et l’élevage charolais.

Festival du Boeuf : quand la viande charolaise atteint son public !

Les 25 ans du Festival du Bœuf ont été fêtés en beauté. Une fois de plus, la manifestation a tenu toutes ses promesses avec un bilan de nouveau excellent : une fréquentation en hausse à plus de 4.000 entrées estimées ; 1.400 repas servis rien que par le traiteur Dansart, auxquels il faut ajouter les burgers préparés par Le Pré d’Union ; 300 repas servis le samedi… Et il faut signaler aussi les 500 déjeuners offerts par les chevilles à leurs nombreux clients venus spécialement pour le concours de bovins de boucherie (lire en page 5).

Fidèle à ses racines, le Festival du Bœuf changeait cependant d’allure cette année grâce à la nouvelle infrastructure mise à disposition par la Ville de Charolles. Incontestablement, la manifestation y a gagné en termes de confort, d’espaces et de circulation. Ce fut plus particulièrement notable pour la restauration et le concours de vitrines des apprentis bouchers, deux événements qui prennent place désormais dans le bâtiment neuf.

52 apprentis bouchers en compétition !

Le concours de vitrine réunissait cette année 52 jeunes concurrents issus de 26 établissements de formation du Nord de la France à La Corse en passant par la Loire-Atlantique et la Suisse. Comme le soulignait Pascal Moine, président des bouchers de Saône-et-Loire, « c’est le plus grand concours national d’apprentis boucher ouvert au public et le premier concours qui participe au meilleur apprenti de France ». Organisé par l’Institut Charolais et le syndicat de la boucherie avec le soutien d’Interbev, de Charolais Viande, de Bigard, de la Chambre des métiers et de l’OS Charolais France, le concours de vitrine a pour président de Jury Romain Leboeuf, meilleur ouvrier de France 2015. Aux côtés des apprentis, on pouvait également admirer l’équipe de France de la boucherie qui prépare le championnat du monde qui aura lieu en septembre prochain en Californie. Le travail des bouchers, apprentis ou expérimentés, a beaucoup plu au public et la remise des prix aux jeunes fut une nouvelle fois très applaudie.

Echanges, animations, dégustations…

Comme il avait su le faire avec son concours de vitrine, le Festival innovait encore cette année avec un concours des viandes charolaises d’excellence (lire encadré). « Une suite logique », présentait le président de la société d’agriculture Gilles Degueurce. Ce premier essai, qui s’est clos par une remise des prix où l’on a vu quatre signes de qualité charolais réunis sur une même scène, est un symbole fort. Une initiative ambitieuse qui s’inscrit pleinement dans le parti pris du « village viande » créé au Festival l’an dernier. Reconduit cette année, cet espace réunissant tous les acteurs de la filière charolaise a parfaitement rempli son rôle au carrefour des voies reliant la restauration et les bovins de boucherie. Echanges, animations, dégustations… y sont allés bon train. Très actifs, les membres de l’Ambassade du Charolais ont accompagné 30 visites guidées sur le site, lesquelles ont été très appréciées.

Emission radio et court-métrage !

Samedi, la société d’agriculture a participé à plusieurs tables rondes diffusées sur Radio Cactus. Enfin, sur l’écran géant du « village viande », les visiteurs ont été captivés par un court-métrage qui tournait en boucle. Il s’agit d’un film produit et joué par le comédien Fabrice Deville. Présent au Festival pour la seconde fois cette année, l’acteur de la série « Un si Grand Soleil » sur France 2 a voulu offrir à la profession « une promotion décalée du travail d’éleveur ». Un court-métrage décapant, tourné à Vaudebarrier, qui a visiblement fait mouche auprès du public et notamment des éleveurs qui sont venus féliciter et remercier chaleureusement le comédien.

Festival du Boeuf : quand la viande charolaise atteint son public !

Les 25 ans du Festival du Bœuf ont été fêtés en beauté. Une fois de plus, la manifestation a tenu toutes ses promesses avec un bilan de nouveau excellent : une fréquentation en hausse à plus de 4.000 entrées estimées ; 1.400 repas servis rien que par le traiteur Dansart, auxquels il faut ajouter les burgers préparés par Le Pré d’Union ; 300 repas servis le samedi… Et il faut signaler aussi les 500 déjeuners offerts par les chevilles à leurs nombreux clients venus spécialement pour le concours de bovins de boucherie (lire en page 5).

Fidèle à ses racines, le Festival du Bœuf changeait cependant d’allure cette année grâce à la nouvelle infrastructure mise à disposition par la Ville de Charolles. Incontestablement, la manifestation y a gagné en termes de confort, d’espaces et de circulation. Ce fut plus particulièrement notable pour la restauration et le concours de vitrines des apprentis bouchers, deux événements qui prennent place désormais dans le bâtiment neuf.

52 apprentis bouchers en compétition !

Le concours de vitrine réunissait cette année 52 jeunes concurrents issus de 26 établissements de formation du Nord de la France à La Corse en passant par la Loire-Atlantique et la Suisse. Comme le soulignait Pascal Moine, président des bouchers de Saône-et-Loire, « c’est le plus grand concours national d’apprentis boucher ouvert au public et le premier concours qui participe au meilleur apprenti de France ». Organisé par l’Institut Charolais et le syndicat de la boucherie avec le soutien d’Interbev, de Charolais Viande, de Bigard, de la Chambre des métiers et de l’OS Charolais France, le concours de vitrine a pour président de Jury Romain Leboeuf, meilleur ouvrier de France 2015. Aux côtés des apprentis, on pouvait également admirer l’équipe de France de la boucherie qui prépare le championnat du monde qui aura lieu en septembre prochain en Californie. Le travail des bouchers, apprentis ou expérimentés, a beaucoup plu au public et la remise des prix aux jeunes fut une nouvelle fois très applaudie.

Echanges, animations, dégustations…

Comme il avait su le faire avec son concours de vitrine, le Festival innovait encore cette année avec un concours des viandes charolaises d’excellence (lire encadré). « Une suite logique », présentait le président de la société d’agriculture Gilles Degueurce. Ce premier essai, qui s’est clos par une remise des prix où l’on a vu quatre signes de qualité charolais réunis sur une même scène, est un symbole fort. Une initiative ambitieuse qui s’inscrit pleinement dans le parti pris du « village viande » créé au Festival l’an dernier. Reconduit cette année, cet espace réunissant tous les acteurs de la filière charolaise a parfaitement rempli son rôle au carrefour des voies reliant la restauration et les bovins de boucherie. Echanges, animations, dégustations… y sont allés bon train. Très actifs, les membres de l’Ambassade du Charolais ont accompagné 30 visites guidées sur le site, lesquelles ont été très appréciées.

Emission radio et court-métrage !

Samedi, la société d’agriculture a participé à plusieurs tables rondes diffusées sur Radio Cactus. Enfin, sur l’écran géant du « village viande », les visiteurs ont été captivés par un court-métrage qui tournait en boucle. Il s’agit d’un film produit et joué par le comédien Fabrice Deville. Présent au Festival pour la seconde fois cette année, l’acteur de la série « Un si Grand Soleil » sur France 2 a voulu offrir à la profession « une promotion décalée du travail d’éleveur ». Un court-métrage décapant, tourné à Vaudebarrier, qui a visiblement fait mouche auprès du public et notamment des éleveurs qui sont venus féliciter et remercier chaleureusement le comédien.

Festival du Boeuf : quand la viande charolaise atteint son public !

Les 25 ans du Festival du Bœuf ont été fêtés en beauté. Une fois de plus, la manifestation a tenu toutes ses promesses avec un bilan de nouveau excellent : une fréquentation en hausse à plus de 4.000 entrées estimées ; 1.400 repas servis rien que par le traiteur Dansart, auxquels il faut ajouter les burgers préparés par Le Pré d’Union ; 300 repas servis le samedi… Et il faut signaler aussi les 500 déjeuners offerts par les chevilles à leurs nombreux clients venus spécialement pour le concours de bovins de boucherie (lire en page 5).

Fidèle à ses racines, le Festival du Bœuf changeait cependant d’allure cette année grâce à la nouvelle infrastructure mise à disposition par la Ville de Charolles. Incontestablement, la manifestation y a gagné en termes de confort, d’espaces et de circulation. Ce fut plus particulièrement notable pour la restauration et le concours de vitrines des apprentis bouchers, deux événements qui prennent place désormais dans le bâtiment neuf.

52 apprentis bouchers en compétition !

Le concours de vitrine réunissait cette année 52 jeunes concurrents issus de 26 établissements de formation du Nord de la France à La Corse en passant par la Loire-Atlantique et la Suisse. Comme le soulignait Pascal Moine, président des bouchers de Saône-et-Loire, « c’est le plus grand concours national d’apprentis boucher ouvert au public et le premier concours qui participe au meilleur apprenti de France ». Organisé par l’Institut Charolais et le syndicat de la boucherie avec le soutien d’Interbev, de Charolais Viande, de Bigard, de la Chambre des métiers et de l’OS Charolais France, le concours de vitrine a pour président de Jury Romain Leboeuf, meilleur ouvrier de France 2015. Aux côtés des apprentis, on pouvait également admirer l’équipe de France de la boucherie qui prépare le championnat du monde qui aura lieu en septembre prochain en Californie. Le travail des bouchers, apprentis ou expérimentés, a beaucoup plu au public et la remise des prix aux jeunes fut une nouvelle fois très applaudie.

Echanges, animations, dégustations…

Comme il avait su le faire avec son concours de vitrine, le Festival innovait encore cette année avec un concours des viandes charolaises d’excellence (lire encadré). « Une suite logique », présentait le président de la société d’agriculture Gilles Degueurce. Ce premier essai, qui s’est clos par une remise des prix où l’on a vu quatre signes de qualité charolais réunis sur une même scène, est un symbole fort. Une initiative ambitieuse qui s’inscrit pleinement dans le parti pris du « village viande » créé au Festival l’an dernier. Reconduit cette année, cet espace réunissant tous les acteurs de la filière charolaise a parfaitement rempli son rôle au carrefour des voies reliant la restauration et les bovins de boucherie. Echanges, animations, dégustations… y sont allés bon train. Très actifs, les membres de l’Ambassade du Charolais ont accompagné 30 visites guidées sur le site, lesquelles ont été très appréciées.

Emission radio et court-métrage !

Samedi, la société d’agriculture a participé à plusieurs tables rondes diffusées sur Radio Cactus. Enfin, sur l’écran géant du « village viande », les visiteurs ont été captivés par un court-métrage qui tournait en boucle. Il s’agit d’un film produit et joué par le comédien Fabrice Deville. Présent au Festival pour la seconde fois cette année, l’acteur de la série « Un si Grand Soleil » sur France 2 a voulu offrir à la profession « une promotion décalée du travail d’éleveur ». Un court-métrage décapant, tourné à Vaudebarrier, qui a visiblement fait mouche auprès du public et notamment des éleveurs qui sont venus féliciter et remercier chaleureusement le comédien.