Génétique charolaise
En matière de génétique charolaise, la génomique est en ordre de marche

Gènes Diffusion, ElvaNovia et Valoris Charolais consacraient une journée à la sélection génomique le 31 mai à Cuzy. Quatre ans après le lancement de GD Scan, la charolaise est, avec Valoris, en ordre de marche pour une nouvelle ère.

En matière de génétique charolaise, la génomique est en ordre de marche

Le 31 mai à Cuzy avait lieu la seconde journée de l’association Valoris Charolais organisée avec l’entreprise de sélection Gènes Diffusion et la coopérative ElvaNovia. Se déroulant sous un bâtiment photovoltaïque du Gaec de Bucheleur, la réunion a bénéficié de la présence de nombreux éleveurs venus de toute la France et a largement été consacrée à la génomique.

Née sous l’égide de Gènes Diffusion et de ses coopératives adhérentes, l’association Valoris Charolais a en effet vu le jour dans le cadre des travaux menés sur le sujet par l’entreprise de sélection. Une technologie révolutionnaire qui, depuis 2009, mobilise Gènes Diffusion. L’entreprise créait ainsi, sur son siège de Lille, sa propre plate-forme génomique dès 2010 en lançant en même temps son propre programme génomique Vache/Veau. Des travaux qui débouchaient en 2014 sur le lancement commercial du tout premier outil de génotypage charolais : GD Scan. En 2015, Valoris 38 prenait la suite du programme "Vache/Veau". Dans la foulée, l’association Valoris Charolais était créée de même que le site de vente de reproducteurs génotypés en ligne genomik.fr. Une première journée de l’association Valoris Charolais était organisée dans la Loire en 2016.

21.000 charolais génotypés

Quatre ans après le lancement de GD Scan, le bilan fait état de plus de 21.000 bovins charolais génotypés, dévoilait Sébastien Landemaine de Gènes Diffusion. Une « massification » concourant à la fiabilité croissante de l’outil. Au fur et à mesure que sont mis au point de nouveaux critères de sélection génomiques, les index sont recalculés, actualisés et leur fiabilité ne cesse de progresser.

Aujourd’hui, Gènes Diffusion assure que ses index GD Scan ont « une fiabilité (CD) équivalente » aux CD de l’outil génomique Iboval. Quinze index de production et de morphologie au sevrage figurent ainsi au menu de GD Scan.

Les promesses de Valoris 38

Le programme de recherche continue d’explorer de nouveaux critères de sélection génomiques. Cinquante élevages charolais sont mis à contribution pour collecter des phénotypes de morphologie, de comportement, ou concernant des maladies néonatales…, détaillait Gérard Heumez de Gènes Diffusion. Le programme s’intéresse aussi à des critères supplémentaires autour de la reproduction, sur les aptitudes au vêlages (ouverture pelvienne, déroulement du vêlage…), sur la santé du pied ou encore la valeur laitière.

Parmi les axes prioritaires de Valoris 38 figure la reproduction (réussite à l’insémination, manifestation des chaleurs, fécondité…). Autant de caractères qui ont des incidences économiques importantes. L’élevage des veaux est aussi au programme avec le désir de « limiter la pénibilité et les tracas liés aux petits veaux (maladies, mortalité, travail…) ». La durée de gestation est également étudiée, de même que les aptitudes à téter.

 

En matière de génétique charolaise, la génomique est en ordre de marche

Le 31 mai à Cuzy avait lieu la seconde journée de l’association Valoris Charolais organisée avec l’entreprise de sélection Gènes Diffusion et la coopérative ElvaNovia. Se déroulant sous un bâtiment photovoltaïque du Gaec de Bucheleur, la réunion a bénéficié de la présence de nombreux éleveurs venus de toute la France et a largement été consacrée à la génomique.

Née sous l’égide de Gènes Diffusion et de ses coopératives adhérentes, l’association Valoris Charolais a en effet vu le jour dans le cadre des travaux menés sur le sujet par l’entreprise de sélection. Une technologie révolutionnaire qui, depuis 2009, mobilise Gènes Diffusion. L’entreprise créait ainsi, sur son siège de Lille, sa propre plate-forme génomique dès 2010 en lançant en même temps son propre programme génomique Vache/Veau. Des travaux qui débouchaient en 2014 sur le lancement commercial du tout premier outil de génotypage charolais : GD Scan. En 2015, Valoris 38 prenait la suite du programme "Vache/Veau". Dans la foulée, l’association Valoris Charolais était créée de même que le site de vente de reproducteurs génotypés en ligne genomik.fr. Une première journée de l’association Valoris Charolais était organisée dans la Loire en 2016.

21.000 charolais génotypés

Quatre ans après le lancement de GD Scan, le bilan fait état de plus de 21.000 bovins charolais génotypés, dévoilait Sébastien Landemaine de Gènes Diffusion. Une « massification » concourant à la fiabilité croissante de l’outil. Au fur et à mesure que sont mis au point de nouveaux critères de sélection génomiques, les index sont recalculés, actualisés et leur fiabilité ne cesse de progresser.

Aujourd’hui, Gènes Diffusion assure que ses index GD Scan ont « une fiabilité (CD) équivalente » aux CD de l’outil génomique Iboval. Quinze index de production et de morphologie au sevrage figurent ainsi au menu de GD Scan.

Les promesses de Valoris 38

Le programme de recherche continue d’explorer de nouveaux critères de sélection génomiques. Cinquante élevages charolais sont mis à contribution pour collecter des phénotypes de morphologie, de comportement, ou concernant des maladies néonatales…, détaillait Gérard Heumez de Gènes Diffusion. Le programme s’intéresse aussi à des critères supplémentaires autour de la reproduction, sur les aptitudes au vêlages (ouverture pelvienne, déroulement du vêlage…), sur la santé du pied ou encore la valeur laitière.

Parmi les axes prioritaires de Valoris 38 figure la reproduction (réussite à l’insémination, manifestation des chaleurs, fécondité…). Autant de caractères qui ont des incidences économiques importantes. L’élevage des veaux est aussi au programme avec le désir de « limiter la pénibilité et les tracas liés aux petits veaux (maladies, mortalité, travail…) ». La durée de gestation est également étudiée, de même que les aptitudes à téter.

 

En matière de génétique charolaise, la génomique est en ordre de marche

Le 31 mai à Cuzy avait lieu la seconde journée de l’association Valoris Charolais organisée avec l’entreprise de sélection Gènes Diffusion et la coopérative ElvaNovia. Se déroulant sous un bâtiment photovoltaïque du Gaec de Bucheleur, la réunion a bénéficié de la présence de nombreux éleveurs venus de toute la France et a largement été consacrée à la génomique.

Née sous l’égide de Gènes Diffusion et de ses coopératives adhérentes, l’association Valoris Charolais a en effet vu le jour dans le cadre des travaux menés sur le sujet par l’entreprise de sélection. Une technologie révolutionnaire qui, depuis 2009, mobilise Gènes Diffusion. L’entreprise créait ainsi, sur son siège de Lille, sa propre plate-forme génomique dès 2010 en lançant en même temps son propre programme génomique Vache/Veau. Des travaux qui débouchaient en 2014 sur le lancement commercial du tout premier outil de génotypage charolais : GD Scan. En 2015, Valoris 38 prenait la suite du programme "Vache/Veau". Dans la foulée, l’association Valoris Charolais était créée de même que le site de vente de reproducteurs génotypés en ligne genomik.fr. Une première journée de l’association Valoris Charolais était organisée dans la Loire en 2016.

21.000 charolais génotypés

Quatre ans après le lancement de GD Scan, le bilan fait état de plus de 21.000 bovins charolais génotypés, dévoilait Sébastien Landemaine de Gènes Diffusion. Une « massification » concourant à la fiabilité croissante de l’outil. Au fur et à mesure que sont mis au point de nouveaux critères de sélection génomiques, les index sont recalculés, actualisés et leur fiabilité ne cesse de progresser.

Aujourd’hui, Gènes Diffusion assure que ses index GD Scan ont « une fiabilité (CD) équivalente » aux CD de l’outil génomique Iboval. Quinze index de production et de morphologie au sevrage figurent ainsi au menu de GD Scan.

Les promesses de Valoris 38

Le programme de recherche continue d’explorer de nouveaux critères de sélection génomiques. Cinquante élevages charolais sont mis à contribution pour collecter des phénotypes de morphologie, de comportement, ou concernant des maladies néonatales…, détaillait Gérard Heumez de Gènes Diffusion. Le programme s’intéresse aussi à des critères supplémentaires autour de la reproduction, sur les aptitudes au vêlages (ouverture pelvienne, déroulement du vêlage…), sur la santé du pied ou encore la valeur laitière.

Parmi les axes prioritaires de Valoris 38 figure la reproduction (réussite à l’insémination, manifestation des chaleurs, fécondité…). Autant de caractères qui ont des incidences économiques importantes. L’élevage des veaux est aussi au programme avec le désir de « limiter la pénibilité et les tracas liés aux petits veaux (maladies, mortalité, travail…) ». La durée de gestation est également étudiée, de même que les aptitudes à téter.

 

En matière de génétique charolaise, la génomique est en ordre de marche

Le 31 mai à Cuzy avait lieu la seconde journée de l’association Valoris Charolais organisée avec l’entreprise de sélection Gènes Diffusion et la coopérative ElvaNovia. Se déroulant sous un bâtiment photovoltaïque du Gaec de Bucheleur, la réunion a bénéficié de la présence de nombreux éleveurs venus de toute la France et a largement été consacrée à la génomique.

Née sous l’égide de Gènes Diffusion et de ses coopératives adhérentes, l’association Valoris Charolais a en effet vu le jour dans le cadre des travaux menés sur le sujet par l’entreprise de sélection. Une technologie révolutionnaire qui, depuis 2009, mobilise Gènes Diffusion. L’entreprise créait ainsi, sur son siège de Lille, sa propre plate-forme génomique dès 2010 en lançant en même temps son propre programme génomique Vache/Veau. Des travaux qui débouchaient en 2014 sur le lancement commercial du tout premier outil de génotypage charolais : GD Scan. En 2015, Valoris 38 prenait la suite du programme "Vache/Veau". Dans la foulée, l’association Valoris Charolais était créée de même que le site de vente de reproducteurs génotypés en ligne genomik.fr. Une première journée de l’association Valoris Charolais était organisée dans la Loire en 2016.

21.000 charolais génotypés

Quatre ans après le lancement de GD Scan, le bilan fait état de plus de 21.000 bovins charolais génotypés, dévoilait Sébastien Landemaine de Gènes Diffusion. Une « massification » concourant à la fiabilité croissante de l’outil. Au fur et à mesure que sont mis au point de nouveaux critères de sélection génomiques, les index sont recalculés, actualisés et leur fiabilité ne cesse de progresser.

Aujourd’hui, Gènes Diffusion assure que ses index GD Scan ont « une fiabilité (CD) équivalente » aux CD de l’outil génomique Iboval. Quinze index de production et de morphologie au sevrage figurent ainsi au menu de GD Scan.

Les promesses de Valoris 38

Le programme de recherche continue d’explorer de nouveaux critères de sélection génomiques. Cinquante élevages charolais sont mis à contribution pour collecter des phénotypes de morphologie, de comportement, ou concernant des maladies néonatales…, détaillait Gérard Heumez de Gènes Diffusion. Le programme s’intéresse aussi à des critères supplémentaires autour de la reproduction, sur les aptitudes au vêlages (ouverture pelvienne, déroulement du vêlage…), sur la santé du pied ou encore la valeur laitière.

Parmi les axes prioritaires de Valoris 38 figure la reproduction (réussite à l’insémination, manifestation des chaleurs, fécondité…). Autant de caractères qui ont des incidences économiques importantes. L’élevage des veaux est aussi au programme avec le désir de « limiter la pénibilité et les tracas liés aux petits veaux (maladies, mortalité, travail…) ». La durée de gestation est également étudiée, de même que les aptitudes à téter.

 

En matière de génétique charolaise, la génomique est en ordre de marche

Le 31 mai à Cuzy avait lieu la seconde journée de l’association Valoris Charolais organisée avec l’entreprise de sélection Gènes Diffusion et la coopérative ElvaNovia. Se déroulant sous un bâtiment photovoltaïque du Gaec de Bucheleur, la réunion a bénéficié de la présence de nombreux éleveurs venus de toute la France et a largement été consacrée à la génomique.

Née sous l’égide de Gènes Diffusion et de ses coopératives adhérentes, l’association Valoris Charolais a en effet vu le jour dans le cadre des travaux menés sur le sujet par l’entreprise de sélection. Une technologie révolutionnaire qui, depuis 2009, mobilise Gènes Diffusion. L’entreprise créait ainsi, sur son siège de Lille, sa propre plate-forme génomique dès 2010 en lançant en même temps son propre programme génomique Vache/Veau. Des travaux qui débouchaient en 2014 sur le lancement commercial du tout premier outil de génotypage charolais : GD Scan. En 2015, Valoris 38 prenait la suite du programme "Vache/Veau". Dans la foulée, l’association Valoris Charolais était créée de même que le site de vente de reproducteurs génotypés en ligne genomik.fr. Une première journée de l’association Valoris Charolais était organisée dans la Loire en 2016.

21.000 charolais génotypés

Quatre ans après le lancement de GD Scan, le bilan fait état de plus de 21.000 bovins charolais génotypés, dévoilait Sébastien Landemaine de Gènes Diffusion. Une « massification » concourant à la fiabilité croissante de l’outil. Au fur et à mesure que sont mis au point de nouveaux critères de sélection génomiques, les index sont recalculés, actualisés et leur fiabilité ne cesse de progresser.

Aujourd’hui, Gènes Diffusion assure que ses index GD Scan ont « une fiabilité (CD) équivalente » aux CD de l’outil génomique Iboval. Quinze index de production et de morphologie au sevrage figurent ainsi au menu de GD Scan.

Les promesses de Valoris 38

Le programme de recherche continue d’explorer de nouveaux critères de sélection génomiques. Cinquante élevages charolais sont mis à contribution pour collecter des phénotypes de morphologie, de comportement, ou concernant des maladies néonatales…, détaillait Gérard Heumez de Gènes Diffusion. Le programme s’intéresse aussi à des critères supplémentaires autour de la reproduction, sur les aptitudes au vêlages (ouverture pelvienne, déroulement du vêlage…), sur la santé du pied ou encore la valeur laitière.

Parmi les axes prioritaires de Valoris 38 figure la reproduction (réussite à l’insémination, manifestation des chaleurs, fécondité…). Autant de caractères qui ont des incidences économiques importantes. L’élevage des veaux est aussi au programme avec le désir de « limiter la pénibilité et les tracas liés aux petits veaux (maladies, mortalité, travail…) ». La durée de gestation est également étudiée, de même que les aptitudes à téter.