Chevaux de trait
Pour les chevaux de trait de Saône-et-Loire, la saison des concours a été magnifique

En Saône-et-Loire, la saison des concours de chevaux de trait a pris fin les 26 août et 2 septembre avec les finales Auxois, Comtois et Percheron à Saint-Symphorien-de-Marmagne. Retour sur de magnifiques finales qui signent un retour en force du cheval de trait dans le département.

Pour les chevaux de trait de Saône-et-Loire, la saison des concours a été magnifique

La finale départementale des concours de chevaux de trait Auxois et Comtois s’est tenue le 26 août dernier à Saint-Symphorien-de-Marmagne. 49 magnifiques chevaux (30 comtois et 19 auxois) étaient réunis, illustrant le regain d’intérêt observé cette saison sur les concours de chevaux lourds organisés en Saône-et-Loire. En effet, ce sont pas moins de 350 chevaux de trait qui, in fine, ont été vus sur l’ensemble de ces neuf concours locaux : Bissey-sous-Cruchaud, Lalheue, Saint-Symphorien-de-Marmagne, Cluny, Saint-Germain-du-Bois, Etang-sur-Arroux, Ozolles, plus les deux finales départementales. Des concours qui ont à peu près tous connu une hausse de fréquentation, confie la présidente de la Fédération des éleveurs de chevaux de Trait de Saône-et-Loire (FECTSL), Béatrice Barnay. Une satisfaction pour les organisateurs qui ont pu compter sur la motivation inébranlable des éleveurs, sur un public toujours sensible à la beauté des équidés, mais aussi sur la dévotion et la bonne humeur des bénévoles, insistait la présidente.

Si l’élevage de chevaux de trait n’est toujours pas lucratif, la possibilité d’exporter quelques poulains au Japon - avec la filiale nationale Equid’Export, émanation de la SFET, Société française des équidés de travail) - a sans doute redonné un peu de moral aux éleveurs. Ce débouché a en tout cas dopé les cours. Des poulains vendus habituellement 600 € ont ainsi pu être payés jusqu’à 1.000 €, fait remarquer Béatrice Barnay.

La belle allure

Mais si ce coup de pouce économique est évidemment le bienvenu, la passion qui anime les éleveurs de chevaux de trait saône-et-loiriens a depuis longtemps prouvé qu’elle savait s’accommoder du peu de soutien dont elle bénéficie. D’ailleurs, la FECTSL fait tout son possible pour soigner ses adhérents en concours : nombreux lots, accueil convivial… Le petit monde du cheval de trait reste uni et prend soin de ses troupes. Une attention qui était palpable à Saint-Symphorien-de-Marmagne fin août et début septembre à l’occasion des finales Comtois, Auxois et Percheron. Dans une ambiance sympathique, le public a pu admirer de magnifiques présentations d’animaux.Toilettage impeccable, goudron de Norvège sur les sabots, éleveurs vêtus de blanc et cravatés : le spectacle était une fois de plus magnifique. De belle allure.  Venus de Côte-d’Or et de Franche-Comté, les juges n’ont pas manqué de féliciter les éleveurs pour leur travail. Nombre de ces spécimens ont d’ailleurs été sélectionnés pour les finales nationales de Semur-en-Auxois (Auxois) et de Maîche (Comtois).

Le 2 septembre, Saint-Symphorien-de-Marmagne était de nouveau le cadre d’une finale régionale avec 41 Percherons en provenance, cette fois, de toute la Bourgogne. Un concours régional qui aura manifestement marqué les esprits. Les éleveurs nivernais et côte-d’oriens saluant la qualité d’organisation de ce final. Les meilleurs participants ont été sélectionnés pour le championnat de France qui aura lieu au Haras du Pin, dans l'Orne, les 23 et 24 septembre.

Pour les chevaux de trait de Saône-et-Loire, la saison des concours a été magnifique

La finale départementale des concours de chevaux de trait Auxois et Comtois s’est tenue le 26 août dernier à Saint-Symphorien-de-Marmagne. 49 magnifiques chevaux (30 comtois et 19 auxois) étaient réunis, illustrant le regain d’intérêt observé cette saison sur les concours de chevaux lourds organisés en Saône-et-Loire. En effet, ce sont pas moins de 350 chevaux de trait qui, in fine, ont été vus sur l’ensemble de ces neuf concours locaux : Bissey-sous-Cruchaud, Lalheue, Saint-Symphorien-de-Marmagne, Cluny, Saint-Germain-du-Bois, Etang-sur-Arroux, Ozolles, plus les deux finales départementales. Des concours qui ont à peu près tous connu une hausse de fréquentation, confie la présidente de la Fédération des éleveurs de chevaux de Trait de Saône-et-Loire (FECTSL), Béatrice Barnay. Une satisfaction pour les organisateurs qui ont pu compter sur la motivation inébranlable des éleveurs, sur un public toujours sensible à la beauté des équidés, mais aussi sur la dévotion et la bonne humeur des bénévoles, insistait la présidente.

Si l’élevage de chevaux de trait n’est toujours pas lucratif, la possibilité d’exporter quelques poulains au Japon - avec la filiale nationale Equid’Export, émanation de la SFET, Société française des équidés de travail) - a sans doute redonné un peu de moral aux éleveurs. Ce débouché a en tout cas dopé les cours. Des poulains vendus habituellement 600 € ont ainsi pu être payés jusqu’à 1.000 €, fait remarquer Béatrice Barnay.

La belle allure

Mais si ce coup de pouce économique est évidemment le bienvenu, la passion qui anime les éleveurs de chevaux de trait saône-et-loiriens a depuis longtemps prouvé qu’elle savait s’accommoder du peu de soutien dont elle bénéficie. D’ailleurs, la FECTSL fait tout son possible pour soigner ses adhérents en concours : nombreux lots, accueil convivial… Le petit monde du cheval de trait reste uni et prend soin de ses troupes. Une attention qui était palpable à Saint-Symphorien-de-Marmagne fin août et début septembre à l’occasion des finales Comtois, Auxois et Percheron. Dans une ambiance sympathique, le public a pu admirer de magnifiques présentations d’animaux.Toilettage impeccable, goudron de Norvège sur les sabots, éleveurs vêtus de blanc et cravatés : le spectacle était une fois de plus magnifique. De belle allure.  Venus de Côte-d’Or et de Franche-Comté, les juges n’ont pas manqué de féliciter les éleveurs pour leur travail. Nombre de ces spécimens ont d’ailleurs été sélectionnés pour les finales nationales de Semur-en-Auxois (Auxois) et de Maîche (Comtois).

Le 2 septembre, Saint-Symphorien-de-Marmagne était de nouveau le cadre d’une finale régionale avec 41 Percherons en provenance, cette fois, de toute la Bourgogne. Un concours régional qui aura manifestement marqué les esprits. Les éleveurs nivernais et côte-d’oriens saluant la qualité d’organisation de ce final. Les meilleurs participants ont été sélectionnés pour le championnat de France qui aura lieu au Haras du Pin, dans l'Orne, les 23 et 24 septembre.

Pour les chevaux de trait de Saône-et-Loire, la saison des concours a été magnifique

La finale départementale des concours de chevaux de trait Auxois et Comtois s’est tenue le 26 août dernier à Saint-Symphorien-de-Marmagne. 49 magnifiques chevaux (30 comtois et 19 auxois) étaient réunis, illustrant le regain d’intérêt observé cette saison sur les concours de chevaux lourds organisés en Saône-et-Loire. En effet, ce sont pas moins de 350 chevaux de trait qui, in fine, ont été vus sur l’ensemble de ces neuf concours locaux : Bissey-sous-Cruchaud, Lalheue, Saint-Symphorien-de-Marmagne, Cluny, Saint-Germain-du-Bois, Etang-sur-Arroux, Ozolles, plus les deux finales départementales. Des concours qui ont à peu près tous connu une hausse de fréquentation, confie la présidente de la Fédération des éleveurs de chevaux de Trait de Saône-et-Loire (FECTSL), Béatrice Barnay. Une satisfaction pour les organisateurs qui ont pu compter sur la motivation inébranlable des éleveurs, sur un public toujours sensible à la beauté des équidés, mais aussi sur la dévotion et la bonne humeur des bénévoles, insistait la présidente.

Si l’élevage de chevaux de trait n’est toujours pas lucratif, la possibilité d’exporter quelques poulains au Japon - avec la filiale nationale Equid’Export, émanation de la SFET, Société française des équidés de travail) - a sans doute redonné un peu de moral aux éleveurs. Ce débouché a en tout cas dopé les cours. Des poulains vendus habituellement 600 € ont ainsi pu être payés jusqu’à 1.000 €, fait remarquer Béatrice Barnay.

La belle allure

Mais si ce coup de pouce économique est évidemment le bienvenu, la passion qui anime les éleveurs de chevaux de trait saône-et-loiriens a depuis longtemps prouvé qu’elle savait s’accommoder du peu de soutien dont elle bénéficie. D’ailleurs, la FECTSL fait tout son possible pour soigner ses adhérents en concours : nombreux lots, accueil convivial… Le petit monde du cheval de trait reste uni et prend soin de ses troupes. Une attention qui était palpable à Saint-Symphorien-de-Marmagne fin août et début septembre à l’occasion des finales Comtois, Auxois et Percheron. Dans une ambiance sympathique, le public a pu admirer de magnifiques présentations d’animaux.Toilettage impeccable, goudron de Norvège sur les sabots, éleveurs vêtus de blanc et cravatés : le spectacle était une fois de plus magnifique. De belle allure.  Venus de Côte-d’Or et de Franche-Comté, les juges n’ont pas manqué de féliciter les éleveurs pour leur travail. Nombre de ces spécimens ont d’ailleurs été sélectionnés pour les finales nationales de Semur-en-Auxois (Auxois) et de Maîche (Comtois).

Le 2 septembre, Saint-Symphorien-de-Marmagne était de nouveau le cadre d’une finale régionale avec 41 Percherons en provenance, cette fois, de toute la Bourgogne. Un concours régional qui aura manifestement marqué les esprits. Les éleveurs nivernais et côte-d’oriens saluant la qualité d’organisation de ce final. Les meilleurs participants ont été sélectionnés pour le championnat de France qui aura lieu au Haras du Pin, dans l'Orne, les 23 et 24 septembre.