Station de Jalogny
Les ingrédients d’un nouveau succès pour la station de Jalogny

Pour son dixième anniversaire, le GIE Synergie Charolais ne pouvait pas rêver meilleure vente aux enchères ! En comptant les transactions à l’amiable, c’est 90% des 78 veaux présentés qui ont trouvé preneurs. Un score historique pour un lot de veaux important et de haut niveau et qui vaut un retour en force des acquéreurs étrangers, mais aussi d’éleveurs français en quête de critères technico-économiques.

Les ingrédients d’un nouveau succès pour la station de Jalogny

Vendredi dernier, pour les dix ans du GIE Synergie Charolais, la vente aux enchères de la station de Jalogny a tenu toutes ses promesses. 63 des 78 veaux présentés ont trouvé preneurs aux enchères à un prix moyen de 3.470 €. Un taux de vente (81%) historiquement élevé sachant que sept animaux supplémentaires ont été vendus à l’amiable à l’issue de la vente ce qui porte ce taux à près de 90%. Un peu inférieure à celle de l’an dernier, la moyenne de prix reflète des ventes beaucoup plus nombreuses et homogènes qu’en 2019 où un record flamboyant contrastait avec une vente décevante en nombre.

Cette année, le veau le plus cher a été adjugé 7.600 € et cinq animaux ont dépassé 5.000 €. Une trentaine de veaux ont été vendus entre 3.000 et 5.000 et 27 en dessous de 3.000. Pour le président du GIE Frédéric Borne, ce bilan est le meilleur qu’on puisse espérer pour une vente de station. « Au regard du contexte économique difficile, l’objectif est avant tout d’assurer un bon taux de vente et de ce point de vue, la vente 2020 est la toute meilleure depuis la création du GIE », se félicitait le responsable.

Pays de l’Est, Pays-Bas, Italie, Chine…

Parmi les nombreux ingrédients de la réussite, on retiendra bien entendu les acheteurs étrangers très actifs cette année. 22 des 63 veaux adjugés sont allés à l’export. Le plus gros acquéreur est la Hongrie pour qui la société Simon Génétic a acheté huit animaux. Six autres veaux ont rejoint la Slovénie par l’intermédiaire de Sicarev et cinq autres reproducteurs ont été achetés pour la République Tchèque par Feder. Un animal a été acheté par un éleveur des Pays-Bas. Pour la première fois à Charolles, un éleveur sicilien s’est porté acquéreur d’un veau en ligne via Internet. Enfin, Gènes Diffusion a acheté un animal dont les semences seront exportées en Chine ! A noter qu’un allemand et deux irlandais ont assisté à la vente sans toutefois acheter.

Parmi les 88 détenteurs de boîtiers électroniques recensés sur place - plus 8 acheteurs à distance, les éleveurs français n’étaient pas en reste. A commencer par les saône-et-loiriens qui ont acheté 22 reproducteurs. La vente a également drainé des acquéreurs de onze départements différents allant des limitrophes (01, 03, 21, 58) à la Creuse, aux Deux Sèvres, à la Lozère, la Haute-Saône, l’Isère, la Charente, l’Aveyron.

Le travail et la rigueur paient

Le succès de ces dix ans du GIE n’est pas le fruit du hasard. Tout a commencé dès le recrutement des animaux qui a débouché sur un lot supérieur en qualité. « Nous avons été très stricts sur le choix des animaux que nous sommes allés voir en ferme. Nous avons recruté un très bon lot très homogène et cela s’est vite su dans la campagne ! », confie Frédéric Borne. Au fur et mesure de l’avancement de l’évaluation, la nouvelle a circulé ; les visites à la station se sont multipliées jusqu’aux portes ouvertes. Tout au long de l’évaluation, le président avoue avoir mis la pression sur ses équipes pour que le suivi des animaux soit optimal. Enfin, la réussite tient aussi à l’important travail de promotion accompli sur le terrain par les partenaires membres du GIE. « La réussite tient à une somme de détails », résume Frédéric Borne dont la rigueur et l’exigence ont été bien récompensées cette année. Une réussite qu’il attribue aussi à la qualité du collectif qui anime le GIE. Un collectif où les éleveurs demeurent au centre du dispositif et où tout le monde s’investit dans un esprit constructif, concluait Frédéric Borne, heureux d’achever ses dix ans de présidence par un tel succès.

Les ingrédients d’un nouveau succès pour la station de Jalogny

Vendredi dernier, pour les dix ans du GIE Synergie Charolais, la vente aux enchères de la station de Jalogny a tenu toutes ses promesses. 63 des 78 veaux présentés ont trouvé preneurs aux enchères à un prix moyen de 3.470 €. Un taux de vente (81%) historiquement élevé sachant que sept animaux supplémentaires ont été vendus à l’amiable à l’issue de la vente ce qui porte ce taux à près de 90%. Un peu inférieure à celle de l’an dernier, la moyenne de prix reflète des ventes beaucoup plus nombreuses et homogènes qu’en 2019 où un record flamboyant contrastait avec une vente décevante en nombre.

Cette année, le veau le plus cher a été adjugé 7.600 € et cinq animaux ont dépassé 5.000 €. Une trentaine de veaux ont été vendus entre 3.000 et 5.000 et 27 en dessous de 3.000. Pour le président du GIE Frédéric Borne, ce bilan est le meilleur qu’on puisse espérer pour une vente de station. « Au regard du contexte économique difficile, l’objectif est avant tout d’assurer un bon taux de vente et de ce point de vue, la vente 2020 est la toute meilleure depuis la création du GIE », se félicitait le responsable.

Pays de l’Est, Pays-Bas, Italie, Chine…

Parmi les nombreux ingrédients de la réussite, on retiendra bien entendu les acheteurs étrangers très actifs cette année. 22 des 63 veaux adjugés sont allés à l’export. Le plus gros acquéreur est la Hongrie pour qui la société Simon Génétic a acheté huit animaux. Six autres veaux ont rejoint la Slovénie par l’intermédiaire de Sicarev et cinq autres reproducteurs ont été achetés pour la République Tchèque par Feder. Un animal a été acheté par un éleveur des Pays-Bas. Pour la première fois à Charolles, un éleveur sicilien s’est porté acquéreur d’un veau en ligne via Internet. Enfin, Gènes Diffusion a acheté un animal dont les semences seront exportées en Chine ! A noter qu’un allemand et deux irlandais ont assisté à la vente sans toutefois acheter.

Parmi les 88 détenteurs de boîtiers électroniques recensés sur place - plus 8 acheteurs à distance, les éleveurs français n’étaient pas en reste. A commencer par les saône-et-loiriens qui ont acheté 22 reproducteurs. La vente a également drainé des acquéreurs de onze départements différents allant des limitrophes (01, 03, 21, 58) à la Creuse, aux Deux Sèvres, à la Lozère, la Haute-Saône, l’Isère, la Charente, l’Aveyron.

Le travail et la rigueur paient

Le succès de ces dix ans du GIE n’est pas le fruit du hasard. Tout a commencé dès le recrutement des animaux qui a débouché sur un lot supérieur en qualité. « Nous avons été très stricts sur le choix des animaux que nous sommes allés voir en ferme. Nous avons recruté un très bon lot très homogène et cela s’est vite su dans la campagne ! », confie Frédéric Borne. Au fur et mesure de l’avancement de l’évaluation, la nouvelle a circulé ; les visites à la station se sont multipliées jusqu’aux portes ouvertes. Tout au long de l’évaluation, le président avoue avoir mis la pression sur ses équipes pour que le suivi des animaux soit optimal. Enfin, la réussite tient aussi à l’important travail de promotion accompli sur le terrain par les partenaires membres du GIE. « La réussite tient à une somme de détails », résume Frédéric Borne dont la rigueur et l’exigence ont été bien récompensées cette année. Une réussite qu’il attribue aussi à la qualité du collectif qui anime le GIE. Un collectif où les éleveurs demeurent au centre du dispositif et où tout le monde s’investit dans un esprit constructif, concluait Frédéric Borne, heureux d’achever ses dix ans de présidence par un tel succès.

Les ingrédients d’un nouveau succès pour la station de Jalogny

Vendredi dernier, pour les dix ans du GIE Synergie Charolais, la vente aux enchères de la station de Jalogny a tenu toutes ses promesses. 63 des 78 veaux présentés ont trouvé preneurs aux enchères à un prix moyen de 3.470 €. Un taux de vente (81%) historiquement élevé sachant que sept animaux supplémentaires ont été vendus à l’amiable à l’issue de la vente ce qui porte ce taux à près de 90%. Un peu inférieure à celle de l’an dernier, la moyenne de prix reflète des ventes beaucoup plus nombreuses et homogènes qu’en 2019 où un record flamboyant contrastait avec une vente décevante en nombre.

Cette année, le veau le plus cher a été adjugé 7.600 € et cinq animaux ont dépassé 5.000 €. Une trentaine de veaux ont été vendus entre 3.000 et 5.000 et 27 en dessous de 3.000. Pour le président du GIE Frédéric Borne, ce bilan est le meilleur qu’on puisse espérer pour une vente de station. « Au regard du contexte économique difficile, l’objectif est avant tout d’assurer un bon taux de vente et de ce point de vue, la vente 2020 est la toute meilleure depuis la création du GIE », se félicitait le responsable.

Pays de l’Est, Pays-Bas, Italie, Chine…

Parmi les nombreux ingrédients de la réussite, on retiendra bien entendu les acheteurs étrangers très actifs cette année. 22 des 63 veaux adjugés sont allés à l’export. Le plus gros acquéreur est la Hongrie pour qui la société Simon Génétic a acheté huit animaux. Six autres veaux ont rejoint la Slovénie par l’intermédiaire de Sicarev et cinq autres reproducteurs ont été achetés pour la République Tchèque par Feder. Un animal a été acheté par un éleveur des Pays-Bas. Pour la première fois à Charolles, un éleveur sicilien s’est porté acquéreur d’un veau en ligne via Internet. Enfin, Gènes Diffusion a acheté un animal dont les semences seront exportées en Chine ! A noter qu’un allemand et deux irlandais ont assisté à la vente sans toutefois acheter.

Parmi les 88 détenteurs de boîtiers électroniques recensés sur place - plus 8 acheteurs à distance, les éleveurs français n’étaient pas en reste. A commencer par les saône-et-loiriens qui ont acheté 22 reproducteurs. La vente a également drainé des acquéreurs de onze départements différents allant des limitrophes (01, 03, 21, 58) à la Creuse, aux Deux Sèvres, à la Lozère, la Haute-Saône, l’Isère, la Charente, l’Aveyron.

Le travail et la rigueur paient

Le succès de ces dix ans du GIE n’est pas le fruit du hasard. Tout a commencé dès le recrutement des animaux qui a débouché sur un lot supérieur en qualité. « Nous avons été très stricts sur le choix des animaux que nous sommes allés voir en ferme. Nous avons recruté un très bon lot très homogène et cela s’est vite su dans la campagne ! », confie Frédéric Borne. Au fur et mesure de l’avancement de l’évaluation, la nouvelle a circulé ; les visites à la station se sont multipliées jusqu’aux portes ouvertes. Tout au long de l’évaluation, le président avoue avoir mis la pression sur ses équipes pour que le suivi des animaux soit optimal. Enfin, la réussite tient aussi à l’important travail de promotion accompli sur le terrain par les partenaires membres du GIE. « La réussite tient à une somme de détails », résume Frédéric Borne dont la rigueur et l’exigence ont été bien récompensées cette année. Une réussite qu’il attribue aussi à la qualité du collectif qui anime le GIE. Un collectif où les éleveurs demeurent au centre du dispositif et où tout le monde s’investit dans un esprit constructif, concluait Frédéric Borne, heureux d’achever ses dix ans de présidence par un tel succès.