Viande et élevage
Le 25 mai, rendez-vous à Charolles pour rétablir la vérité sur la viande et sur l’élevage

Vendredi 25 mai, une conférence sera organisée à Charolles pour rétablir la vérité sur la viande et sur l’élevage. Et chacun le sait, en la matière, il y a fort à faire…

Le 25 mai, rendez-vous à Charolles pour rétablir la vérité sur la viande et sur l’élevage

Chaque année, la Société d’Agriculture et d’Elevage de l’arrondissement de Charolles organise une assemblée générale dont le thème colle à l’actualité. Cette année, comme ce fut le cas il y a deux ans, ce sera de nouveau avec la confrérie "L’Ambassade du charolais" que ce rendez-vous est organisé. Une année sur deux, en année impaire, la confrérie organise sont assemblée générale à Saulieu, et en année paire, c’est à Charolles.

« C’est l’occasion pour nous d’unir nos moyens pour organiser, ensemble, un rendez-vous qui fasse date », commente Gilles Degueurce, président de la Société d’Agriculture et d’Elevage de l’arrondissement de Charolles. Et ce devrait être le cas, alors qu’en soirée, après l’assemblée générale de la société d’Agriculture et le chapitre de confrérie, une soirée conférence-débat est organisée en présence de Jean-François Hocquette, directeur de recherches à l’Inra de Clermont-Ferrand. L’homme n’est pas un inconnu, lui qui fait référence dans le paysage de l’élevage et de la viande en particulier.

Des atouts à faire reconnaître

« Nous le savons tous à titre individuel, même dans nos familles, les idées préconçues au sujet de l’élevage et/ou de la viande ont évoluées », observe l’éleveur de L’Hôpital-le-Mercier, pour qui « il ne s’agit pas de nous voiler la face, mais d’aborder objectivement ces sujets, pour nous doter des arguments nécessaires et objectifs pour rétablir des vérités ».

Certes, chez certains éleveurs, le ras-le-bol a gagné les esprits, « pour autant, il faut nous doter des arguments, parfois d’éléments de langage, pour valoriser nos points forts et nos atouts ». Et ils ne manquent pas : élevage à l’herbe en mode semi-extensif, paysage bocager préservé, stockage de carbone, mais aussi qualité exceptionnelle d’une viande bovine qui continue de faire référence dans le monde entier… On ne va pas tous les citer ici, mais ces atouts sont souvent oubliés, méprisés et remplacés par des idées générales, lesquels sont basées sur des concepts qui ne s’appuient ici, dans notre région, sur aucune réalité tangible.

Pour la profession comme pour les défenseurs de la viande, il ne s’agit ni plus, ni moins que de remettre les points sur les i. mais de manière non polémique et argumentée.

L’avenir même de nos territoires

Et alors que certaines critiques s’appuient sur des réalités, Gilles Degueurce sait qu’il faudra aussi d’aborder, objectivement, certaines questions, et qu’il y a même certains efforts, du côté de l’élevage comme de la filière, à engager. « Nous sommes attaqués chez nous, dans nos familles, dans nos villages parfois, sur nos fondamentaux », analyse-t-il, lui pour qui « nos atouts aussi nombreux qu’ils soient ne nous exemptent pas d’aborder objectivement certaines questions ». L’éleveur sait bien que certaines remarques ne peuvent plus - de fait et de moins en moins - être balayées d’un simple revers de la main, alors que « dans nos communes, nos voisins, nos élus parfois, ont besoin de savoir de quoi il en retourne objectivement ». Et de faire remarquer que « même si on enlève L214 avec lesquels il serait vain de discuter, il y a tous les autres qui se posent des questions et attendent des réponses ».

« La question de l’avenir de l’élevage ne concerne pas seulement notre profession, notre métier, notre filière, mais elle est celle de territoires tout entiers marqués par l’élevage et qui, sans ce dernier, s’en trouveraient profondément affectés », analyse le président de la Société d’Agriculture qui évoque pêle-mêle les paysages eux-mêmes où les prairies pourraient laisser place à des terres de labour là où cela est envisageable ou à des forêts, voire des friches, ailleurs. L’économie même de la région pourrait s’en trouver durablement affectée eu égard aux emplois mêmes que génère la filière au sein des communes,

Avec Jean-François Hocquette, nul doute que les faits seront mis sur la table, objectivement, de quoi inciter les organisateurs à ouvrir ce rendez-vous à tous, en l’occurrence au grand public. « Nous voulons ouvrir le dialogue, l’installer sans polémique, parce que de l’avenir de l’élevage et de celui de la viande dépendent l’avenir même de nos régions d’élevage toute entières ». Et c’est bien là une des questions centrales et sous-jacentes qui émergera lors de cette soirée…

Le 25 mai, rendez-vous à Charolles pour rétablir la vérité sur la viande et sur l’élevage

Chaque année, la Société d’Agriculture et d’Elevage de l’arrondissement de Charolles organise une assemblée générale dont le thème colle à l’actualité. Cette année, comme ce fut le cas il y a deux ans, ce sera de nouveau avec la confrérie "L’Ambassade du charolais" que ce rendez-vous est organisé. Une année sur deux, en année impaire, la confrérie organise sont assemblée générale à Saulieu, et en année paire, c’est à Charolles.

« C’est l’occasion pour nous d’unir nos moyens pour organiser, ensemble, un rendez-vous qui fasse date », commente Gilles Degueurce, président de la Société d’Agriculture et d’Elevage de l’arrondissement de Charolles. Et ce devrait être le cas, alors qu’en soirée, après l’assemblée générale de la société d’Agriculture et le chapitre de confrérie, une soirée conférence-débat est organisée en présence de Jean-François Hocquette, directeur de recherches à l’Inra de Clermont-Ferrand. L’homme n’est pas un inconnu, lui qui fait référence dans le paysage de l’élevage et de la viande en particulier.

Des atouts à faire reconnaître

« Nous le savons tous à titre individuel, même dans nos familles, les idées préconçues au sujet de l’élevage et/ou de la viande ont évoluées », observe l’éleveur de L’Hôpital-le-Mercier, pour qui « il ne s’agit pas de nous voiler la face, mais d’aborder objectivement ces sujets, pour nous doter des arguments nécessaires et objectifs pour rétablir des vérités ».

Certes, chez certains éleveurs, le ras-le-bol a gagné les esprits, « pour autant, il faut nous doter des arguments, parfois d’éléments de langage, pour valoriser nos points forts et nos atouts ». Et ils ne manquent pas : élevage à l’herbe en mode semi-extensif, paysage bocager préservé, stockage de carbone, mais aussi qualité exceptionnelle d’une viande bovine qui continue de faire référence dans le monde entier… On ne va pas tous les citer ici, mais ces atouts sont souvent oubliés, méprisés et remplacés par des idées générales, lesquels sont basées sur des concepts qui ne s’appuient ici, dans notre région, sur aucune réalité tangible.

Pour la profession comme pour les défenseurs de la viande, il ne s’agit ni plus, ni moins que de remettre les points sur les i. mais de manière non polémique et argumentée.

L’avenir même de nos territoires

Et alors que certaines critiques s’appuient sur des réalités, Gilles Degueurce sait qu’il faudra aussi d’aborder, objectivement, certaines questions, et qu’il y a même certains efforts, du côté de l’élevage comme de la filière, à engager. « Nous sommes attaqués chez nous, dans nos familles, dans nos villages parfois, sur nos fondamentaux », analyse-t-il, lui pour qui « nos atouts aussi nombreux qu’ils soient ne nous exemptent pas d’aborder objectivement certaines questions ». L’éleveur sait bien que certaines remarques ne peuvent plus - de fait et de moins en moins - être balayées d’un simple revers de la main, alors que « dans nos communes, nos voisins, nos élus parfois, ont besoin de savoir de quoi il en retourne objectivement ». Et de faire remarquer que « même si on enlève L214 avec lesquels il serait vain de discuter, il y a tous les autres qui se posent des questions et attendent des réponses ».

« La question de l’avenir de l’élevage ne concerne pas seulement notre profession, notre métier, notre filière, mais elle est celle de territoires tout entiers marqués par l’élevage et qui, sans ce dernier, s’en trouveraient profondément affectés », analyse le président de la Société d’Agriculture qui évoque pêle-mêle les paysages eux-mêmes où les prairies pourraient laisser place à des terres de labour là où cela est envisageable ou à des forêts, voire des friches, ailleurs. L’économie même de la région pourrait s’en trouver durablement affectée eu égard aux emplois mêmes que génère la filière au sein des communes,

Avec Jean-François Hocquette, nul doute que les faits seront mis sur la table, objectivement, de quoi inciter les organisateurs à ouvrir ce rendez-vous à tous, en l’occurrence au grand public. « Nous voulons ouvrir le dialogue, l’installer sans polémique, parce que de l’avenir de l’élevage et de celui de la viande dépendent l’avenir même de nos régions d’élevage toute entières ». Et c’est bien là une des questions centrales et sous-jacentes qui émergera lors de cette soirée…

Le 25 mai, rendez-vous à Charolles pour rétablir la vérité sur la viande et sur l’élevage

Chaque année, la Société d’Agriculture et d’Elevage de l’arrondissement de Charolles organise une assemblée générale dont le thème colle à l’actualité. Cette année, comme ce fut le cas il y a deux ans, ce sera de nouveau avec la confrérie "L’Ambassade du charolais" que ce rendez-vous est organisé. Une année sur deux, en année impaire, la confrérie organise sont assemblée générale à Saulieu, et en année paire, c’est à Charolles.

« C’est l’occasion pour nous d’unir nos moyens pour organiser, ensemble, un rendez-vous qui fasse date », commente Gilles Degueurce, président de la Société d’Agriculture et d’Elevage de l’arrondissement de Charolles. Et ce devrait être le cas, alors qu’en soirée, après l’assemblée générale de la société d’Agriculture et le chapitre de confrérie, une soirée conférence-débat est organisée en présence de Jean-François Hocquette, directeur de recherches à l’Inra de Clermont-Ferrand. L’homme n’est pas un inconnu, lui qui fait référence dans le paysage de l’élevage et de la viande en particulier.

Des atouts à faire reconnaître

« Nous le savons tous à titre individuel, même dans nos familles, les idées préconçues au sujet de l’élevage et/ou de la viande ont évoluées », observe l’éleveur de L’Hôpital-le-Mercier, pour qui « il ne s’agit pas de nous voiler la face, mais d’aborder objectivement ces sujets, pour nous doter des arguments nécessaires et objectifs pour rétablir des vérités ».

Certes, chez certains éleveurs, le ras-le-bol a gagné les esprits, « pour autant, il faut nous doter des arguments, parfois d’éléments de langage, pour valoriser nos points forts et nos atouts ». Et ils ne manquent pas : élevage à l’herbe en mode semi-extensif, paysage bocager préservé, stockage de carbone, mais aussi qualité exceptionnelle d’une viande bovine qui continue de faire référence dans le monde entier… On ne va pas tous les citer ici, mais ces atouts sont souvent oubliés, méprisés et remplacés par des idées générales, lesquels sont basées sur des concepts qui ne s’appuient ici, dans notre région, sur aucune réalité tangible.

Pour la profession comme pour les défenseurs de la viande, il ne s’agit ni plus, ni moins que de remettre les points sur les i. mais de manière non polémique et argumentée.

L’avenir même de nos territoires

Et alors que certaines critiques s’appuient sur des réalités, Gilles Degueurce sait qu’il faudra aussi d’aborder, objectivement, certaines questions, et qu’il y a même certains efforts, du côté de l’élevage comme de la filière, à engager. « Nous sommes attaqués chez nous, dans nos familles, dans nos villages parfois, sur nos fondamentaux », analyse-t-il, lui pour qui « nos atouts aussi nombreux qu’ils soient ne nous exemptent pas d’aborder objectivement certaines questions ». L’éleveur sait bien que certaines remarques ne peuvent plus - de fait et de moins en moins - être balayées d’un simple revers de la main, alors que « dans nos communes, nos voisins, nos élus parfois, ont besoin de savoir de quoi il en retourne objectivement ». Et de faire remarquer que « même si on enlève L214 avec lesquels il serait vain de discuter, il y a tous les autres qui se posent des questions et attendent des réponses ».

« La question de l’avenir de l’élevage ne concerne pas seulement notre profession, notre métier, notre filière, mais elle est celle de territoires tout entiers marqués par l’élevage et qui, sans ce dernier, s’en trouveraient profondément affectés », analyse le président de la Société d’Agriculture qui évoque pêle-mêle les paysages eux-mêmes où les prairies pourraient laisser place à des terres de labour là où cela est envisageable ou à des forêts, voire des friches, ailleurs. L’économie même de la région pourrait s’en trouver durablement affectée eu égard aux emplois mêmes que génère la filière au sein des communes,

Avec Jean-François Hocquette, nul doute que les faits seront mis sur la table, objectivement, de quoi inciter les organisateurs à ouvrir ce rendez-vous à tous, en l’occurrence au grand public. « Nous voulons ouvrir le dialogue, l’installer sans polémique, parce que de l’avenir de l’élevage et de celui de la viande dépendent l’avenir même de nos régions d’élevage toute entières ». Et c’est bien là une des questions centrales et sous-jacentes qui émergera lors de cette soirée…