Moutons Charollais
A Paris, le Mouton Charollais entend bien profiter lui aussi du coup de projecteur !

Le Mouton Charollais participera à son 45è concours général cette année. 57 animaux ont été sélectionnés pour représenter la race à Paris et cette dernière entend bien profiter du coup de projecteur attribué à sa voisine de berceau la bovine charolaise.

A Paris, le Mouton Charollais entend bien profiter lui aussi du coup de projecteur !

Cette année, dans le cadre du salon de l’agriculture, se déroulera le 45è concours général de la race Mouton Charollais. Le choix des animaux avait lieu le 12 février dernier à la station de Palinges. Plus de 110 moutons ont été rassemblés pour l’occasion. 24 éleveurs dont certains venaient de Corrèze, de la Vienne, de la Seine-Maritime avaient proposé des animaux cette année. Des candidatures plus nombreuses que d’habitude ce qui mettait du baume au cœur des responsables de la race. Pourtant, la sélection n’en a été que plus délicate, d’autant qu’avec 57 places attribuées par le SIA contre 60 auparavant, il a fallu trancher, au risque de faire quelques déçus.

Standard de race

Les sélectionneurs de moutons charollais avaient amené beaucoup de femelles cette année ; 17 lots alors qu’il n’en fallait que 9 à Paris ! Ce sont deux éleveurs (Pierre Gaudry de Côte-d’Or et Frédéric Ducerf de Ciry-le-Noble) qui ont eu la lourde tâche d’effectuer ce tri. Les critères impitoyables sont « le standard de la race avec une tête bien rouge dépourvue de laine, la rectitude du dos, la conformation, la couleur des pattes sans laine… », décrivait la directrice Aline Bonnot. Les trois quarts des femelles étant gestantes à cette saison, les sélectionneurs ont été très attentifs à ce qu’elles ne risquent pas de mettre bas durant la semaine du salon. Car dans le règlement intérieur du grand show parisien, les naissances sont interdites, pour ménager les yeux du public !

Le concours général de la race Mouton Charollais aura lieu le jeudi 27 février de 9h30 à 12h30. Mais la race sera présente toute la semaine sur son propre stand ainsi que sur celui de la région Bourgogne Franche-Comté. Cette année, le Mouton Charollais entend bien profiter du coup de projecteur attribué à sa voisine de berceau la race bovine charolaise. « Toutes deux originaires de Saône-et-Loire, les deux races se côtoient la plupart du temps dans les exploitations et elles ont de nombreux points communs : herbagères, vocation bouchère, utilisation en croisement… », rappelle le président Pascal Chaponneau.

La viande d’agneau au menu

Désireux de promouvoir la viande d’agneau de race charollaise, l’organisme de sélection multipliera les animations gourmandes à destination du public. C’est ainsi que dès le week-end de l’ouverture, le chef et ambassadeur de la race Philippe Dumoux fera déguster une recette mettant à l’honneur l’agneau charollais sur le stand du département. Une autre dégustation aura lieu le mercredi sur le stand de la Région et un vin d’honneur sera offert à l’issue du concours du jeudi.

Ouverts aux consommateurs, les défenseurs du mouton charollais ne négligeront pas pour autant les professionnels. « Le salon, c’est en moyenne deux contacts professionnels par jour », confie Aline Bonnot qui observe un retour des étrangers au SIA depuis quelques années. Alors que la race vient de recevoir une délégation d’éleveurs portugais qui ont acheté une cinquantaine de reproducteurs mâles et femelles, des opportunités se dessinent avec la Pologne, la Hongrie… Des marchés qui pourraient se préciser lors du prochain salon de l’agriculture espère-t-on.

A Paris, le Mouton Charollais entend bien profiter lui aussi du coup de projecteur !

Cette année, dans le cadre du salon de l’agriculture, se déroulera le 45è concours général de la race Mouton Charollais. Le choix des animaux avait lieu le 12 février dernier à la station de Palinges. Plus de 110 moutons ont été rassemblés pour l’occasion. 24 éleveurs dont certains venaient de Corrèze, de la Vienne, de la Seine-Maritime avaient proposé des animaux cette année. Des candidatures plus nombreuses que d’habitude ce qui mettait du baume au cœur des responsables de la race. Pourtant, la sélection n’en a été que plus délicate, d’autant qu’avec 57 places attribuées par le SIA contre 60 auparavant, il a fallu trancher, au risque de faire quelques déçus.

Standard de race

Les sélectionneurs de moutons charollais avaient amené beaucoup de femelles cette année ; 17 lots alors qu’il n’en fallait que 9 à Paris ! Ce sont deux éleveurs (Pierre Gaudry de Côte-d’Or et Frédéric Ducerf de Ciry-le-Noble) qui ont eu la lourde tâche d’effectuer ce tri. Les critères impitoyables sont « le standard de la race avec une tête bien rouge dépourvue de laine, la rectitude du dos, la conformation, la couleur des pattes sans laine… », décrivait la directrice Aline Bonnot. Les trois quarts des femelles étant gestantes à cette saison, les sélectionneurs ont été très attentifs à ce qu’elles ne risquent pas de mettre bas durant la semaine du salon. Car dans le règlement intérieur du grand show parisien, les naissances sont interdites, pour ménager les yeux du public !

Le concours général de la race Mouton Charollais aura lieu le jeudi 27 février de 9h30 à 12h30. Mais la race sera présente toute la semaine sur son propre stand ainsi que sur celui de la région Bourgogne Franche-Comté. Cette année, le Mouton Charollais entend bien profiter du coup de projecteur attribué à sa voisine de berceau la race bovine charolaise. « Toutes deux originaires de Saône-et-Loire, les deux races se côtoient la plupart du temps dans les exploitations et elles ont de nombreux points communs : herbagères, vocation bouchère, utilisation en croisement… », rappelle le président Pascal Chaponneau.

La viande d’agneau au menu

Désireux de promouvoir la viande d’agneau de race charollaise, l’organisme de sélection multipliera les animations gourmandes à destination du public. C’est ainsi que dès le week-end de l’ouverture, le chef et ambassadeur de la race Philippe Dumoux fera déguster une recette mettant à l’honneur l’agneau charollais sur le stand du département. Une autre dégustation aura lieu le mercredi sur le stand de la Région et un vin d’honneur sera offert à l’issue du concours du jeudi.

Ouverts aux consommateurs, les défenseurs du mouton charollais ne négligeront pas pour autant les professionnels. « Le salon, c’est en moyenne deux contacts professionnels par jour », confie Aline Bonnot qui observe un retour des étrangers au SIA depuis quelques années. Alors que la race vient de recevoir une délégation d’éleveurs portugais qui ont acheté une cinquantaine de reproducteurs mâles et femelles, des opportunités se dessinent avec la Pologne, la Hongrie… Des marchés qui pourraient se préciser lors du prochain salon de l’agriculture espère-t-on.

A Paris, le Mouton Charollais entend bien profiter lui aussi du coup de projecteur !

Cette année, dans le cadre du salon de l’agriculture, se déroulera le 45è concours général de la race Mouton Charollais. Le choix des animaux avait lieu le 12 février dernier à la station de Palinges. Plus de 110 moutons ont été rassemblés pour l’occasion. 24 éleveurs dont certains venaient de Corrèze, de la Vienne, de la Seine-Maritime avaient proposé des animaux cette année. Des candidatures plus nombreuses que d’habitude ce qui mettait du baume au cœur des responsables de la race. Pourtant, la sélection n’en a été que plus délicate, d’autant qu’avec 57 places attribuées par le SIA contre 60 auparavant, il a fallu trancher, au risque de faire quelques déçus.

Standard de race

Les sélectionneurs de moutons charollais avaient amené beaucoup de femelles cette année ; 17 lots alors qu’il n’en fallait que 9 à Paris ! Ce sont deux éleveurs (Pierre Gaudry de Côte-d’Or et Frédéric Ducerf de Ciry-le-Noble) qui ont eu la lourde tâche d’effectuer ce tri. Les critères impitoyables sont « le standard de la race avec une tête bien rouge dépourvue de laine, la rectitude du dos, la conformation, la couleur des pattes sans laine… », décrivait la directrice Aline Bonnot. Les trois quarts des femelles étant gestantes à cette saison, les sélectionneurs ont été très attentifs à ce qu’elles ne risquent pas de mettre bas durant la semaine du salon. Car dans le règlement intérieur du grand show parisien, les naissances sont interdites, pour ménager les yeux du public !

Le concours général de la race Mouton Charollais aura lieu le jeudi 27 février de 9h30 à 12h30. Mais la race sera présente toute la semaine sur son propre stand ainsi que sur celui de la région Bourgogne Franche-Comté. Cette année, le Mouton Charollais entend bien profiter du coup de projecteur attribué à sa voisine de berceau la race bovine charolaise. « Toutes deux originaires de Saône-et-Loire, les deux races se côtoient la plupart du temps dans les exploitations et elles ont de nombreux points communs : herbagères, vocation bouchère, utilisation en croisement… », rappelle le président Pascal Chaponneau.

La viande d’agneau au menu

Désireux de promouvoir la viande d’agneau de race charollaise, l’organisme de sélection multipliera les animations gourmandes à destination du public. C’est ainsi que dès le week-end de l’ouverture, le chef et ambassadeur de la race Philippe Dumoux fera déguster une recette mettant à l’honneur l’agneau charollais sur le stand du département. Une autre dégustation aura lieu le mercredi sur le stand de la Région et un vin d’honneur sera offert à l’issue du concours du jeudi.

Ouverts aux consommateurs, les défenseurs du mouton charollais ne négligeront pas pour autant les professionnels. « Le salon, c’est en moyenne deux contacts professionnels par jour », confie Aline Bonnot qui observe un retour des étrangers au SIA depuis quelques années. Alors que la race vient de recevoir une délégation d’éleveurs portugais qui ont acheté une cinquantaine de reproducteurs mâles et femelles, des opportunités se dessinent avec la Pologne, la Hongrie… Des marchés qui pourraient se préciser lors du prochain salon de l’agriculture espère-t-on.