Glorieuse de Bresse à Louhans
La relève au rendez-vous de la Glorieuse de Bresse à Louhans
Le millésime 2019 des Glorieuses de Bresse aura été placé sous le signe du renouveau avec l’arrivée en force d’une nouvelle génération. Preuve que la volaille de Bresse continue à séduire.
Après son succès en 2013 avec le Vase de Sèvres à la clé, Christian Chatard est de retour aux sommets. Avec, toutefois, une différence de taille et non des moindres puisqu’il figure au prestigieux palmarès en compagnie de son fils Justin. Le symbole de la relève qui se fait de plus en plus pressante au sein de la profession. En effet, lors de la Glorieuse louhannaise, 880 volailles (dont 796 AOP) avaient été présentées par 23 éleveurs. Avec quatre d’entre eux dans la catégorie Espoir.
Quantité et qualité
Outre la satisfaction du nombre, il y avait également une belle qualité d’ensemble des animaux. Ce qui était loin d’être gagné il y a encore quelques mois lorsque l’on se souvient des conditions climatiques compliquées de cet été. Comme n’a pas manqué de le souligner le président de la société d’agriculture Jean-Paul Treboz. « Cette année, nous avons eu un gros et beau concours avec 120 volailles de plus que l’an passé. Il faut noter que la participation la plus importante parmi toutes les Glorieuses était, cette année, du côté de Louhans. Il convient de saluer le travail réalisé par les éleveurs malgré, notamment, la sécheresse. Il y a également une vraie satisfaction de voir arriver une nouvelle génération avec quelques jeunes qui se sont installés. Cela apporte un souffle nouveau ». A l’image d’un Valentin Blanc, installé à Saint-Nizier-le-Bouchoux, qui a réussi la gageure de remporter un prix d’honneur espoir lors des quatre Glorieuses. Sans aucun doute l’un des éleveurs à suivre dans les années à venir.
Après son succès en 2013 avec le Vase de Sèvres à la clé, Christian Chatard est de retour aux sommets. Avec, toutefois, une différence de taille et non des moindres puisqu’il figure au prestigieux palmarès en compagnie de son fils Justin. Le symbole de la relève qui se fait de plus en plus pressante au sein de la profession. En effet, lors de la Glorieuse louhannaise, 880 volailles (dont 796 AOP) avaient été présentées par 23 éleveurs. Avec quatre d’entre eux dans la catégorie Espoir.
Quantité et qualité
Outre la satisfaction du nombre, il y avait également une belle qualité d’ensemble des animaux. Ce qui était loin d’être gagné il y a encore quelques mois lorsque l’on se souvient des conditions climatiques compliquées de cet été. Comme n’a pas manqué de le souligner le président de la société d’agriculture Jean-Paul Treboz. « Cette année, nous avons eu un gros et beau concours avec 120 volailles de plus que l’an passé. Il faut noter que la participation la plus importante parmi toutes les Glorieuses était, cette année, du côté de Louhans. Il convient de saluer le travail réalisé par les éleveurs malgré, notamment, la sécheresse. Il y a également une vraie satisfaction de voir arriver une nouvelle génération avec quelques jeunes qui se sont installés. Cela apporte un souffle nouveau ». A l’image d’un Valentin Blanc, installé à Saint-Nizier-le-Bouchoux, qui a réussi la gageure de remporter un prix d’honneur espoir lors des quatre Glorieuses. Sans aucun doute l’un des éleveurs à suivre dans les années à venir.
Après son succès en 2013 avec le Vase de Sèvres à la clé, Christian Chatard est de retour aux sommets. Avec, toutefois, une différence de taille et non des moindres puisqu’il figure au prestigieux palmarès en compagnie de son fils Justin. Le symbole de la relève qui se fait de plus en plus pressante au sein de la profession. En effet, lors de la Glorieuse louhannaise, 880 volailles (dont 796 AOP) avaient été présentées par 23 éleveurs. Avec quatre d’entre eux dans la catégorie Espoir.
Quantité et qualité
Outre la satisfaction du nombre, il y avait également une belle qualité d’ensemble des animaux. Ce qui était loin d’être gagné il y a encore quelques mois lorsque l’on se souvient des conditions climatiques compliquées de cet été. Comme n’a pas manqué de le souligner le président de la société d’agriculture Jean-Paul Treboz. « Cette année, nous avons eu un gros et beau concours avec 120 volailles de plus que l’an passé. Il faut noter que la participation la plus importante parmi toutes les Glorieuses était, cette année, du côté de Louhans. Il convient de saluer le travail réalisé par les éleveurs malgré, notamment, la sécheresse. Il y a également une vraie satisfaction de voir arriver une nouvelle génération avec quelques jeunes qui se sont installés. Cela apporte un souffle nouveau ». A l’image d’un Valentin Blanc, installé à Saint-Nizier-le-Bouchoux, qui a réussi la gageure de remporter un prix d’honneur espoir lors des quatre Glorieuses. Sans aucun doute l’un des éleveurs à suivre dans les années à venir.
Après son succès en 2013 avec le Vase de Sèvres à la clé, Christian Chatard est de retour aux sommets. Avec, toutefois, une différence de taille et non des moindres puisqu’il figure au prestigieux palmarès en compagnie de son fils Justin. Le symbole de la relève qui se fait de plus en plus pressante au sein de la profession. En effet, lors de la Glorieuse louhannaise, 880 volailles (dont 796 AOP) avaient été présentées par 23 éleveurs. Avec quatre d’entre eux dans la catégorie Espoir.
Quantité et qualité
Outre la satisfaction du nombre, il y avait également une belle qualité d’ensemble des animaux. Ce qui était loin d’être gagné il y a encore quelques mois lorsque l’on se souvient des conditions climatiques compliquées de cet été. Comme n’a pas manqué de le souligner le président de la société d’agriculture Jean-Paul Treboz. « Cette année, nous avons eu un gros et beau concours avec 120 volailles de plus que l’an passé. Il faut noter que la participation la plus importante parmi toutes les Glorieuses était, cette année, du côté de Louhans. Il convient de saluer le travail réalisé par les éleveurs malgré, notamment, la sécheresse. Il y a également une vraie satisfaction de voir arriver une nouvelle génération avec quelques jeunes qui se sont installés. Cela apporte un souffle nouveau ». A l’image d’un Valentin Blanc, installé à Saint-Nizier-le-Bouchoux, qui a réussi la gageure de remporter un prix d’honneur espoir lors des quatre Glorieuses. Sans aucun doute l’un des éleveurs à suivre dans les années à venir.
Après son succès en 2013 avec le Vase de Sèvres à la clé, Christian Chatard est de retour aux sommets. Avec, toutefois, une différence de taille et non des moindres puisqu’il figure au prestigieux palmarès en compagnie de son fils Justin. Le symbole de la relève qui se fait de plus en plus pressante au sein de la profession. En effet, lors de la Glorieuse louhannaise, 880 volailles (dont 796 AOP) avaient été présentées par 23 éleveurs. Avec quatre d’entre eux dans la catégorie Espoir.
Quantité et qualité
Outre la satisfaction du nombre, il y avait également une belle qualité d’ensemble des animaux. Ce qui était loin d’être gagné il y a encore quelques mois lorsque l’on se souvient des conditions climatiques compliquées de cet été. Comme n’a pas manqué de le souligner le président de la société d’agriculture Jean-Paul Treboz. « Cette année, nous avons eu un gros et beau concours avec 120 volailles de plus que l’an passé. Il faut noter que la participation la plus importante parmi toutes les Glorieuses était, cette année, du côté de Louhans. Il convient de saluer le travail réalisé par les éleveurs malgré, notamment, la sécheresse. Il y a également une vraie satisfaction de voir arriver une nouvelle génération avec quelques jeunes qui se sont installés. Cela apporte un souffle nouveau ». A l’image d’un Valentin Blanc, installé à Saint-Nizier-le-Bouchoux, qui a réussi la gageure de remporter un prix d’honneur espoir lors des quatre Glorieuses. Sans aucun doute l’un des éleveurs à suivre dans les années à venir.
Après son succès en 2013 avec le Vase de Sèvres à la clé, Christian Chatard est de retour aux sommets. Avec, toutefois, une différence de taille et non des moindres puisqu’il figure au prestigieux palmarès en compagnie de son fils Justin. Le symbole de la relève qui se fait de plus en plus pressante au sein de la profession. En effet, lors de la Glorieuse louhannaise, 880 volailles (dont 796 AOP) avaient été présentées par 23 éleveurs. Avec quatre d’entre eux dans la catégorie Espoir.
Quantité et qualité
Outre la satisfaction du nombre, il y avait également une belle qualité d’ensemble des animaux. Ce qui était loin d’être gagné il y a encore quelques mois lorsque l’on se souvient des conditions climatiques compliquées de cet été. Comme n’a pas manqué de le souligner le président de la société d’agriculture Jean-Paul Treboz. « Cette année, nous avons eu un gros et beau concours avec 120 volailles de plus que l’an passé. Il faut noter que la participation la plus importante parmi toutes les Glorieuses était, cette année, du côté de Louhans. Il convient de saluer le travail réalisé par les éleveurs malgré, notamment, la sécheresse. Il y a également une vraie satisfaction de voir arriver une nouvelle génération avec quelques jeunes qui se sont installés. Cela apporte un souffle nouveau ». A l’image d’un Valentin Blanc, installé à Saint-Nizier-le-Bouchoux, qui a réussi la gageure de remporter un prix d’honneur espoir lors des quatre Glorieuses. Sans aucun doute l’un des éleveurs à suivre dans les années à venir.
