Mouton Charollais
Au cœur du programme de sélection du Mouton Charollais

La station de contrôle individuel du Mouton Charollais de Palinges héberge 140 pensionnaires venus de toute la France. Ces agneaux de janvier et février, triés parmi les meilleurs potentiels génétiques, vont être évalués pendant huit semaines. Reportage au cœur du programme de sélection du Mouton Charollais.

Au cœur du programme de sélection du Mouton Charollais

La station de contrôle individuel du Mouton Charollais de Palinges a accueilli ses agneaux les 11 avril et 9 mai derniers. La première bande réunit des sujets nés entre le 1er et le 29 janvier et la seconde des jeunes mâles nés entre le 30 janvier et le 1er février. Tandis que les 69 agneaux de janvier étaient déjà en protocole de contrôle individuel, un second lot était accueilli à la station de Palinges le 9 mai dernier. Au préalable, les 107 éleveurs adhérents à l’OS Mouton Charollais ont reçu une liste des animaux « appelés » ou « candidats ». « Ce sont les agneaux qui intéressent l’OS pour son programme de sélection racial. Ils sont sélectionnés pour la qualification de leurs parents, leurs index, leurs poids à 30 jours… », détaille Morane Cassotti, technicienne à l’OS.

Triés sur le volet

Venus de toute la France, les éleveurs adhérents avaient amené leurs agneaux « appelés » ainsi que d’autres sujets qu’ils jugent génétiquement intéressants. A leur descente de bétaillère, les moutons ont tous été examinés par un vétérinaire qui s’est assuré que les candidats au contrôle individuel étaient en bon état sanitaire, n’avaient pas de défaut d’aplomb ou d’anomalie d’organe reproducteur.

Les animaux ont ensuite tous été « bipés » un par un par identification électronique. Ils sont ainsi triés en fonction des qualifications de leurs parents. Les agneaux se retrouvent classés en cinq catégories des plus favorables sur le plan génétique (mères à béliers, pères issus d’insémination ou de station) aux sujets les moins bien référencés, en l’occurrence les non appelés.

C’est un second groupe d’éleveurs et d’experts qui a opéré le tri pour le contrôle individuel. Environ 60 agneaux ont été retenus parmi la centaine qui ont été présentés cette année. L’après-midi, les animaux recrutés sont tous passés au pédiluve. On leur a attribué un numéro de collier et ils ont subi une prise de sang (pour génotypage de  la résistance tremblante), une pesée…

Huit semaines tous au même régime

Jusqu’alors allaités par leurs mères, ces agneaux de 90 jours d’âge moyen subissent le sevrage en entrant en station. Stressés et pas habitués à manger des granulés pour la plupart, ils ont besoin d’une période d’adaptation de quinze jours durant laquelle l’aliment commence à leur être distribué.

La phase de contrôle dure huit semaines et débute par une pesée. Le protocole prévoit une alimentation rationnée et les agneaux ont accès à la pâture qui jouxte la station. Une seconde pesée est effectuée à mi-contrôle, de même qu’une échographie. Cet examen est destiné à apprécier la conformation bouchère et le gras des animaux. A la fin du contrôle, les agneaux sont pesés une dernière fois. Ils font l’objet d’une seconde échographie ainsi que d’un pointage (conformation gigot, épaisseur, largeur du dos…). 20% sont éliminés tandis que les autres se voient attribuer leurs index et leurs qualifications : RDM (Recommandés Mixte), RDC (Recommandé Croisement), RDT (Recommandé Terminal).

Les 14 meilleurs agneaux de la station sont recrutés pour insémination artificielle dans le cadre du schéma de sélection. Pris en charge par Insemovin, ils subissent un testage sur descendance par lequel est mesurée la qualité de leur production bouchère. Seulement 6 ou 7 (pour 500 « appelés » au départ) obtiennent la qualification ultime « AMBO » pour améliorateur boucher.

Au cœur du programme de sélection du Mouton Charollais

La station de contrôle individuel du Mouton Charollais de Palinges a accueilli ses agneaux les 11 avril et 9 mai derniers. La première bande réunit des sujets nés entre le 1er et le 29 janvier et la seconde des jeunes mâles nés entre le 30 janvier et le 1er février. Tandis que les 69 agneaux de janvier étaient déjà en protocole de contrôle individuel, un second lot était accueilli à la station de Palinges le 9 mai dernier. Au préalable, les 107 éleveurs adhérents à l’OS Mouton Charollais ont reçu une liste des animaux « appelés » ou « candidats ». « Ce sont les agneaux qui intéressent l’OS pour son programme de sélection racial. Ils sont sélectionnés pour la qualification de leurs parents, leurs index, leurs poids à 30 jours… », détaille Morane Cassotti, technicienne à l’OS.

Triés sur le volet

Venus de toute la France, les éleveurs adhérents avaient amené leurs agneaux « appelés » ainsi que d’autres sujets qu’ils jugent génétiquement intéressants. A leur descente de bétaillère, les moutons ont tous été examinés par un vétérinaire qui s’est assuré que les candidats au contrôle individuel étaient en bon état sanitaire, n’avaient pas de défaut d’aplomb ou d’anomalie d’organe reproducteur.

Les animaux ont ensuite tous été « bipés » un par un par identification électronique. Ils sont ainsi triés en fonction des qualifications de leurs parents. Les agneaux se retrouvent classés en cinq catégories des plus favorables sur le plan génétique (mères à béliers, pères issus d’insémination ou de station) aux sujets les moins bien référencés, en l’occurrence les non appelés.

C’est un second groupe d’éleveurs et d’experts qui a opéré le tri pour le contrôle individuel. Environ 60 agneaux ont été retenus parmi la centaine qui ont été présentés cette année. L’après-midi, les animaux recrutés sont tous passés au pédiluve. On leur a attribué un numéro de collier et ils ont subi une prise de sang (pour génotypage de  la résistance tremblante), une pesée…

Huit semaines tous au même régime

Jusqu’alors allaités par leurs mères, ces agneaux de 90 jours d’âge moyen subissent le sevrage en entrant en station. Stressés et pas habitués à manger des granulés pour la plupart, ils ont besoin d’une période d’adaptation de quinze jours durant laquelle l’aliment commence à leur être distribué.

La phase de contrôle dure huit semaines et débute par une pesée. Le protocole prévoit une alimentation rationnée et les agneaux ont accès à la pâture qui jouxte la station. Une seconde pesée est effectuée à mi-contrôle, de même qu’une échographie. Cet examen est destiné à apprécier la conformation bouchère et le gras des animaux. A la fin du contrôle, les agneaux sont pesés une dernière fois. Ils font l’objet d’une seconde échographie ainsi que d’un pointage (conformation gigot, épaisseur, largeur du dos…). 20% sont éliminés tandis que les autres se voient attribuer leurs index et leurs qualifications : RDM (Recommandés Mixte), RDC (Recommandé Croisement), RDT (Recommandé Terminal).

Les 14 meilleurs agneaux de la station sont recrutés pour insémination artificielle dans le cadre du schéma de sélection. Pris en charge par Insemovin, ils subissent un testage sur descendance par lequel est mesurée la qualité de leur production bouchère. Seulement 6 ou 7 (pour 500 « appelés » au départ) obtiennent la qualification ultime « AMBO » pour améliorateur boucher.

Au cœur du programme de sélection du Mouton Charollais

La station de contrôle individuel du Mouton Charollais de Palinges a accueilli ses agneaux les 11 avril et 9 mai derniers. La première bande réunit des sujets nés entre le 1er et le 29 janvier et la seconde des jeunes mâles nés entre le 30 janvier et le 1er février. Tandis que les 69 agneaux de janvier étaient déjà en protocole de contrôle individuel, un second lot était accueilli à la station de Palinges le 9 mai dernier. Au préalable, les 107 éleveurs adhérents à l’OS Mouton Charollais ont reçu une liste des animaux « appelés » ou « candidats ». « Ce sont les agneaux qui intéressent l’OS pour son programme de sélection racial. Ils sont sélectionnés pour la qualification de leurs parents, leurs index, leurs poids à 30 jours… », détaille Morane Cassotti, technicienne à l’OS.

Triés sur le volet

Venus de toute la France, les éleveurs adhérents avaient amené leurs agneaux « appelés » ainsi que d’autres sujets qu’ils jugent génétiquement intéressants. A leur descente de bétaillère, les moutons ont tous été examinés par un vétérinaire qui s’est assuré que les candidats au contrôle individuel étaient en bon état sanitaire, n’avaient pas de défaut d’aplomb ou d’anomalie d’organe reproducteur.

Les animaux ont ensuite tous été « bipés » un par un par identification électronique. Ils sont ainsi triés en fonction des qualifications de leurs parents. Les agneaux se retrouvent classés en cinq catégories des plus favorables sur le plan génétique (mères à béliers, pères issus d’insémination ou de station) aux sujets les moins bien référencés, en l’occurrence les non appelés.

C’est un second groupe d’éleveurs et d’experts qui a opéré le tri pour le contrôle individuel. Environ 60 agneaux ont été retenus parmi la centaine qui ont été présentés cette année. L’après-midi, les animaux recrutés sont tous passés au pédiluve. On leur a attribué un numéro de collier et ils ont subi une prise de sang (pour génotypage de  la résistance tremblante), une pesée…

Huit semaines tous au même régime

Jusqu’alors allaités par leurs mères, ces agneaux de 90 jours d’âge moyen subissent le sevrage en entrant en station. Stressés et pas habitués à manger des granulés pour la plupart, ils ont besoin d’une période d’adaptation de quinze jours durant laquelle l’aliment commence à leur être distribué.

La phase de contrôle dure huit semaines et débute par une pesée. Le protocole prévoit une alimentation rationnée et les agneaux ont accès à la pâture qui jouxte la station. Une seconde pesée est effectuée à mi-contrôle, de même qu’une échographie. Cet examen est destiné à apprécier la conformation bouchère et le gras des animaux. A la fin du contrôle, les agneaux sont pesés une dernière fois. Ils font l’objet d’une seconde échographie ainsi que d’un pointage (conformation gigot, épaisseur, largeur du dos…). 20% sont éliminés tandis que les autres se voient attribuer leurs index et leurs qualifications : RDM (Recommandés Mixte), RDC (Recommandé Croisement), RDT (Recommandé Terminal).

Les 14 meilleurs agneaux de la station sont recrutés pour insémination artificielle dans le cadre du schéma de sélection. Pris en charge par Insemovin, ils subissent un testage sur descendance par lequel est mesurée la qualité de leur production bouchère. Seulement 6 ou 7 (pour 500 « appelés » au départ) obtiennent la qualification ultime « AMBO » pour améliorateur boucher.

Au cœur du programme de sélection du Mouton Charollais

La station de contrôle individuel du Mouton Charollais de Palinges a accueilli ses agneaux les 11 avril et 9 mai derniers. La première bande réunit des sujets nés entre le 1er et le 29 janvier et la seconde des jeunes mâles nés entre le 30 janvier et le 1er février. Tandis que les 69 agneaux de janvier étaient déjà en protocole de contrôle individuel, un second lot était accueilli à la station de Palinges le 9 mai dernier. Au préalable, les 107 éleveurs adhérents à l’OS Mouton Charollais ont reçu une liste des animaux « appelés » ou « candidats ». « Ce sont les agneaux qui intéressent l’OS pour son programme de sélection racial. Ils sont sélectionnés pour la qualification de leurs parents, leurs index, leurs poids à 30 jours… », détaille Morane Cassotti, technicienne à l’OS.

Triés sur le volet

Venus de toute la France, les éleveurs adhérents avaient amené leurs agneaux « appelés » ainsi que d’autres sujets qu’ils jugent génétiquement intéressants. A leur descente de bétaillère, les moutons ont tous été examinés par un vétérinaire qui s’est assuré que les candidats au contrôle individuel étaient en bon état sanitaire, n’avaient pas de défaut d’aplomb ou d’anomalie d’organe reproducteur.

Les animaux ont ensuite tous été « bipés » un par un par identification électronique. Ils sont ainsi triés en fonction des qualifications de leurs parents. Les agneaux se retrouvent classés en cinq catégories des plus favorables sur le plan génétique (mères à béliers, pères issus d’insémination ou de station) aux sujets les moins bien référencés, en l’occurrence les non appelés.

C’est un second groupe d’éleveurs et d’experts qui a opéré le tri pour le contrôle individuel. Environ 60 agneaux ont été retenus parmi la centaine qui ont été présentés cette année. L’après-midi, les animaux recrutés sont tous passés au pédiluve. On leur a attribué un numéro de collier et ils ont subi une prise de sang (pour génotypage de  la résistance tremblante), une pesée…

Huit semaines tous au même régime

Jusqu’alors allaités par leurs mères, ces agneaux de 90 jours d’âge moyen subissent le sevrage en entrant en station. Stressés et pas habitués à manger des granulés pour la plupart, ils ont besoin d’une période d’adaptation de quinze jours durant laquelle l’aliment commence à leur être distribué.

La phase de contrôle dure huit semaines et débute par une pesée. Le protocole prévoit une alimentation rationnée et les agneaux ont accès à la pâture qui jouxte la station. Une seconde pesée est effectuée à mi-contrôle, de même qu’une échographie. Cet examen est destiné à apprécier la conformation bouchère et le gras des animaux. A la fin du contrôle, les agneaux sont pesés une dernière fois. Ils font l’objet d’une seconde échographie ainsi que d’un pointage (conformation gigot, épaisseur, largeur du dos…). 20% sont éliminés tandis que les autres se voient attribuer leurs index et leurs qualifications : RDM (Recommandés Mixte), RDC (Recommandé Croisement), RDT (Recommandé Terminal).

Les 14 meilleurs agneaux de la station sont recrutés pour insémination artificielle dans le cadre du schéma de sélection. Pris en charge par Insemovin, ils subissent un testage sur descendance par lequel est mesurée la qualité de leur production bouchère. Seulement 6 ou 7 (pour 500 « appelés » au départ) obtiennent la qualification ultime « AMBO » pour améliorateur boucher.