Mouton Charollais
Le Mouton Charollais veut faire parler de la race et de sa bonne viande !

A l’aube de l’année 2020, le Mouton Charollais a plein de projets. Dopé par l’arrivée de jeunes éleveurs dans ses troupes, l’organisme de sélection veut faire parler de la race et de sa viande.

Le Mouton Charollais veut faire parler de la race et de sa bonne viande !

Le 9 décembre dernier, les responsables du Mouton Charollais étaient réunis pour leur dernier conseil d’administration de l’année. L’occasion de faire le point sur l’actualité de l’OS racial. L’association compte aujourd’hui 110 adhérents dont la moitié sont en Bourgogne. Le nombre de brebis de la base de sélection est en baisse en 2019 avec 6.800 femelles inscrites contre 7.000 en 2018. Une érosion contrecarrée par l’arrivée d’une dixaine de nouveaux adhérents, signalait la directrice Aline Bonnot. Si ces nouveaux éleveurs sont des détenteurs de petits troupeaux, ils confirment la montée d’une nouvelle génération d’éleveurs-sélectionneurs de moutons charollais. Un mouvement important pour l’avenir de la race, laquelle tient à préserver la dynamique de groupe qui règne au sein de l’association.

Une filière viande d’agneau charollais

Pour le mouton charollais, le dernier évènement important de l’année a été le Festival du Bœuf où la race présentait pour la première fois seize agneaux de boucherie. Tous ont trouvé preneurs auprès d’opérateurs de la filière avec des plus value intéressantes. Pour l’association, il s’agissait de promouvoir la viande d’agneaux charollais pure race et d’initier une filière locale. Car l’OS aimerait développer une niche pour un agneau de terroir issu des troupeaux inscrits du berceau de race. L’idée serait de convaincre des points de vente de servir de l’agneau charollais, de sorte qu’il soit aisé de faire déguster de la viande d’agneau charollais, justifient les responsables. Une promotion bouchère dans la continuité du travail de sélection génétique opéré avec la station de Palinges, fait valoir Aline Bonnot.

Toujours dans un souci de faire parler du Mouton Charollais, les responsables de l’OS ont rencontré une agence de communication qui va élaborer une vidéo de promotion de la race. L’organisme de sélection envisage aussi de s’installer dans des nouveaux locaux. Il quitterait son siège vétuste de Charolles pour un site plus approprié et mieux exposé.

Le Mouton Charollais veut faire parler de la race et de sa bonne viande !

Le 9 décembre dernier, les responsables du Mouton Charollais étaient réunis pour leur dernier conseil d’administration de l’année. L’occasion de faire le point sur l’actualité de l’OS racial. L’association compte aujourd’hui 110 adhérents dont la moitié sont en Bourgogne. Le nombre de brebis de la base de sélection est en baisse en 2019 avec 6.800 femelles inscrites contre 7.000 en 2018. Une érosion contrecarrée par l’arrivée d’une dixaine de nouveaux adhérents, signalait la directrice Aline Bonnot. Si ces nouveaux éleveurs sont des détenteurs de petits troupeaux, ils confirment la montée d’une nouvelle génération d’éleveurs-sélectionneurs de moutons charollais. Un mouvement important pour l’avenir de la race, laquelle tient à préserver la dynamique de groupe qui règne au sein de l’association.

Une filière viande d’agneau charollais

Pour le mouton charollais, le dernier évènement important de l’année a été le Festival du Bœuf où la race présentait pour la première fois seize agneaux de boucherie. Tous ont trouvé preneurs auprès d’opérateurs de la filière avec des plus value intéressantes. Pour l’association, il s’agissait de promouvoir la viande d’agneaux charollais pure race et d’initier une filière locale. Car l’OS aimerait développer une niche pour un agneau de terroir issu des troupeaux inscrits du berceau de race. L’idée serait de convaincre des points de vente de servir de l’agneau charollais, de sorte qu’il soit aisé de faire déguster de la viande d’agneau charollais, justifient les responsables. Une promotion bouchère dans la continuité du travail de sélection génétique opéré avec la station de Palinges, fait valoir Aline Bonnot.

Toujours dans un souci de faire parler du Mouton Charollais, les responsables de l’OS ont rencontré une agence de communication qui va élaborer une vidéo de promotion de la race. L’organisme de sélection envisage aussi de s’installer dans des nouveaux locaux. Il quitterait son siège vétuste de Charolles pour un site plus approprié et mieux exposé.