Fonds de mutualisation sanitaire
Etre les premiers en 2013 ?
Plusieurs représentants de la profession viticole du département –accompagnés de Cécile Untermaier et Thomas Thévenoud, députés de
Saône-et-Loire– ont été reçus début décembre par le cabinet du ministre
de l’Agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt. Objectif : créer
un Fonds de mutualisation sanitaire dans le secteur viticole.
Saône-et-Loire– ont été reçus début décembre par le cabinet du ministre
de l’Agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt. Objectif : créer
un Fonds de mutualisation sanitaire dans le secteur viticole.
Ils ont pu sensibiliser Christine Avelin, conseillère du ministre en charge des productions végétales, sur les conséquences ravageuses de l’Esca et de la flavescence dorée pour les exploitations viticoles du département.
Cette rencontre constructive a permis d’avancer sur un projet de fonds de mutualisation sanitaire défendu depuis plusieurs semaines par les parlementaires. Ce dispositif de solidarité permettra de venir en aide aux viticulteurs qui traversent des difficultés.
Il sera financé par les professionnels de la viticulture et par l’Etat. Les collectivités territoriales seront également sollicitées pour apporter leur pierre à l’édifice.
Ce fonds de mutualisation sanitaire constituera une innovation nationale pour le secteur de la viticulture. Il montre la solidarité des viticulteurs de Saône-et-Loire, à laquelle s’associe la solidarité nationale par la voix du ministre de l’Agriculture.
Sa mise en place pourra voir le jour dans les mois à venir et les premiers bénéficiaires pourront recevoir les premières indemnités en 2013. C’est donc un signe d’espoir qui est envoyé à la profession.
Etant membre de la Commission des finances à l’Assemblée nationale, Thomas Thévenoud précise que ce fonds sera « cofinancé », probablement « à hauteur de 65 % par l’Etat et 35 % par les professionnels ». Ce fonds ne concernera pas uniquement la Saône-et-Loire, et les viticulteurs du département fortement impactés par la flavescence dorée et l’Esca devront rapidement se manifester. En effet, « le fonds pourrait être adapté à d’autres régions », reconnaît Thomas Thévenoud qui a déjà vérifié la disponibilité « des crédits au niveau du ministère de l’Agriculture ». Néanmoins, « les modalités techniques et juridiques » n’étant pas encore arrêtées, et bien que « la Saône-et-Loire soit le premier département à s’organiser », « si le périmètre s’étend en France, il faudra plus de crédits ». Le ministère de l’Agriculture est donc en train de mener des études pour avoir « ce chiffrage pluriannuel ».
Cette rencontre constructive a permis d’avancer sur un projet de fonds de mutualisation sanitaire défendu depuis plusieurs semaines par les parlementaires. Ce dispositif de solidarité permettra de venir en aide aux viticulteurs qui traversent des difficultés.
Il sera financé par les professionnels de la viticulture et par l’Etat. Les collectivités territoriales seront également sollicitées pour apporter leur pierre à l’édifice.
Ce fonds de mutualisation sanitaire constituera une innovation nationale pour le secteur de la viticulture. Il montre la solidarité des viticulteurs de Saône-et-Loire, à laquelle s’associe la solidarité nationale par la voix du ministre de l’Agriculture.
Sa mise en place pourra voir le jour dans les mois à venir et les premiers bénéficiaires pourront recevoir les premières indemnités en 2013. C’est donc un signe d’espoir qui est envoyé à la profession.
Etant membre de la Commission des finances à l’Assemblée nationale, Thomas Thévenoud précise que ce fonds sera « cofinancé », probablement « à hauteur de 65 % par l’Etat et 35 % par les professionnels ». Ce fonds ne concernera pas uniquement la Saône-et-Loire, et les viticulteurs du département fortement impactés par la flavescence dorée et l’Esca devront rapidement se manifester. En effet, « le fonds pourrait être adapté à d’autres régions », reconnaît Thomas Thévenoud qui a déjà vérifié la disponibilité « des crédits au niveau du ministère de l’Agriculture ». Néanmoins, « les modalités techniques et juridiques » n’étant pas encore arrêtées, et bien que « la Saône-et-Loire soit le premier département à s’organiser », « si le périmètre s’étend en France, il faudra plus de crédits ». Le ministère de l’Agriculture est donc en train de mener des études pour avoir « ce chiffrage pluriannuel ».