Œnologie
La Cave de Lugny organise une dégustation autour de son cépage emblématique le chardonnay dans son village éponyme...
La Cave de Lugny organise une dégustation autour de son cépage emblématique le chardonnay dans son village éponyme...
L’ensemble des professionnels de la viticulture bourguignonne s’empare des conclusions de cette étude. Engagée depuis de nombreuses années déjà dans toute une démarche autant sociale, que sociétale et environnementale, la cave des Vignerons des Terres secrètes voit dans les attentes de cette génération de Millenials la confirmation d’être déjà en phase avec ces futurs consommateurs. Entretien avec le président de la cave, Michel Barraud, par ailleurs président du pôle marketing et communication du BIVB.
Dans la suite logique des vins "sans sulfite ajouté", des labels environnementaux, des étiquettes électroniques (lire nos précédentes éditions), les Œnologues de France réunis à Pierreclos le 28 avril en congrès, ont fini leur journée - dédiée à "La bouteille vous parle" - en se demandant si l’étiquette est toujours un point clé dans l’acte d’achat. Cela dépend de plus en plus…
Le Plan de résilience gel du vignoble du Jura est en marche. Un point d’étape a été présenté le 5 mai dernier à Poligny, lors de l’assemblée générale de la Société de viticulture. Valérie Closset, sa présidente, revient sur les enjeux de ce plan.
C’est le bilan d’une année marquée par plusieurs évènements qui a été dressé lundi soir lors de l’assemblée générale de l’Union des producteurs du cru saint-véran qui s’était réunie à Prissé. Les « turbulences » n’ont cependant pas pris le pas sur les annonces festives et les projets du cru.
Depuis 2015, les vignerons producteurs de l’appellation Mâcon-Chardonnay replacent le cépage au cœur de son village d’origine : Chardonnay.
L’assemblée générale de la cave des vignerons des terres secrètes s’est tenue vendredi 6 mai au caveau de Prissé. Malgré évidemment une récolte 2021 très faible, des chiffres rassurants et des projets structurants étaient surtout au cœur de ce bilan de l’année écoulée.
Le 28 avril à Pierreclos, le Congrès national des œnologues de France « faisait parler les bouteilles ». Après de riches études et débats sur les vins sans sulfite ajouté (lire notre précédente édition), il a été question d’étiquetage numérique et de recyclage. Car aujourd’hui, c’est tout le processus de la production de la vigne puis du vin, et même au-delà, qu’il faut raconter à ses clients.
Le 24 mars dernier à Buxy, l’assemblée générale de la Fédération des caves coopératives Bourgogne Jura (FCCBJ) avait invité ses homologues du Vaucluse, la Safer Bourgogne Franche-Comté, la cave du Beaujolais, Agamy et le président du conseil coopératif Ardèche Vignobles, à venir expliquer et témoigner de leurs travaux et pratiques autour du foncier, pour notamment faciliter l’installation de futurs vignerons coopérateurs.
L’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) et l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) ont rendu public, le 5 mai, le résultat d’une expertise scientifique. Celle-ci dresse un état des lieux des impacts des produits phytopharmaceutiques sur la biodiversité et les services écosystémiques. S’il reste encore du chemin à parcourir, les deux instituts reconnaissent que des progrès ont été réalisés.
Est-ce le château de Pierreclos le 28 avril ou les vins de Mâcon la veille à la cave à Musique, toujours est-il que les œnologues présents à leur congrès national, du 27 au 30 avril, étaient d’humeur taquine sur des questions pourtant d’avenir : les vins sans sulfite, l’étiquetage numérique ou encore le recyclage. Une chose est sûre, les œnologues ont des choses à dire (et à faire) pour que « la bouteille vous parle ».
À l’occasion d’une rencontre avec la presse pour présenter leurs dernières cuvées, une dizaine de vignerons des appellations Bergerac-Duras, indépendants et coopératives, ont expliqué comment ils mettent en pratique la transition agroécologique.
Sous l’égide de son nouveau président, les Vignerons coopérateurs ont dévoilé leur feuille de route pour les cinq prochaines années. Elle met l’accent sur le renouvellement des générations, la transition environnementale et l’adaptation au changement climatique.
Le 21 avril à Bussières, l’Union des producteurs de vins Mâcon (UPVM) tenait son assemblée générale, faisant ainsi le bilan d’une année 2021 forcément marquée par le gel. Portés par des marchés dynamiques, les stocks sont en baisse en AOC mâcon. L’occasion de parler de pistes pour tenter de résister au changement climatique.
Quels arbres en lien avec la vigne, pour quels objectifs et à quel budget ? L’ensemble de ces questions et toutes les autres devraient trouver un début de réponse dans les guides qui vont être édités dans un an, à l’issue de la première partie du projet Vitaf. Vitaf, pour viticulture et agroforesterie, est le projet dont le lancement s’est effectué le jeudi 14 avril à l’AgroBio Campus de Davayé.
L’assemblée générale de l’union des producteurs de Viré-Clessé s’est déroulée le jeudi 14 avril à Clessé. Une cinquantaine d’entre eux était présents. Un retour en présentiel qui a permis de revenir sur de nombreux sujets.
Le 15 avril au Château de Santenay, la Confédération des appellations et vignerons de Bourgogne (CAVB) tenait son assemblée générale sur le thème de « la pépinière viticole, le premier maillon de la filière viticole ». En effet, ce sujet est majeur tant le changement climatique (gel, sécheresse, dépérissement, etc.), accélère la nécessité d’adapter les itinéraires techniques. Mais dans quelle(s) direction(s) ? D’abord vers un rapprochement des deux professions.
Le 12 avril dernier au foyer rural de Viré, la Fédération des Vignerons indépendants de Saône-et-Loire a tenu son assemblée générale pour faire le bilan de l’année 2021 notamment. Ainsi qu’un point sur l’actualité nationale.
Le 14 avril, la cave d’Azé mettait la dernière touche à ses nouveaux bâtiments et aménagement extérieur. Au-delà, du nouveau magasin de ventes, c’est un ensemble d’outils qui profiteront aux coopérateurs, aux salariés et surtout à hausser encore la qualité des vins.