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Les Rencontres À Table !
COMPÉTITION

La France, grande gagnante du World Burger Contest

Le Sirha a accueilli la finale du World Burger Contest 2025, une compétition mettant à l’honneur les grands talents du burger. La France a terminé sur les deux premières places du podium.

La France, grande gagnante du World Burger Contest
Louis-Gautier Lepers, grand gagnant du WBC et sa création de burger traditionnel « Lost in the wood ». ©Charlotte Bayon

Sept pays se sont affrontés au World Burger Contest dans une ambiance plus qu’exaltée. La France, l’Italie, l’Espagne, le Maroc, la Côte-d’Ivoire, les États-Unis et la Belgique ont réalisé les trois épreuves du concours sous le regard d’un public survolté et d’un jury composé de grands noms de la gastronomie. Chacun des chefs a donc proposé un burger traditionnel, un burger végétarien ainsi qu’un burger sucré. C’est Louis-Gautier Lepers, chef et propriétaire du restaurant « Papa Renard » à Morzine (Haute-Savoie), qui a conquis le jury par ses créations originales, dont le burger traditionnel qu’il a baptisé « Lost in the wood », composé de raclette fumée et de champignons, recréant des saveurs de sous-bois.

Des distinctions méritées

La deuxième marche du podium a été atteinte par le Français Lionel Ravel qui rafle le prix des meilleurs burgers traditionnel et végétarien, mais également celui de « Ma Région, ses Terroirs » pour la mise en valeur de produits locaux d’Auvergne-Rhône-Alpes. En troisième place, le chef Ahmed Traoré de la Côte-d’Ivoire a offert une belle performance au public ainsi qu’au jury. Le prix du public a enfin été attribué au Marocain Mohamed Abaragh, reconnu pour sa maîtrise et sa popularité sur les réseaux sociaux.

C.B

Le Bocuse d’Or

Trente ans après son père, Paul Marcon reçoit le Bocuse d’Or, titre suprême qui revient en France quatre ans après la victoire du chef français Davy Tissot. Cinq heures et 35 minutes exactes pour réaliser deux créations aux thèmes imposés : le travail du chevreuil, du foie gras et du thé, puis un thème qui s’est joué à l’assiette : « célébrer une harmonie inédite entre le céleri, le maigre et le homard ».