Ronan Prigent un sardinologue à absolument consulter à Chagny
Vous avez perdu l’appétit ? Tout ce que vous mangez n’a plus de saveur ? Vos papilles sont en sommeil ? Alors, rendez-vous toutes affaires cessantes à Chagny chez un sardinologue qui vous redonnera le plaisir de manger des mets de qualité.

Une fois devant la vitrine du magasin, le doute n’est pas permis : la Bretagne règne en maître ici. Une impression confirmée une fois à l’intérieur de la poissonnerie Keronan. « Keronan, cela signifie en breton Chez Ronan ». Des origines qui expliquent le parcours de Ronan Prigent qui a grandi en goûtant aux joies des parties de pêches familiales en Bretagne.
Marché de niche
Ayant des parents qui effectuaient de nombreux déplacements, Ronan Prigent trouve son premier emploi au sein de la poissonnerie Dubessay, à Chalon. Une entreprise qu’il ne quittera que dix-sept ans plus tard, la société fermant ses portes. Après un petit détour tout de même long de douze ans chez Darty en tant que responsable du rayon informatique, il renoue avec ses premiers amours en reprenant en 2009 la poissonnerie installée au cœur de Chagny. « Je connaissais bien Chagny pour y avoir fait des marchés dès 1981. Aujourd’hui, je sers les enfants de mes clients de l’époque ». Seul au sein de l’entreprise, Ronan Prigent est pleinement conscient qu’il se situe sur un marché de niche, avec pour seul salut la qualité voire même l’excellence de ses produits. A commencer par ses poissons venus en droite ligne de Bretagne (voire du Pays Basque) et disponibles sur son étale au maximum 48h après la pêche. Des poissons issus de pêche côtière, c’est-à-dire que les bateaux partent la nuit en mer et reviennent le matin.
Sardine, vous avez dit sardine ?
L’une des curiosités du lieu réside en l’inscription que l’on peut lire sur la vitrine : « sardinologue depuis 2009 ». Un intitulé qui, sur le ton de l’humour, ne laisse néanmoins aucune ambiguïté : l’antre dans laquelle pénètre le client est tout spécialement dédié à la sardine. Rien à voir avec la sardine que l’on retrouve en grande surface, souvent d’origine marocaine, congelée et terne. Non, ce que l’on peut trouver dans cette boutique, c’est la fine fleur de la sardine avec plus d’une centaine de variétés différentes et millésimées à l’image des vins. Des sardines qui se bonifient avec le temps et peuvent se conserver jusqu’à vingt ans. Avec des fournisseurs 100 % tricolores du côté de Douarnenez, Paimpol, Quiberon, Saint-Gilles-Croix-de-Vie… On remarquera plus particulièrement une boite, les sardines Keronan. En effet, Ronan Prigent dispose de ses propres boîtes de sardines, pêchées et conditionnées de façon artisanale à Douarnenez, dans le Finistère. Elles sont emboîtées le jour même de la pêche avec juste de l’huile de qualité et du sel. « Les sardines sont mises en boîte en mars et avril. Puis elles sont gardées neuf mois. Une sardine jeune est plus croquante, une sardine plus ancienne est davantage fondante, imprégnée de l’huile avec l’arrête qui a fondu. »
Caverne d’Ali Baba
Lorsque l’on découvre la foultitude de boîtes de sardines, les yeux pétillent de plaisir et de gourmandise. Il y en a pour absolument tous les goûts avec, bien évidemment, la sardine avec juste son huile d’olive. « Ce sont Les sardines les plus prisées par mes clients. Personnellement, je préfère les sardines natures avec un bon beurre breton sur du bon pain. » Mais il y a aussi des sardines agrémentées de piments, de tomate, de gingembre, aux algues, au wasabi, au piment d’Espelette… De quoi séduire les papilles les plus exigeantes et les amateurs d’une sardine de grande qualité.
Ronan Prigent un sardinologue à absolument consulter à Chagny

Une fois devant la vitrine du magasin, le doute n’est pas permis : la Bretagne règne en maître ici. Une impression confirmée une fois à l’intérieur de la poissonnerie Keronan. « Keronan, cela signifie en breton Chez Ronan ». Des origines qui expliquent le parcours de Ronan Prigent qui a grandi en goûtant aux joies des parties de pêches familiales en Bretagne.
Marché de niche
Ayant des parents qui effectuaient de nombreux déplacements, Ronan Prigent trouve son premier emploi au sein de la poissonnerie Dubessay, à Chalon. Une entreprise qu’il ne quittera que dix-sept ans plus tard, la société fermant ses portes. Après un petit détour tout de même long de douze ans chez Darty en tant que responsable du rayon informatique, il renoue avec ses premiers amours en reprenant en 2009 la poissonnerie installée au cœur de Chagny. « Je connaissais bien Chagny pour y avoir fait des marchés dès 1981. Aujourd’hui, je sers les enfants de mes clients de l’époque ». Seul au sein de l’entreprise, Ronan Prigent est pleinement conscient qu’il se situe sur un marché de niche, avec pour seul salut la qualité voire même l’excellence de ses produits. A commencer par ses poissons venus en droite ligne de Bretagne (voire du Pays Basque) et disponibles sur son étale au maximum 48h après la pêche. Des poissons issus de pêche côtière, c’est-à-dire que les bateaux partent la nuit en mer et reviennent le matin.
Sardine, vous avez dit sardine ?
L’une des curiosités du lieu réside en l’inscription que l’on peut lire sur la vitrine : « sardinologue depuis 2009 ». Un intitulé qui, sur le ton de l’humour, ne laisse néanmoins aucune ambiguïté : l’antre dans laquelle pénètre le client est tout spécialement dédié à la sardine. Rien à voir avec la sardine que l’on retrouve en grande surface, souvent d’origine marocaine, congelée et terne. Non, ce que l’on peut trouver dans cette boutique, c’est la fine fleur de la sardine avec plus d’une centaine de variétés différentes et millésimées à l’image des vins. Des sardines qui se bonifient avec le temps et peuvent se conserver jusqu’à vingt ans. Avec des fournisseurs 100 % tricolores du côté de Douarnenez, Paimpol, Quiberon, Saint-Gilles-Croix-de-Vie… On remarquera plus particulièrement une boite, les sardines Keronan. En effet, Ronan Prigent dispose de ses propres boîtes de sardines, pêchées et conditionnées de façon artisanale à Douarnenez, dans le Finistère. Elles sont emboîtées le jour même de la pêche avec juste de l’huile de qualité et du sel. « Les sardines sont mises en boîte en mars et avril. Puis elles sont gardées neuf mois. Une sardine jeune est plus croquante, une sardine plus ancienne est davantage fondante, imprégnée de l’huile avec l’arrête qui a fondu. »
Caverne d’Ali Baba
Lorsque l’on découvre la foultitude de boîtes de sardines, les yeux pétillent de plaisir et de gourmandise. Il y en a pour absolument tous les goûts avec, bien évidemment, la sardine avec juste son huile d’olive. « Ce sont Les sardines les plus prisées par mes clients. Personnellement, je préfère les sardines natures avec un bon beurre breton sur du bon pain. » Mais il y a aussi des sardines agrémentées de piments, de tomate, de gingembre, aux algues, au wasabi, au piment d’Espelette… De quoi séduire les papilles les plus exigeantes et les amateurs d’une sardine de grande qualité.
Ronan Prigent un sardinologue à absolument consulter à Chagny

Une fois devant la vitrine du magasin, le doute n’est pas permis : la Bretagne règne en maître ici. Une impression confirmée une fois à l’intérieur de la poissonnerie Keronan. « Keronan, cela signifie en breton Chez Ronan ». Des origines qui expliquent le parcours de Ronan Prigent qui a grandi en goûtant aux joies des parties de pêches familiales en Bretagne.
Marché de niche
Ayant des parents qui effectuaient de nombreux déplacements, Ronan Prigent trouve son premier emploi au sein de la poissonnerie Dubessay, à Chalon. Une entreprise qu’il ne quittera que dix-sept ans plus tard, la société fermant ses portes. Après un petit détour tout de même long de douze ans chez Darty en tant que responsable du rayon informatique, il renoue avec ses premiers amours en reprenant en 2009 la poissonnerie installée au cœur de Chagny. « Je connaissais bien Chagny pour y avoir fait des marchés dès 1981. Aujourd’hui, je sers les enfants de mes clients de l’époque ». Seul au sein de l’entreprise, Ronan Prigent est pleinement conscient qu’il se situe sur un marché de niche, avec pour seul salut la qualité voire même l’excellence de ses produits. A commencer par ses poissons venus en droite ligne de Bretagne (voire du Pays Basque) et disponibles sur son étale au maximum 48h après la pêche. Des poissons issus de pêche côtière, c’est-à-dire que les bateaux partent la nuit en mer et reviennent le matin.
Sardine, vous avez dit sardine ?
L’une des curiosités du lieu réside en l’inscription que l’on peut lire sur la vitrine : « sardinologue depuis 2009 ». Un intitulé qui, sur le ton de l’humour, ne laisse néanmoins aucune ambiguïté : l’antre dans laquelle pénètre le client est tout spécialement dédié à la sardine. Rien à voir avec la sardine que l’on retrouve en grande surface, souvent d’origine marocaine, congelée et terne. Non, ce que l’on peut trouver dans cette boutique, c’est la fine fleur de la sardine avec plus d’une centaine de variétés différentes et millésimées à l’image des vins. Des sardines qui se bonifient avec le temps et peuvent se conserver jusqu’à vingt ans. Avec des fournisseurs 100 % tricolores du côté de Douarnenez, Paimpol, Quiberon, Saint-Gilles-Croix-de-Vie… On remarquera plus particulièrement une boite, les sardines Keronan. En effet, Ronan Prigent dispose de ses propres boîtes de sardines, pêchées et conditionnées de façon artisanale à Douarnenez, dans le Finistère. Elles sont emboîtées le jour même de la pêche avec juste de l’huile de qualité et du sel. « Les sardines sont mises en boîte en mars et avril. Puis elles sont gardées neuf mois. Une sardine jeune est plus croquante, une sardine plus ancienne est davantage fondante, imprégnée de l’huile avec l’arrête qui a fondu. »
Caverne d’Ali Baba
Lorsque l’on découvre la foultitude de boîtes de sardines, les yeux pétillent de plaisir et de gourmandise. Il y en a pour absolument tous les goûts avec, bien évidemment, la sardine avec juste son huile d’olive. « Ce sont Les sardines les plus prisées par mes clients. Personnellement, je préfère les sardines natures avec un bon beurre breton sur du bon pain. » Mais il y a aussi des sardines agrémentées de piments, de tomate, de gingembre, aux algues, au wasabi, au piment d’Espelette… De quoi séduire les papilles les plus exigeantes et les amateurs d’une sardine de grande qualité.