Paul Billonnet, président de la section départementale des Anciens
exploitants, ne déroge pas à la présentation des vœux. Des vœux
résolument tournés vers l’avenir et porteurs d’espoir. Il y en a tant
besoin.
A peine sommes-nous libérés des fastes et autres réjouissances de Noël qu’il nous faut penser à présenter nos vœux pour l’année nouvelle à la famille, aux amis et aux diverses connaissances.
Pour ne pas faillir à cette règle, somme toute agréable, je vous souhaite donc à tous, chers amis, ainsi qu’à tous ceux qui vous sont chers, une bonne et heureuse année et surtout une parfaite santé tout au long de 2016.
En effet, nous sommes bien obligés de constater, à nos âges, que les problèmes de santé supplantent largement tous les autres, particulièrement quand nous voyons les difficultés auxquelles sont confrontés ceux des nôtres qui en sont privés.
Pour ce qui est de notre pouvoir d’achat, nous aurons eu au cours de cette année 2015 le versement de la prime unique de 40 € au printemps et l’accès aux 73 % du Smic pour les anciens chefs d’exploitation remplissant les conditions d’accès.
Aucune augmentation de nos retraites n’étant intervenue sur 2015, notre pouvoir d’achat continue de se dégrader, alors que chacun constate la hausse des coûts des services, des cotisations assurances ou des divers impôts.
Nos successeurs, les actifs, ne sont pas mieux lotis avec des prix de vente de leurs produits toujours à la baisse auxquels se sont ajoutés, en 2015, les difficultés climatiques et sanitaires. Je leur souhaite donc simplement que l’année nouvelle soit pour eux meilleure que celle qui vient de se terminer et que soit enfin reconnu - et rémunéré à sa juste valeur - le travail contraignant qui est le leur au fil des saisons, pour proposer en permanence aux consommateurs des produits alimentaires de qualité.
Je souhaiterais aussi que ces consommateurs prennent conscience de la chance qui est la leur de disposer, en permanence, de ces produits de qualité à leur disposition et qu’ils acceptent d’y consacrer une partie un peu plus importante de leur revenu.
Enfin, qu’il me soit permis d’émettre quelques vœux pour que notre pays, confronté à de graves difficultés économiques, aggravées par un climat d’insécurité et de violence grandissant, puisse retrouver au plus tôt une situation un peu plus stable, et équitable pour tous ses ressortissants.
Pour cela, il faudrait sans doute que nos dirigeants politiques retrouvent le sens de l’intérêt commun plutôt que d’être en permanence préoccupés par l’évolution de leur carrière personnelle. Qu’ils aient le courage de prendre les mesures qui s’imposent pour le redressement de notre pays et qu’ils les mettent en application avec rigueur et détermination sans avoir les yeux fixés sur la seule prochaine échéance électorale.
Mais ne rêvons pas, malgré des engagements maintes fois réitérés, notre monde politique continuera vraisemblablement de fonctionner selon le mode actuel qui lui apporte tant d’avantages !
Alors, chers amis, et malgré ces désagréments qui nous irritent chaque jour un peu plus, je vous souhaite, très sincèrement, une excellente année 2016.
Pour ne pas faillir à cette règle, somme toute agréable, je vous souhaite donc à tous, chers amis, ainsi qu’à tous ceux qui vous sont chers, une bonne et heureuse année et surtout une parfaite santé tout au long de 2016.
En effet, nous sommes bien obligés de constater, à nos âges, que les problèmes de santé supplantent largement tous les autres, particulièrement quand nous voyons les difficultés auxquelles sont confrontés ceux des nôtres qui en sont privés.
Pour ce qui est de notre pouvoir d’achat, nous aurons eu au cours de cette année 2015 le versement de la prime unique de 40 € au printemps et l’accès aux 73 % du Smic pour les anciens chefs d’exploitation remplissant les conditions d’accès.
Aucune augmentation de nos retraites n’étant intervenue sur 2015, notre pouvoir d’achat continue de se dégrader, alors que chacun constate la hausse des coûts des services, des cotisations assurances ou des divers impôts.
Nos successeurs, les actifs, ne sont pas mieux lotis avec des prix de vente de leurs produits toujours à la baisse auxquels se sont ajoutés, en 2015, les difficultés climatiques et sanitaires. Je leur souhaite donc simplement que l’année nouvelle soit pour eux meilleure que celle qui vient de se terminer et que soit enfin reconnu - et rémunéré à sa juste valeur - le travail contraignant qui est le leur au fil des saisons, pour proposer en permanence aux consommateurs des produits alimentaires de qualité.
Je souhaiterais aussi que ces consommateurs prennent conscience de la chance qui est la leur de disposer, en permanence, de ces produits de qualité à leur disposition et qu’ils acceptent d’y consacrer une partie un peu plus importante de leur revenu.
Enfin, qu’il me soit permis d’émettre quelques vœux pour que notre pays, confronté à de graves difficultés économiques, aggravées par un climat d’insécurité et de violence grandissant, puisse retrouver au plus tôt une situation un peu plus stable, et équitable pour tous ses ressortissants.
Pour cela, il faudrait sans doute que nos dirigeants politiques retrouvent le sens de l’intérêt commun plutôt que d’être en permanence préoccupés par l’évolution de leur carrière personnelle. Qu’ils aient le courage de prendre les mesures qui s’imposent pour le redressement de notre pays et qu’ils les mettent en application avec rigueur et détermination sans avoir les yeux fixés sur la seule prochaine échéance électorale.
Mais ne rêvons pas, malgré des engagements maintes fois réitérés, notre monde politique continuera vraisemblablement de fonctionner selon le mode actuel qui lui apporte tant d’avantages !
Alors, chers amis, et malgré ces désagréments qui nous irritent chaque jour un peu plus, je vous souhaite, très sincèrement, une excellente année 2016.
