Chaque semaine, pour comprendre et prendre les bonnes décisions,
retrouvez l'analyse des marchés animaux, les tendances de la semaine et
une analyse pointue des différents marchés animaux. Un rendez-vous à ne
pas manquer.
Bovins de boucherie
L'activité des entreprises de transformation a été quelque peu perturbée par le férié du lundi 14 juillet. Sur les marchés, l'activité commerciale est restée assez régulière dans les très bonnes femelles bouchères, car si les besoins des acheteurs sont mesurés avec la fermeture des boucheries des grandes métropoles pour les vacances, les disponibilités sont peu abondantes. Les tarifs sont stables dans les animaux haut de gamme ou pour les charolaises label. Les échanges sont un peu plus réguliers dans les vaches charolaises ou limousines de qualité bouchère, ainsi que dans les allaitantes de choix secondaire pour approvisionner les zones estivales du sud de la France. Le commerce est normal pour la saison dans les réformes laitières, avec des industriels qui entendent pouvoir profiter de la semaine écourtée du 14 juillet pour maintenir les prix dans les frisonnes ou montbéliardes. En jeunes bovins, la demande italienne demeure peu soutenue malgré le démarrage de la saison estivale. Néanmoins, la réduction de l'offre et un écoulement plus régulier en viande halal permettent une stabilisation des cours dans les charolais et les sujets plus communs.
Bovins d’embouche et d’élevage
Les bonnes vaches charolaises herbées et les génisses lourdes demeurent sollicitées et bien valorisées. En revanche, dès que l’on descend dans la qualité ou pour les femelles longues à engraisser, le commerce se fait plus laborieux avec des tarifs discutés.
Broutards
L’activité commerciale a été fortement perturbée en ce début de semaine avec le 14 juillet positionné sur un lundi. Les apports étaient quasi inexistants. Seul, le marché de Saint-Christophe-en-Brionnais a fait office de marché correctement approvisionné. Du côté de la demande, certains acheteurs ou exportateurs ont profité de cette semaine écourtée pour prendre des congés ou faire l’impasse de commande. En revanche, à Saint-Christophe-en-Brionnais, la demande a été un peu plus active et les tarifs étaient légèrement haussiers dans les bons broutards et les taurillons de qualité. Le placement reste très sélectif dans la marchandise de second choix. En laitonnes, la demande est plus calme dans les lourdes et les génisses de 18 mois avec des tarifs en baisse.
Veaux d’élevage et d’engraissement
Avec le lundi 14 juillet, l’activité commerciale a été fortement perturbée avec peu d’offres sur les marchés. Si les cours ont fait une pause dans la baisse cette semaine, les transactions sont demeurées sous la pression des intégrateurs compte tenu du manque de places disponibles dans les ateliers, du fait des retards d’enlèvement dans le veau gras. Les tarifs ont été juste maintenus pour les veaux frisons, abondances ou montbéliards ou croisés laitiers légers, mais la tendance pourrait se durcir dès la semaine prochaine. Dans les veaux de race à viande, la vente est plus lente et sélective, surtout pour les sujets communs ou légers.
Ovins
La demande des abattoirs est régulière sans toutefois être excessive pour approvisionner les zones de vacances, tandis que les grandes métropoles sont plus calmes. Les agneaux de qualité sont recherchés avec une facile reconduction des cours. La marchandise plus standard ou en manque de finition s’écoule plus difficilement. Dans les brebis, la demande est plus active pour couvrir les besoins du Sud de la France ou pour l’export vers l’Italie. Les tarifs sont stables dans les ordinaires à haussiers pour les bonnes.
Porcs
Le début de semaine a conservé une orientation légèrement baissière sur le marché du porc breton. Avec un jour de moins de tuerie, la demande des abattoirs s’est révélée plus calme face à une offre relativement étoffée. Le cours était ainsi baissier à 1,474 € du kilogramme, en retrait de -0,011 € sur une semaine.
L'activité des entreprises de transformation a été quelque peu perturbée par le férié du lundi 14 juillet. Sur les marchés, l'activité commerciale est restée assez régulière dans les très bonnes femelles bouchères, car si les besoins des acheteurs sont mesurés avec la fermeture des boucheries des grandes métropoles pour les vacances, les disponibilités sont peu abondantes. Les tarifs sont stables dans les animaux haut de gamme ou pour les charolaises label. Les échanges sont un peu plus réguliers dans les vaches charolaises ou limousines de qualité bouchère, ainsi que dans les allaitantes de choix secondaire pour approvisionner les zones estivales du sud de la France. Le commerce est normal pour la saison dans les réformes laitières, avec des industriels qui entendent pouvoir profiter de la semaine écourtée du 14 juillet pour maintenir les prix dans les frisonnes ou montbéliardes. En jeunes bovins, la demande italienne demeure peu soutenue malgré le démarrage de la saison estivale. Néanmoins, la réduction de l'offre et un écoulement plus régulier en viande halal permettent une stabilisation des cours dans les charolais et les sujets plus communs.
Bovins d’embouche et d’élevage
Les bonnes vaches charolaises herbées et les génisses lourdes demeurent sollicitées et bien valorisées. En revanche, dès que l’on descend dans la qualité ou pour les femelles longues à engraisser, le commerce se fait plus laborieux avec des tarifs discutés.
Broutards
L’activité commerciale a été fortement perturbée en ce début de semaine avec le 14 juillet positionné sur un lundi. Les apports étaient quasi inexistants. Seul, le marché de Saint-Christophe-en-Brionnais a fait office de marché correctement approvisionné. Du côté de la demande, certains acheteurs ou exportateurs ont profité de cette semaine écourtée pour prendre des congés ou faire l’impasse de commande. En revanche, à Saint-Christophe-en-Brionnais, la demande a été un peu plus active et les tarifs étaient légèrement haussiers dans les bons broutards et les taurillons de qualité. Le placement reste très sélectif dans la marchandise de second choix. En laitonnes, la demande est plus calme dans les lourdes et les génisses de 18 mois avec des tarifs en baisse.
Veaux d’élevage et d’engraissement
Avec le lundi 14 juillet, l’activité commerciale a été fortement perturbée avec peu d’offres sur les marchés. Si les cours ont fait une pause dans la baisse cette semaine, les transactions sont demeurées sous la pression des intégrateurs compte tenu du manque de places disponibles dans les ateliers, du fait des retards d’enlèvement dans le veau gras. Les tarifs ont été juste maintenus pour les veaux frisons, abondances ou montbéliards ou croisés laitiers légers, mais la tendance pourrait se durcir dès la semaine prochaine. Dans les veaux de race à viande, la vente est plus lente et sélective, surtout pour les sujets communs ou légers.
Ovins
La demande des abattoirs est régulière sans toutefois être excessive pour approvisionner les zones de vacances, tandis que les grandes métropoles sont plus calmes. Les agneaux de qualité sont recherchés avec une facile reconduction des cours. La marchandise plus standard ou en manque de finition s’écoule plus difficilement. Dans les brebis, la demande est plus active pour couvrir les besoins du Sud de la France ou pour l’export vers l’Italie. Les tarifs sont stables dans les ordinaires à haussiers pour les bonnes.
Porcs
Le début de semaine a conservé une orientation légèrement baissière sur le marché du porc breton. Avec un jour de moins de tuerie, la demande des abattoirs s’est révélée plus calme face à une offre relativement étoffée. Le cours était ainsi baissier à 1,474 € du kilogramme, en retrait de -0,011 € sur une semaine.
