Crise agricole
Le Département solidaire
Publié par Cédric Michelin
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Réagissant à l’annonce d’un cas de FCO dans l’Allier, le Département rappelle, par la voix d’André Accary, son président, son attachement à l’agriculture de Saône-et-Loire. Et sa solidarité. Il précise ainsi les axes qu’il entend donner à sa mandature.
« Le retour de la fièvre catarrhale ovine (FCO) est un nouveau coup dur pour les agriculteurs, et pour l’économie de tout notre territoire », met en avant le Conseil départemental dans un communiqué de presse. Et de rappeler que ce dernier, « reflet d’une agriculture aussi dynamique que variée, ne peut pas rester insensible à cette nouvelle crise qui vient aggraver une situation déjà tendue avec la sécheresse, la guerre des prix, l’effondrement des cours mondiaux, la disparité des normes européennes… »
« Comme elle s’y était engagée, la nouvelle majorité du Conseil départemental entend bien soutenir le milieu agricole. C’est la raison pour laquelle, depuis fin août, André Accary et son vice-président en charge de l’Agriculture, Frédéric Brochot, multiplient les visites sur le terrain et les rencontres avec les acteurs de l’agriculture pour définir une stratégie adaptée aux attentes de la filière », précise le communiqué, stipulant qu’« au-delà du soutien financier, c’est une démarche de partenariat concret et durable qui est attendue. L’objectif du Conseil départemental est clair :
- accompagner les agriculteurs dans l’adaptation de leurs exploitations aux nouvelles donnes économiques ;
- soutenir les jeunes agriculteurs pour consolider les bases de leur installation ;
- promouvoir davantage encore les circuits courts tout en encourageant la commercialisation à l’échelle nationale et internationale.
En un mot, l’agriculture, par tout ce qu’elle induit, doit être reconnue comme incontournable pour l’économie, le développement et le rayonnement de la Saône-et-Loire, département rural par excellence ».
« Un partenariat loyal et attentif »
Enfin, André Accary précise qu’il « sera particulièrement vigilant et attentif sur la mise en œuvre réelle des récents engagements du gouvernement en faveur de l’agriculture et plus globalement de la ruralité. Des rencontres régulières avec le préfet de Saône-et-Loire seront organisées en ce sens ».
Et de conclure en soulignant avoir la volonté de « faire du Département un partenaire loyal, actif et bienveillant de la filière agricole dans son ensemble et de chaque agriculteur en particulier ».
« Comme elle s’y était engagée, la nouvelle majorité du Conseil départemental entend bien soutenir le milieu agricole. C’est la raison pour laquelle, depuis fin août, André Accary et son vice-président en charge de l’Agriculture, Frédéric Brochot, multiplient les visites sur le terrain et les rencontres avec les acteurs de l’agriculture pour définir une stratégie adaptée aux attentes de la filière », précise le communiqué, stipulant qu’« au-delà du soutien financier, c’est une démarche de partenariat concret et durable qui est attendue. L’objectif du Conseil départemental est clair :
- accompagner les agriculteurs dans l’adaptation de leurs exploitations aux nouvelles donnes économiques ;
- soutenir les jeunes agriculteurs pour consolider les bases de leur installation ;
- promouvoir davantage encore les circuits courts tout en encourageant la commercialisation à l’échelle nationale et internationale.
En un mot, l’agriculture, par tout ce qu’elle induit, doit être reconnue comme incontournable pour l’économie, le développement et le rayonnement de la Saône-et-Loire, département rural par excellence ».
« Un partenariat loyal et attentif »
Enfin, André Accary précise qu’il « sera particulièrement vigilant et attentif sur la mise en œuvre réelle des récents engagements du gouvernement en faveur de l’agriculture et plus globalement de la ruralité. Des rencontres régulières avec le préfet de Saône-et-Loire seront organisées en ce sens ».
Et de conclure en soulignant avoir la volonté de « faire du Département un partenaire loyal, actif et bienveillant de la filière agricole dans son ensemble et de chaque agriculteur en particulier ».
