Open Agrifood
Forum actif et innovant
Publié par Cédric Michelin
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Les 20 et 21 novembre se déroulera à Orléans l’Open Agrifood, un forum
réunissant l’ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire. L’évènement
souhaite s’inscrire dans une démarche active et proposera des réponses
claires et innovantes aux défis posés par l’alimentation de demain.
Avec une quarantaine de rendez-vous sur deux jours, des intervenants internationaux et des thématiques définies d’après les 10.000 réponses du grand public à un questionnaire en ligne, l’Open agrifood qui se tiendra à Orléans les 20 et 21 novembre ne s’inquiète pas quant au succès probable de sa première édition. L’intérêt de la société pour les questions alimentaires ne cesse de progresser et la filière souhaite se projeter dans l’avenir et défendre les produits européens et « un savoir-faire qui ne se dément pas, mais qu’il faut vendre et valoriser », explique Xavier Beulin, président de la FNSEA et de l’Open agrifood. Les défis sont bien connus : nourrir une population croissante, maintenir une composante fondamentale des territoires en matière d’emploi, le tout dans une démarche responsable et respectueuse de l’environnement. Loin des belles paroles, ce nouveau forum mise sur l’interactivité et veut se démarquer des visions purement académiques en associant des experts, des représentants de l’agroalimentaire comme Franck Riboud (Danone) ou Serge Papin (Système U), et des personnalités d’horizons très variés (société civile, universitaires, ONG…) à l’exemple de Tristram Stuart, lauréat du prix international de l’environnement.
Focus sur les jeunes et l’innovation
Et l’avenir de la filière et de l’alimentation passera nécessairement par les jeunes. D’une part, en tant que consommateurs de demain, plus demandeurs d’une alimentation de qualité et de l’origine des produits et d’autre part, en tant qu’acteurs de cette filière porteuse. Open agrifood mettra donc les jeunes à l’honneur en s’adressant directement à eux mais aussi en leur donnant la parole, tout en facilitant leur mise en relation avec le monde de l’entreprise. « Nous avons de belles histoires à raconter dans l’agroalimentaire, et il faut qu’elles percolent dans les universités et les centres de formation », commente Xavier Beulin qui aimerait que le forum permette d’« ouvrir le spectre des capacités qu’offre cette filière ». Open agrifood mettra également l’accent sur l’innovation, autre facteur d’attractivité. Fort de « la volonté sur le pôle orléanais d’approfondir tout ce qui est numérique », Xavier Beulin évoque les améliorations techniques possibles comme les outils d’aide à la décision via smartphone et qui permettent le pilotage amélioré des cultures. Les travaux du forum pourront d’ailleurs être suivis en continu via une application mobile. Sept autres thématiques seront au cœur des ateliers et déjeuners débats de l’évènement - qualité, rentabilité, marketing, biodiversité… - dont les conclusions feront l’objet d’une publication. La plénière de clôture sera l’occasion de présenter, par la voix de l’écrivain Erik Orsenna, un plan agroalimentaire pour 2030. Un programme qui devrait apporter des réponses concrètes aux préoccupations citoyennes actuelles, en concertation avec l’ensemble de la filière : « chacun des acteurs est coresponsable pour une chaine alimentaire vertueuse », résume Xavier Beulin qui espère bien que l’Open agrifood sera l’occasion, pour les différents maillons de la filière, de dépasser les frictions ponctuelles pour confronter leurs points de vue et avancer ensemble sur les nouvelles attentes sociétales.
De nombreux partenaires
Focus sur les jeunes et l’innovation
Et l’avenir de la filière et de l’alimentation passera nécessairement par les jeunes. D’une part, en tant que consommateurs de demain, plus demandeurs d’une alimentation de qualité et de l’origine des produits et d’autre part, en tant qu’acteurs de cette filière porteuse. Open agrifood mettra donc les jeunes à l’honneur en s’adressant directement à eux mais aussi en leur donnant la parole, tout en facilitant leur mise en relation avec le monde de l’entreprise. « Nous avons de belles histoires à raconter dans l’agroalimentaire, et il faut qu’elles percolent dans les universités et les centres de formation », commente Xavier Beulin qui aimerait que le forum permette d’« ouvrir le spectre des capacités qu’offre cette filière ». Open agrifood mettra également l’accent sur l’innovation, autre facteur d’attractivité. Fort de « la volonté sur le pôle orléanais d’approfondir tout ce qui est numérique », Xavier Beulin évoque les améliorations techniques possibles comme les outils d’aide à la décision via smartphone et qui permettent le pilotage amélioré des cultures. Les travaux du forum pourront d’ailleurs être suivis en continu via une application mobile. Sept autres thématiques seront au cœur des ateliers et déjeuners débats de l’évènement - qualité, rentabilité, marketing, biodiversité… - dont les conclusions feront l’objet d’une publication. La plénière de clôture sera l’occasion de présenter, par la voix de l’écrivain Erik Orsenna, un plan agroalimentaire pour 2030. Un programme qui devrait apporter des réponses concrètes aux préoccupations citoyennes actuelles, en concertation avec l’ensemble de la filière : « chacun des acteurs est coresponsable pour une chaine alimentaire vertueuse », résume Xavier Beulin qui espère bien que l’Open agrifood sera l’occasion, pour les différents maillons de la filière, de dépasser les frictions ponctuelles pour confronter leurs points de vue et avancer ensemble sur les nouvelles attentes sociétales.
De nombreux partenaires
Si l’Open agrifood a été créé par Xavier Beulin, président de la FNSEA et de Sofiprotéol, et Emmanuel Vasseneix, PDG de LSDH et Unijus, le projet a reçu le soutien de partenaires institutionnels, notamment les collectivités locales (Région Centre, Conseil général du Loiret, Mairie d’Orléans…), les Chambres de commerce et d’industrie du Loiret et du Centre et les Chambres d’agriculture du Loiret et du Centre. L’évènement compte parmi des partenaires fondateurs Sofiprotéol, l’Union des industries de la protection des plantes (UIPP), ou encore le groupe Leclerc, et est également soutenu par des établissements d’enseignement et des entreprises.
