Jocelyne et Jean-François Martinot à Bourgvilain
« J’ai construit ma maison avec Sica La Truelle »
Eleveur laitier reconverti dans l’engraissement et la pension d’animaux, Jean-François Martinot a fait appel à la Sica La Truelle pour construire la maison de sa retraite. Habitué à cette formule d’autoconstruction, le futur retraité a pu une nouvelle fois apprécier l’efficacité d’un chantier rondement mené. Economies substantielles et respect des contraintes architecturales à la clé.
Eleveur à Bourgvilain, Jean-François Martinot a eu recourt aux services de la Sica La Truelle dès 1977, date de la création d’une section dans le Mâconnais. L’éleveur a ainsi réalisé tous les gros travaux de son exploitation laitière : stabulation, silo… « Nous avions le matériel et nous étions nombreux pour nous entraider. Nous étions six éleveurs : trois à s’occuper de la bétonnière et trois pour seconder le maçon de la Sica. Ce dernier nous apportait son savoir-faire et nous la main-d’œuvre nécessaire. C’est lui qui nous a appris à travailler, à faire les linteaux, à poser les ferrailles, à couper des carreaux… Il nous a aussi appris à faire les enduits », confie Jean-François Martinot.
Contraintes architecturales
Lorsqu’à la veille de sa retraite, l’éleveur a eu un projet de construction d’une maison d’habitation, c’est tout naturellement qu’il a sollicité de nouveau la Sica. Au préalable, Jean-François Martinot avait fait appel à un architecte. Très pentu, le terrain est situé sur la route qui monte au Col des Enceins et la proximité d’un édifice classé monument historique l'obligeait à soumettre le projet à l’architecte des bâtiments de France. Outre la forme des tuiles et la couleur des enduits, le projet a été conçu de sorte à s’intégrer le plus possible au paysage. De plain-pied et sur deux niveaux, la maison de 130 m2 habitables épouse le relief du terrain. Longeant la route par l’un de ses murs, la toiture suit de près la pente du sol. Pour atteindre ces objectifs, l’architecte a donné à la surface de la maison une forme caractéristique en "Z", conférant à l’édifice un design sobre, mais néanmoins original.
Des fondations aux plafonds…
Intervenant sur une période totale de près de 14 mois, la Sica La Truelle a supervisé une grande partie du chantier de construction : implantation de la maison, ferraillage et coulage des fondations, réalisation des soubassements en agglo à bancher, préparation et coulage de la dalle, élévation des murs en briques roulées, scellement de la charpente et arasement des pignons, pose des menuiseries extérieures, isolation des murs avec polystyrène et placo, pose des 105 m2 de carrelage et faïences… Seule la toiture, la chape liquide, l’électricité et la plomberie ont été réalisées par des entreprises. Jean-François a pu fournir son propre bois pour la charpente. Il détenait de beaux douglas de 50 ans d’âge qu’il a fait scier et qui ont donné de solides pannes de 8 m ne nécessitant aucun traitement.
« Pas de temps mort ! »
Durant les six mois qui ont constitué le plus fort du chantier, « il n’y a pas eu de temps mort ! », confie aujourd’hui Jean-François. Une à deux personnes se tenaient en permanence aux côté du maçon de la Sica. « Il fallait être prêt le matin pour 7 h 45 ! Nous avons même travaillé sous la pluie et la neige ! », se souvient l’éleveur. Heureusement, ayant cessé son activité laitière quelques années auparavant, Jean-François Martinot n’avait plus que des animaux en pension et des bêtes à l’engraissement. Plus de vêlage ! Cette reconversion lui a procuré davantage de souplesse pour s’impliquer dans ces travaux.
Grâce à la formule Sica, le futur retraité a pu suivre pas à pas la construction de sa maison. Une précaution qui a son importance dans le cadre d’un projet soumis à l’architecte des bâtiments de France. Son implication dans les travaux lui ont fait économiser environ 15.000 € ; l’équivalent de 40 % du coût de main-d’œuvre. Auxquels il faut ajouter l’économie réalisée sur les matériaux achetés directement par Jean-François Martinot sur les préconisations de la Sica.
Contraintes architecturales
Lorsqu’à la veille de sa retraite, l’éleveur a eu un projet de construction d’une maison d’habitation, c’est tout naturellement qu’il a sollicité de nouveau la Sica. Au préalable, Jean-François Martinot avait fait appel à un architecte. Très pentu, le terrain est situé sur la route qui monte au Col des Enceins et la proximité d’un édifice classé monument historique l'obligeait à soumettre le projet à l’architecte des bâtiments de France. Outre la forme des tuiles et la couleur des enduits, le projet a été conçu de sorte à s’intégrer le plus possible au paysage. De plain-pied et sur deux niveaux, la maison de 130 m2 habitables épouse le relief du terrain. Longeant la route par l’un de ses murs, la toiture suit de près la pente du sol. Pour atteindre ces objectifs, l’architecte a donné à la surface de la maison une forme caractéristique en "Z", conférant à l’édifice un design sobre, mais néanmoins original.
Des fondations aux plafonds…
Intervenant sur une période totale de près de 14 mois, la Sica La Truelle a supervisé une grande partie du chantier de construction : implantation de la maison, ferraillage et coulage des fondations, réalisation des soubassements en agglo à bancher, préparation et coulage de la dalle, élévation des murs en briques roulées, scellement de la charpente et arasement des pignons, pose des menuiseries extérieures, isolation des murs avec polystyrène et placo, pose des 105 m2 de carrelage et faïences… Seule la toiture, la chape liquide, l’électricité et la plomberie ont été réalisées par des entreprises. Jean-François a pu fournir son propre bois pour la charpente. Il détenait de beaux douglas de 50 ans d’âge qu’il a fait scier et qui ont donné de solides pannes de 8 m ne nécessitant aucun traitement.
« Pas de temps mort ! »
Durant les six mois qui ont constitué le plus fort du chantier, « il n’y a pas eu de temps mort ! », confie aujourd’hui Jean-François. Une à deux personnes se tenaient en permanence aux côté du maçon de la Sica. « Il fallait être prêt le matin pour 7 h 45 ! Nous avons même travaillé sous la pluie et la neige ! », se souvient l’éleveur. Heureusement, ayant cessé son activité laitière quelques années auparavant, Jean-François Martinot n’avait plus que des animaux en pension et des bêtes à l’engraissement. Plus de vêlage ! Cette reconversion lui a procuré davantage de souplesse pour s’impliquer dans ces travaux.
Grâce à la formule Sica, le futur retraité a pu suivre pas à pas la construction de sa maison. Une précaution qui a son importance dans le cadre d’un projet soumis à l’architecte des bâtiments de France. Son implication dans les travaux lui ont fait économiser environ 15.000 € ; l’équivalent de 40 % du coût de main-d’œuvre. Auxquels il faut ajouter l’économie réalisée sur les matériaux achetés directement par Jean-François Martinot sur les préconisations de la Sica.
