Annoncé pour le printemps 2017 sur PC, le jeu vidéo Pro Farm Manager place le joueur à la tête d'une exploitation agricole virtuelle qu’il doit créer, développer et gérer. Imaginé par Baptiste et Christophe Lemaire, il propose un univers en 3D, un contenu riche et réaliste avec deux modes de jeu : seul ou à plusieurs en ligne.
Avec Pro Farm Manager, quatre grands thèmes sont représentés : les bâtiments, les élevages, les cultures et les matériels. Le joueur dispose d’un territoire d’une superficie de 625 hectares pour créer et développer une magnifique exploitation agricole. Chaque territoire dispose de ses propres caractéristiques, qu’il s’agisse du relief, de la végétation, des cours d’eau ou de la composition du sol. Les bâtiments sont la base de l’exploitation puisqu’ils permettent de stocker des marchandises, élever des animaux et abriter des matériels. On distingue deux catégories : bâtiment d’élevage et bâtiment de stockage. Pour chaque bâtiment, il y a le choix entre trois modèles ainsi que différents niveaux d’équipements permettant, par exemple, de réduire la consommation en électricité. Un entretien régulier aide à ralentir l’usure du bâtiment.
Optimisation
Il est possible d’élever une ou plusieurs espèces animales : bovin, porcin caprin, ovin et volaille. Il faudra alimenter/abreuver les animaux, mettre de la litière, retirer le fumier/lisier pour leur bien-être et pour éviter les maladies, ou pire, qu’ils meurent. Et ce, pour produire du lait, des œufs ainsi que de la viande. Grâce à la reproduction et à la génétique, il sera possible d’agrandir le troupeau, améliorer les performances des animaux, participer à des concours et remporter des trophées. Côté cultures, au nombre de quinze, il y a des parcelles d'un à vingt hectares soit pour alimenter les animaux soit pour vendre directement à la coopérative. Pourquoi ne pas stocker et vendre plus tard quand les cours sont plus élevés ? Pour une bonne récolte, il faut respecter les saisons pour semer et disposer des bons matériels pour travailler la parcelle. Il est aussi nécessaire de tenir compte de la météo (ensoleillement, pluviométrie, température…) et d’agir vite si une maladie apparaît sur une culture. Un catalogue complet de plus de trente types de matériels agricoles est à disposition, soit plus de cent modèles personnalisables (couleurs, accessoires). Si l’investissement est trop important, il y a moyen d’acheter d’occasion ou sous forme de groupements.
Optimisation
Il est possible d’élever une ou plusieurs espèces animales : bovin, porcin caprin, ovin et volaille. Il faudra alimenter/abreuver les animaux, mettre de la litière, retirer le fumier/lisier pour leur bien-être et pour éviter les maladies, ou pire, qu’ils meurent. Et ce, pour produire du lait, des œufs ainsi que de la viande. Grâce à la reproduction et à la génétique, il sera possible d’agrandir le troupeau, améliorer les performances des animaux, participer à des concours et remporter des trophées. Côté cultures, au nombre de quinze, il y a des parcelles d'un à vingt hectares soit pour alimenter les animaux soit pour vendre directement à la coopérative. Pourquoi ne pas stocker et vendre plus tard quand les cours sont plus élevés ? Pour une bonne récolte, il faut respecter les saisons pour semer et disposer des bons matériels pour travailler la parcelle. Il est aussi nécessaire de tenir compte de la météo (ensoleillement, pluviométrie, température…) et d’agir vite si une maladie apparaît sur une culture. Un catalogue complet de plus de trente types de matériels agricoles est à disposition, soit plus de cent modèles personnalisables (couleurs, accessoires). Si l’investissement est trop important, il y a moyen d’acheter d’occasion ou sous forme de groupements.
