Rucher école de Jalogny
110 formés en 2016, et vous en 2017 ?
Publié par Cédric Michelin
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Le Rucher école de Jalogny, animé par la chambre d'Agriculture de Saône-et-Loire, a présenté son bilan 2016. Et il est positif. 110 stagiaires ont assisté à au moins une séance de formation. Ce sont même 40 stagiaires qui étaient présents en moyenne à chaque séance. Du coup, la plate-forme accueillant les ruches et les stagiaires a été agrandie afin de garantir sécurité et qualité d'intervention.
Un stagiaire du Rucher école en 2015 s'est même installé avec des aides apicultures (et avicultures) et a bénéficié de l'accompagnement technique des formateurs. Deux autres agriculteurs-stagiaires ont produit leur première miellée en 2016. Des ateliers complémentaires qui pour eux constituent une forme de diversification. Le Rucher école débutera de prochaines formations dès janvier 2017, avec une nouveauté sur l'élevage de reines. Alors pourquoi pas vous ?
« Quelque 1,4 milliard d'emplois et les trois quarts des cultures dépendent d'animaux pollinisateurs, gravement menacés », souligne un rapport publié le 28 novembre dans la revue Nature. Parmi les cultures affectées, figurent la plupart des arbres fruitiers, des semences, des fruits à coque et des productions à forte valeur ajoutée comme le café ou le cacao. « L'agriculture emploie 1,4 milliard de personnes, soit environ un tiers des actifs dans le monde », ajoute l'étude. La préservation des pollinisateurs est « cruciale pour les communautés rurales pauvres, dont 70% ont pour principale source de revenus et d'emplois l'agriculture ». Tout le monde (entier) est donc concerné !
« Quelque 1,4 milliard d'emplois et les trois quarts des cultures dépendent d'animaux pollinisateurs, gravement menacés », souligne un rapport publié le 28 novembre dans la revue Nature. Parmi les cultures affectées, figurent la plupart des arbres fruitiers, des semences, des fruits à coque et des productions à forte valeur ajoutée comme le café ou le cacao. « L'agriculture emploie 1,4 milliard de personnes, soit environ un tiers des actifs dans le monde », ajoute l'étude. La préservation des pollinisateurs est « cruciale pour les communautés rurales pauvres, dont 70% ont pour principale source de revenus et d'emplois l'agriculture ». Tout le monde (entier) est donc concerné !
