La ferme des Blancs à Colombier-en-Brionnais
OAB La ferme des Blancs - Gaec Malatier
Au cœur du Charolais-Brionnais, les porcs de la famille Malatier naissent et grandissent en plein air. Aujourd’hui à la ferme des Blancs on élève, transforme et vend en direct toute la production. Un gage de qualité reconnu depuis quinze ans désormais.
À la ferme des Blancs tout est organisé pour produire des porcs de qualité.
Tout d’abord les races ont été sélectionnées avec soin, « nos porcs sont parfaitement bien formés pour ce que l’on veut travailler », explique Lætitia la fille de la famille en charge du laboratoire de transformation. Ainsi au fil du temps, les croisements entre les races duroc, landrace et large white permettent aujourd’hui de disposer de porcs « dociles, ni gros, ni grands, mais longs avec de gros jambons ».
Et ces cochons profitent d’un cadre idéal : d’abord élevés sous la mère pendant quatre semaines, ils vivent ensuite huit semaines dans des loges paillées, leur seul passage « enfermé ». Ils retrouvent ensuite l’extérieur pour plusieurs mois.
Extérieur tout confort
« Nous abattons une quinzaine de porcs par semaine, détaille encore Lætitia, ils ont tous entre neuf et douze mois et font environ 110 kg de carcasse ».
L’organisation de l’élevage fait que tous les mois naît un nouveau lot de porcelets. « Nous avons une soixantaine de truies, réparties en bande de six à huit ». Et on les découvre dans les prairies situées autour de l’exploitation. Chacune bénéficie d’un parc enherbé et d’une cabane où trouver refuge. Chaque parc étant simplement clôturé par un fil électrique, les petits porcelets passent aisément par-dessous et s’accordent ainsi des petites visites aux alentours.
Une fois séparés de leur mère, ils grandiront toujours ensemble. « Nos porcs ne sont nourris qu’aux céréales, maïs et blé représentent l’essentiel de leur nourriture ».
Livraison à domicile
Au final, la viande de porc produite est d’une excellente qualité. « Nous vendons tout en frais, majoritairement dans notre magasin à la ferme*, mais nous sommes aussi présents dans quelques enseignes du département ». Les clients, fidèles, ont connu les porcs de la famille Malatier par le bouche à oreille pour la plupart. Désormais, certains passent aussi commande par Internet. « Nous prévoyons trois à quatre livraisons par an à Paris, Lyon et dans le sud. Nous tenons à rencontrer directement les clients ».
Si les produits proposés restent les incontournables saucissons secs, fromages de tête, rillettes, pâtés, mais aussi filet mignon et échine séchés, « nous proposons aussi du boudin blanc en hiver et toute une gamme de saucisses en été » dont certaines au curry, aux herbes et piquantes. Les recettes, appréciées des clients, évoluent finalement peu « nous avons juste réduit la quantité de sel et proposons beaucoup de préparation sans sel nitrité ». La famille Malatier s’est lancée dans la transformation et la vente directe en 2005. Et depuis quinze ans, le succès ne se dément pas.
* ouvert du mardi au samedi 9 h-12 h et 14 h-19 h et le dimanche 9 h-12 h.
À la ferme des Blancs tout est organisé pour produire des porcs de qualité.
Tout d’abord les races ont été sélectionnées avec soin, « nos porcs sont parfaitement bien formés pour ce que l’on veut travailler », explique Lætitia la fille de la famille en charge du laboratoire de transformation. Ainsi au fil du temps, les croisements entre les races duroc, landrace et large white permettent aujourd’hui de disposer de porcs « dociles, ni gros, ni grands, mais longs avec de gros jambons ».
Et ces cochons profitent d’un cadre idéal : d’abord élevés sous la mère pendant quatre semaines, ils vivent ensuite huit semaines dans des loges paillées, leur seul passage « enfermé ». Ils retrouvent ensuite l’extérieur pour plusieurs mois.
Extérieur tout confort
« Nous abattons une quinzaine de porcs par semaine, détaille encore Lætitia, ils ont tous entre neuf et douze mois et font environ 110 kg de carcasse ».
L’organisation de l’élevage fait que tous les mois naît un nouveau lot de porcelets. « Nous avons une soixantaine de truies, réparties en bande de six à huit ». Et on les découvre dans les prairies situées autour de l’exploitation. Chacune bénéficie d’un parc enherbé et d’une cabane où trouver refuge. Chaque parc étant simplement clôturé par un fil électrique, les petits porcelets passent aisément par-dessous et s’accordent ainsi des petites visites aux alentours.
Une fois séparés de leur mère, ils grandiront toujours ensemble. « Nos porcs ne sont nourris qu’aux céréales, maïs et blé représentent l’essentiel de leur nourriture ».
Livraison à domicile
Au final, la viande de porc produite est d’une excellente qualité. « Nous vendons tout en frais, majoritairement dans notre magasin à la ferme*, mais nous sommes aussi présents dans quelques enseignes du département ». Les clients, fidèles, ont connu les porcs de la famille Malatier par le bouche à oreille pour la plupart. Désormais, certains passent aussi commande par Internet. « Nous prévoyons trois à quatre livraisons par an à Paris, Lyon et dans le sud. Nous tenons à rencontrer directement les clients ».
Si les produits proposés restent les incontournables saucissons secs, fromages de tête, rillettes, pâtés, mais aussi filet mignon et échine séchés, « nous proposons aussi du boudin blanc en hiver et toute une gamme de saucisses en été » dont certaines au curry, aux herbes et piquantes. Les recettes, appréciées des clients, évoluent finalement peu « nous avons juste réduit la quantité de sel et proposons beaucoup de préparation sans sel nitrité ». La famille Malatier s’est lancée dans la transformation et la vente directe en 2005. Et depuis quinze ans, le succès ne se dément pas.
* ouvert du mardi au samedi 9 h-12 h et 14 h-19 h et le dimanche 9 h-12 h.
