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Sylviculture

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

Dans les forêts de Douglas de Saône-et-Loire, la coopérative forestière Bourgogne Limousin développe l’éco-reboisement. C’est une méthode de replantation qui allie la durabilité agronomique, l’intérêt écologique à une moindre pénibilité pour les ouvriers.

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En Saône-et-Loire, la coopérative forestière Bourgogne Limousin (CFBL) gère 19.400 hectares de forêt pour le compte d’un peu plus de 2.000 adhérents propriétaires. Attachée à une gestion durable de la forêt, la CFBL expérimente des méthodes de sylviculture innovantes et alternatives pour faire face au changement climatique et aux défis environnementaux.

Travail du sol localisé

Ainsi, la coopérative développe-t-elle la technique dite de l’éco-reboisement. Ce procédé est notamment mis en œuvre pour le renouvellement des plantations de sapins de Douglas des forêts du Charolais. A la différence des méthodes conventionnelles, la première chose qui saute aux yeux, c’est la présence au sol des branchages et autres débris de l’ancienne plantation. Ils ne sont plus rangés en immenses andains comme auparavant. Les parcelles ne sont plus dessouchées et le travail du sol se limite à des « potées » localisées. La terre est retournée, décompactée, ameublie, d’un coup de godet de pelle mécanique juste à l’emplacement d’un futur plant. Sur le paysage, l’impact de l’éco-reboisement est immédiat. On ne voit plus ces anciennes sapinières au sol nu, hachuré par d’affreux amas de racines et branchages morts entremêlés.

Taux de reprise amélioré

Mais l’intérêt de l’éco-reboisement n’est heureusement pas qu’esthétique. « Le maintien au sol des branchages assure la protection du substrat et des jeunes plants et il favorise l’humus », explique Richard Lachèze de la CFBL qui ajoute qu’avec cette technique, le taux de reprise des jeunes Douglas est nettement amélioré. D’où une garantie de reprise, au sein de la coopérative, de 80 à 85%. De fait, grâce au travail du sol localisé à la potée, « le plant bénéficie d’un environnement plus favorable. Il pousse plus vite ; s’affranchit plus vite de la végétation concurrente et on gagne un dégagement. Mieux installé et n’ayant pas à subir le stress de l’arrachage, le plant en motte supporte mieux les sécheresses, ce qui est déterminant avec l’évolution climatique que l’on constate de plus en plus », fait aussi valoir le représentant de la CFBL. Plus écologique, l’éco-reboisement s’avère aussi plus économique. Et sa plus grande facilité de mise en œuvre, en comparaison d’une plantation classique, lui confère un intérêt social, révèle Richard Lachèze. Dans un contexte où il est de plus en plus difficile de recruter des ouvriers forestiers, la coopérative veille à rendre le travail moins pénible.

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En Saône-et-Loire, la coopérative forestière Bourgogne Limousin (CFBL) gère 19.400 hectares de forêt pour le compte d’un peu plus de 2.000 adhérents propriétaires. Attachée à une gestion durable de la forêt, la CFBL expérimente des méthodes de sylviculture innovantes et alternatives pour faire face au changement climatique et aux défis environnementaux.

Travail du sol localisé

Ainsi, la coopérative développe-t-elle la technique dite de l’éco-reboisement. Ce procédé est notamment mis en œuvre pour le renouvellement des plantations de sapins de Douglas des forêts du Charolais. A la différence des méthodes conventionnelles, la première chose qui saute aux yeux, c’est la présence au sol des branchages et autres débris de l’ancienne plantation. Ils ne sont plus rangés en immenses andains comme auparavant. Les parcelles ne sont plus dessouchées et le travail du sol se limite à des « potées » localisées. La terre est retournée, décompactée, ameublie, d’un coup de godet de pelle mécanique juste à l’emplacement d’un futur plant. Sur le paysage, l’impact de l’éco-reboisement est immédiat. On ne voit plus ces anciennes sapinières au sol nu, hachuré par d’affreux amas de racines et branchages morts entremêlés.

Taux de reprise amélioré

Mais l’intérêt de l’éco-reboisement n’est heureusement pas qu’esthétique. « Le maintien au sol des branchages assure la protection du substrat et des jeunes plants et il favorise l’humus », explique Richard Lachèze de la CFBL qui ajoute qu’avec cette technique, le taux de reprise des jeunes Douglas est nettement amélioré. D’où une garantie de reprise, au sein de la coopérative, de 80 à 85%. De fait, grâce au travail du sol localisé à la potée, « le plant bénéficie d’un environnement plus favorable. Il pousse plus vite ; s’affranchit plus vite de la végétation concurrente et on gagne un dégagement. Mieux installé et n’ayant pas à subir le stress de l’arrachage, le plant en motte supporte mieux les sécheresses, ce qui est déterminant avec l’évolution climatique que l’on constate de plus en plus », fait aussi valoir le représentant de la CFBL. Plus écologique, l’éco-reboisement s’avère aussi plus économique. Et sa plus grande facilité de mise en œuvre, en comparaison d’une plantation classique, lui confère un intérêt social, révèle Richard Lachèze. Dans un contexte où il est de plus en plus difficile de recruter des ouvriers forestiers, la coopérative veille à rendre le travail moins pénible.

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En Saône-et-Loire, la coopérative forestière Bourgogne Limousin (CFBL) gère 19.400 hectares de forêt pour le compte d’un peu plus de 2.000 adhérents propriétaires. Attachée à une gestion durable de la forêt, la CFBL expérimente des méthodes de sylviculture innovantes et alternatives pour faire face au changement climatique et aux défis environnementaux.

Travail du sol localisé

Ainsi, la coopérative développe-t-elle la technique dite de l’éco-reboisement. Ce procédé est notamment mis en œuvre pour le renouvellement des plantations de sapins de Douglas des forêts du Charolais. A la différence des méthodes conventionnelles, la première chose qui saute aux yeux, c’est la présence au sol des branchages et autres débris de l’ancienne plantation. Ils ne sont plus rangés en immenses andains comme auparavant. Les parcelles ne sont plus dessouchées et le travail du sol se limite à des « potées » localisées. La terre est retournée, décompactée, ameublie, d’un coup de godet de pelle mécanique juste à l’emplacement d’un futur plant. Sur le paysage, l’impact de l’éco-reboisement est immédiat. On ne voit plus ces anciennes sapinières au sol nu, hachuré par d’affreux amas de racines et branchages morts entremêlés.

Taux de reprise amélioré

Mais l’intérêt de l’éco-reboisement n’est heureusement pas qu’esthétique. « Le maintien au sol des branchages assure la protection du substrat et des jeunes plants et il favorise l’humus », explique Richard Lachèze de la CFBL qui ajoute qu’avec cette technique, le taux de reprise des jeunes Douglas est nettement amélioré. D’où une garantie de reprise, au sein de la coopérative, de 80 à 85%. De fait, grâce au travail du sol localisé à la potée, « le plant bénéficie d’un environnement plus favorable. Il pousse plus vite ; s’affranchit plus vite de la végétation concurrente et on gagne un dégagement. Mieux installé et n’ayant pas à subir le stress de l’arrachage, le plant en motte supporte mieux les sécheresses, ce qui est déterminant avec l’évolution climatique que l’on constate de plus en plus », fait aussi valoir le représentant de la CFBL. Plus écologique, l’éco-reboisement s’avère aussi plus économique. Et sa plus grande facilité de mise en œuvre, en comparaison d’une plantation classique, lui confère un intérêt social, révèle Richard Lachèze. Dans un contexte où il est de plus en plus difficile de recruter des ouvriers forestiers, la coopérative veille à rendre le travail moins pénible.

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En sylviculture, l’éco-reboisement gagne du terrain

En Saône-et-Loire, la coopérative forestière Bourgogne Limousin (CFBL) gère 19.400 hectares de forêt pour le compte d’un peu plus de 2.000 adhérents propriétaires. Attachée à une gestion durable de la forêt, la CFBL expérimente des méthodes de sylviculture innovantes et alternatives pour faire face au changement climatique et aux défis environnementaux.

Travail du sol localisé

Ainsi, la coopérative développe-t-elle la technique dite de l’éco-reboisement. Ce procédé est notamment mis en œuvre pour le renouvellement des plantations de sapins de Douglas des forêts du Charolais. A la différence des méthodes conventionnelles, la première chose qui saute aux yeux, c’est la présence au sol des branchages et autres débris de l’ancienne plantation. Ils ne sont plus rangés en immenses andains comme auparavant. Les parcelles ne sont plus dessouchées et le travail du sol se limite à des « potées » localisées. La terre est retournée, décompactée, ameublie, d’un coup de godet de pelle mécanique juste à l’emplacement d’un futur plant. Sur le paysage, l’impact de l’éco-reboisement est immédiat. On ne voit plus ces anciennes sapinières au sol nu, hachuré par d’affreux amas de racines et branchages morts entremêlés.

Taux de reprise amélioré

Mais l’intérêt de l’éco-reboisement n’est heureusement pas qu’esthétique. « Le maintien au sol des branchages assure la protection du substrat et des jeunes plants et il favorise l’humus », explique Richard Lachèze de la CFBL qui ajoute qu’avec cette technique, le taux de reprise des jeunes Douglas est nettement amélioré. D’où une garantie de reprise, au sein de la coopérative, de 80 à 85%. De fait, grâce au travail du sol localisé à la potée, « le plant bénéficie d’un environnement plus favorable. Il pousse plus vite ; s’affranchit plus vite de la végétation concurrente et on gagne un dégagement. Mieux installé et n’ayant pas à subir le stress de l’arrachage, le plant en motte supporte mieux les sécheresses, ce qui est déterminant avec l’évolution climatique que l’on constate de plus en plus », fait aussi valoir le représentant de la CFBL. Plus écologique, l’éco-reboisement s’avère aussi plus économique. Et sa plus grande facilité de mise en œuvre, en comparaison d’une plantation classique, lui confère un intérêt social, révèle Richard Lachèze. Dans un contexte où il est de plus en plus difficile de recruter des ouvriers forestiers, la coopérative veille à rendre le travail moins pénible.

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