Transmettre son exploitation suppose d'anticiper... a minima !
Anticiper est le maître mot de la transmission des exploitations. Vivéa met le focus sur une formation pour se préparer sur le plan administratif et psychologique.

« Même si nous arrivons à un stade où nous pouvons être lassés des démarches administratives, l’arrêt de notre activité est une grande étape qu’il ne faut pas manquer. On ne peut pas mettre fin à quarante ans d’activité sans prendre le temps d’y réfléchir. La cessation ne se fera pas sans effort, il y a encore de l’énergie à y passer ». C’est avec ces mots que l’un des stagiaires d’une formation Transmission d’entreprise, proposée par CerFrance 71 et financée par Vivéa, expliquait pourquoi il s’était inscrit dans cette démarche.
Anticiper…
Si les participants étaient déjà convaincus avant leur formation de la nécessité de se poser des questions en amont de cette phase, les deux journées de formation leur ont confirmé à quel point anticiper était indispensable.
Anticiper la transmission d’un patrimoine où le professionnel et le personnel sont souvent intimement imbriqués.
Anticiper l’optimisation de la fiscalité au regard des règles, des options possibles et de leurs évolutions rapides.
Anticiper la transmission des baux sans prendre de risques pour le repreneur.
Anticiper la recherche d’un repreneur pour ceux qui n’en ont pas encore, d’autant que le contexte actuel n’améliore pas l’attractivité du métier.
La formation leur a permis de mieux appréhender les complexités administratives et fiscales et de lever certaines inquiétudes sur les étapes à ne pas manquer pour l’avenir de leur exploitation. Mais elle leur a aussi ouvert les yeux sur des aspects plus personnels. Un autre stagiaire de la formation affirmait ainsi : « ma vision de l’arrêt a évolué mais également celle de l’après. Les échanges et le partage permettent d’avoir d’autres idées, de se préparer psychologiquement. Si aujourd’hui je me lève le matin sans me poser de questions sur ce que je vais faire dans ma journée, demain, je dois me préparer à la suite et commencer à réfléchir à ce que je ferai ».
Delphine Cuvillier
Transmettre son exploitation suppose d'anticiper... a minima !

« Même si nous arrivons à un stade où nous pouvons être lassés des démarches administratives, l’arrêt de notre activité est une grande étape qu’il ne faut pas manquer. On ne peut pas mettre fin à quarante ans d’activité sans prendre le temps d’y réfléchir. La cessation ne se fera pas sans effort, il y a encore de l’énergie à y passer ». C’est avec ces mots que l’un des stagiaires d’une formation Transmission d’entreprise, proposée par CerFrance 71 et financée par Vivéa, expliquait pourquoi il s’était inscrit dans cette démarche.
Anticiper…
Si les participants étaient déjà convaincus avant leur formation de la nécessité de se poser des questions en amont de cette phase, les deux journées de formation leur ont confirmé à quel point anticiper était indispensable.
Anticiper la transmission d’un patrimoine où le professionnel et le personnel sont souvent intimement imbriqués.
Anticiper l’optimisation de la fiscalité au regard des règles, des options possibles et de leurs évolutions rapides.
Anticiper la transmission des baux sans prendre de risques pour le repreneur.
Anticiper la recherche d’un repreneur pour ceux qui n’en ont pas encore, d’autant que le contexte actuel n’améliore pas l’attractivité du métier.
La formation leur a permis de mieux appréhender les complexités administratives et fiscales et de lever certaines inquiétudes sur les étapes à ne pas manquer pour l’avenir de leur exploitation. Mais elle leur a aussi ouvert les yeux sur des aspects plus personnels. Un autre stagiaire de la formation affirmait ainsi : « ma vision de l’arrêt a évolué mais également celle de l’après. Les échanges et le partage permettent d’avoir d’autres idées, de se préparer psychologiquement. Si aujourd’hui je me lève le matin sans me poser de questions sur ce que je vais faire dans ma journée, demain, je dois me préparer à la suite et commencer à réfléchir à ce que je ferai ».
Delphine Cuvillier
Transmettre son exploitation suppose d'anticiper... a minima !

« Même si nous arrivons à un stade où nous pouvons être lassés des démarches administratives, l’arrêt de notre activité est une grande étape qu’il ne faut pas manquer. On ne peut pas mettre fin à quarante ans d’activité sans prendre le temps d’y réfléchir. La cessation ne se fera pas sans effort, il y a encore de l’énergie à y passer ». C’est avec ces mots que l’un des stagiaires d’une formation Transmission d’entreprise, proposée par CerFrance 71 et financée par Vivéa, expliquait pourquoi il s’était inscrit dans cette démarche.
Anticiper…
Si les participants étaient déjà convaincus avant leur formation de la nécessité de se poser des questions en amont de cette phase, les deux journées de formation leur ont confirmé à quel point anticiper était indispensable.
Anticiper la transmission d’un patrimoine où le professionnel et le personnel sont souvent intimement imbriqués.
Anticiper l’optimisation de la fiscalité au regard des règles, des options possibles et de leurs évolutions rapides.
Anticiper la transmission des baux sans prendre de risques pour le repreneur.
Anticiper la recherche d’un repreneur pour ceux qui n’en ont pas encore, d’autant que le contexte actuel n’améliore pas l’attractivité du métier.
La formation leur a permis de mieux appréhender les complexités administratives et fiscales et de lever certaines inquiétudes sur les étapes à ne pas manquer pour l’avenir de leur exploitation. Mais elle leur a aussi ouvert les yeux sur des aspects plus personnels. Un autre stagiaire de la formation affirmait ainsi : « ma vision de l’arrêt a évolué mais également celle de l’après. Les échanges et le partage permettent d’avoir d’autres idées, de se préparer psychologiquement. Si aujourd’hui je me lève le matin sans me poser de questions sur ce que je vais faire dans ma journée, demain, je dois me préparer à la suite et commencer à réfléchir à ce que je ferai ».
Delphine Cuvillier