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UE 2019-2024

Un « agenda stratégique » de l’UE pour 2019-2024

Les chefs d’État et de gouvernement des Vingt-sept se sont retrouvés le 9 mai à Sibiu, en Roumanie, pour des échanges de vues informels sur l’« agenda stratégique » de l’Union pour le prochain cycle institutionnel 2019-2024 qui, assombri par l’interminable feuilleton du Brexit, démarrera avec l’arrivée en juillet des eurodéputés nouvellement élus pour cinq ans, puis celle en novembre d’une nouvelle Commission européenne. Ils devaient aussi aborder la question de la nomination des prochains dirigeants des institutions de l’Union Européenne.

Par Publié par Cédric Michelin
Un « agenda stratégique » de l’UE pour 2019-2024

Dans sa contribution aux débats sur cet agenda qui doit être formellement adopté par les chefs d’État et de gouvernement lors de leur sommet des 20 et 21 juin, la Commission présidée par Jean-Claude Juncker souligne notamment la nécessité de « renforcer (les) efforts pour lutter contre le changement climatique et inverser la dégradation de l’environnement ». Selon elle, « une politique agricole commune modernisée devrait soutenir cette approche intégrée de la durabilité ».

Dans une des annexes de sa contribution, l’exécutif européen recense le « Top 20 des réalisations de l’UE 2014-2019 », sous sa mandature, dont font partie, selon lui, la déclaration conjointe du 25 juillet 2018 du président Donald Trump et de Jean-Claude Juncker censée éviter que ne s’enveniment les relations euro-américaines, les accords commerciaux avec le Japon et le Canada ainsi que la réforme de la directive sur le détachement des travailleurs.

Dans une autre annexe, la Commission présente ce qu’elle considère comme les « chiffres clefs » de sa mandature, notamment la protection de 232 signes de qualité agroalimentaires supplémentaires (+19 %).

Un « agenda stratégique » de l’UE pour 2019-2024

Un « agenda stratégique » de l’UE pour 2019-2024

Dans sa contribution aux débats sur cet agenda qui doit être formellement adopté par les chefs d’État et de gouvernement lors de leur sommet des 20 et 21 juin, la Commission présidée par Jean-Claude Juncker souligne notamment la nécessité de « renforcer (les) efforts pour lutter contre le changement climatique et inverser la dégradation de l’environnement ». Selon elle, « une politique agricole commune modernisée devrait soutenir cette approche intégrée de la durabilité ».

Dans une des annexes de sa contribution, l’exécutif européen recense le « Top 20 des réalisations de l’UE 2014-2019 », sous sa mandature, dont font partie, selon lui, la déclaration conjointe du 25 juillet 2018 du président Donald Trump et de Jean-Claude Juncker censée éviter que ne s’enveniment les relations euro-américaines, les accords commerciaux avec le Japon et le Canada ainsi que la réforme de la directive sur le détachement des travailleurs.

Dans une autre annexe, la Commission présente ce qu’elle considère comme les « chiffres clefs » de sa mandature, notamment la protection de 232 signes de qualité agroalimentaires supplémentaires (+19 %).

Un « agenda stratégique » de l’UE pour 2019-2024

Un « agenda stratégique » de l’UE pour 2019-2024

Dans sa contribution aux débats sur cet agenda qui doit être formellement adopté par les chefs d’État et de gouvernement lors de leur sommet des 20 et 21 juin, la Commission présidée par Jean-Claude Juncker souligne notamment la nécessité de « renforcer (les) efforts pour lutter contre le changement climatique et inverser la dégradation de l’environnement ». Selon elle, « une politique agricole commune modernisée devrait soutenir cette approche intégrée de la durabilité ».

Dans une des annexes de sa contribution, l’exécutif européen recense le « Top 20 des réalisations de l’UE 2014-2019 », sous sa mandature, dont font partie, selon lui, la déclaration conjointe du 25 juillet 2018 du président Donald Trump et de Jean-Claude Juncker censée éviter que ne s’enveniment les relations euro-américaines, les accords commerciaux avec le Japon et le Canada ainsi que la réforme de la directive sur le détachement des travailleurs.

Dans une autre annexe, la Commission présente ce qu’elle considère comme les « chiffres clefs » de sa mandature, notamment la protection de 232 signes de qualité agroalimentaires supplémentaires (+19 %).