Des aides pour l’amélioration de l’habitat
L’agence nationale de l’habitat, l’Anah, propose depuis plusieurs années le dispositif Habiter mieux permettant aux foyers les plus modestes de bénéficier d’aides à la rénovation énergétique de leur domicile. Agence et dispositif méconnus, le préfet de région s’est rendu dans l’Autunois le 17 janvier chez un agriculteur qui a pu bénéficier de ces aides pour sa future habitation principale.

C’est pour fêter le 25.000e dossier traité dans le cadre du dispositif Habiter mieux que Bernard Schmeltz, le préfet de région Bourgogne Franche-Comté, s’est déplacé le vendredi 17 janvier à Étang-sur-Arroux chez Dominique Lussat.
L’idée est véritablement de mettre un coup de projecteur sur ce type d’aides, auxquels les foyers les plus modestes peuvent prétendre. « Et compte-tenu de leur niveau de revenus, les agriculteurs sont la plupart du temps à même de solliciter ces aides », fait-on remarquer du côté des services de l’État.
Gain significatif
« Les types de travaux concernés par le dispositif sont très précis et concernent notamment la pose d’isolant, le changement de menuiserie, le chauffage, l’isolation par l’extérieur », développe ainsi Cécile Dedienne, adjointe au chef de service Habitat Construction de la DDT. Autre point primordial pour pouvoir toucher l’aide : que « le gain énergétique soit de 25 % minimum ». Dans les faits, « on s’aperçoit que le gain moyen énergétique est de 39 % », précise de son côté Catherine Gouby, notamment en charge de l’amélioration du parc privé à la DDT. D’où l’intérêt de procéder à ces améliorations.
Une enveloppe de 43 millions
En 2019 au niveau régional, 43 millions d’euros ont ainsi été distribués entre 6.447 dossiers, dont 1.353 en Saône-et-Loire pour 7,7 millions d’euros. Très encadré, le dispositif passe par un organisme indépendant qui réalise un diagnostic complet du logement, notamment au niveau énergétique. Cet organisme élabore avec le ménage les projets de travaux, puis aide au montage administratif et financier du dossier ainsi qu’au suivi des travaux.
Ainsi, même si l’octroi de ces aides est soumis à condition, nombre de foyers ignorent encore qu’ils peuvent y prétendre. « L’Anah fonctionne au niveau national, et chaque année en Saône-et-Loire, nous arrivons à débloquer des financements au-delà de notre enveloppe initiale, en bénéficiant des aides non allouées, car non sollicitées, au niveau régional et même national ».
Nouvelle aide 2020
Pour chaque dossier, l’enveloppe débloquée peut représenter jusqu’à 50 % des montants HT, dans la limite de 10.000 €.
Un coup de pouce plus qu’apprécié qui peut être déterminant pour se lancer dans les travaux, ce qui fut le cas pour Dominique Lussat (voir l’encadré).
Pour faciliter le montage du dossier, l’Anah départementale a habilité deux opérateurs Coléas et Urbanis, basés respectivement à Mâcon et à Chalon-sur-Saône, ainsi que la société Appore basée à Montceau-les-Mines.
« Il y a en plus une aide complémentaire qui peut être de plusieurs centaines d’euros et qui vient combler en grande partie le coût de l’opérateur ».
Par ailleurs, il y a une nouveauté 2020 : « une bonification supplémentaire de 10 % versée par l’Anah si le gain énergétique est de 35 % minimum », détaille encore Cécile Dedienne, un gain énergétique qui permet de quitter les étiquettes énergie F ou G.
Au 1er juillet prochain, les entreprises intervenantes dans le cadre de ces aides devront obligatoirement être RGE, pour Reconnu garant de l’environnement. 2.300 le sont en BFC, dont 882 en Saône-et-Loire.
Des aides pour l’amélioration de l’habitat

C’est pour fêter le 25.000e dossier traité dans le cadre du dispositif Habiter mieux que Bernard Schmeltz, le préfet de région Bourgogne Franche-Comté, s’est déplacé le vendredi 17 janvier à Étang-sur-Arroux chez Dominique Lussat.
L’idée est véritablement de mettre un coup de projecteur sur ce type d’aides, auxquels les foyers les plus modestes peuvent prétendre. « Et compte-tenu de leur niveau de revenus, les agriculteurs sont la plupart du temps à même de solliciter ces aides », fait-on remarquer du côté des services de l’État.
Gain significatif
« Les types de travaux concernés par le dispositif sont très précis et concernent notamment la pose d’isolant, le changement de menuiserie, le chauffage, l’isolation par l’extérieur », développe ainsi Cécile Dedienne, adjointe au chef de service Habitat Construction de la DDT. Autre point primordial pour pouvoir toucher l’aide : que « le gain énergétique soit de 25 % minimum ». Dans les faits, « on s’aperçoit que le gain moyen énergétique est de 39 % », précise de son côté Catherine Gouby, notamment en charge de l’amélioration du parc privé à la DDT. D’où l’intérêt de procéder à ces améliorations.
Une enveloppe de 43 millions
En 2019 au niveau régional, 43 millions d’euros ont ainsi été distribués entre 6.447 dossiers, dont 1.353 en Saône-et-Loire pour 7,7 millions d’euros. Très encadré, le dispositif passe par un organisme indépendant qui réalise un diagnostic complet du logement, notamment au niveau énergétique. Cet organisme élabore avec le ménage les projets de travaux, puis aide au montage administratif et financier du dossier ainsi qu’au suivi des travaux.
Ainsi, même si l’octroi de ces aides est soumis à condition, nombre de foyers ignorent encore qu’ils peuvent y prétendre. « L’Anah fonctionne au niveau national, et chaque année en Saône-et-Loire, nous arrivons à débloquer des financements au-delà de notre enveloppe initiale, en bénéficiant des aides non allouées, car non sollicitées, au niveau régional et même national ».
Nouvelle aide 2020
Pour chaque dossier, l’enveloppe débloquée peut représenter jusqu’à 50 % des montants HT, dans la limite de 10.000 €.
Un coup de pouce plus qu’apprécié qui peut être déterminant pour se lancer dans les travaux, ce qui fut le cas pour Dominique Lussat (voir l’encadré).
Pour faciliter le montage du dossier, l’Anah départementale a habilité deux opérateurs Coléas et Urbanis, basés respectivement à Mâcon et à Chalon-sur-Saône, ainsi que la société Appore basée à Montceau-les-Mines.
« Il y a en plus une aide complémentaire qui peut être de plusieurs centaines d’euros et qui vient combler en grande partie le coût de l’opérateur ».
Par ailleurs, il y a une nouveauté 2020 : « une bonification supplémentaire de 10 % versée par l’Anah si le gain énergétique est de 35 % minimum », détaille encore Cécile Dedienne, un gain énergétique qui permet de quitter les étiquettes énergie F ou G.
Au 1er juillet prochain, les entreprises intervenantes dans le cadre de ces aides devront obligatoirement être RGE, pour Reconnu garant de l’environnement. 2.300 le sont en BFC, dont 882 en Saône-et-Loire.
Des aides pour l’amélioration de l’habitat

C’est pour fêter le 25.000e dossier traité dans le cadre du dispositif Habiter mieux que Bernard Schmeltz, le préfet de région Bourgogne Franche-Comté, s’est déplacé le vendredi 17 janvier à Étang-sur-Arroux chez Dominique Lussat.
L’idée est véritablement de mettre un coup de projecteur sur ce type d’aides, auxquels les foyers les plus modestes peuvent prétendre. « Et compte-tenu de leur niveau de revenus, les agriculteurs sont la plupart du temps à même de solliciter ces aides », fait-on remarquer du côté des services de l’État.
Gain significatif
« Les types de travaux concernés par le dispositif sont très précis et concernent notamment la pose d’isolant, le changement de menuiserie, le chauffage, l’isolation par l’extérieur », développe ainsi Cécile Dedienne, adjointe au chef de service Habitat Construction de la DDT. Autre point primordial pour pouvoir toucher l’aide : que « le gain énergétique soit de 25 % minimum ». Dans les faits, « on s’aperçoit que le gain moyen énergétique est de 39 % », précise de son côté Catherine Gouby, notamment en charge de l’amélioration du parc privé à la DDT. D’où l’intérêt de procéder à ces améliorations.
Une enveloppe de 43 millions
En 2019 au niveau régional, 43 millions d’euros ont ainsi été distribués entre 6.447 dossiers, dont 1.353 en Saône-et-Loire pour 7,7 millions d’euros. Très encadré, le dispositif passe par un organisme indépendant qui réalise un diagnostic complet du logement, notamment au niveau énergétique. Cet organisme élabore avec le ménage les projets de travaux, puis aide au montage administratif et financier du dossier ainsi qu’au suivi des travaux.
Ainsi, même si l’octroi de ces aides est soumis à condition, nombre de foyers ignorent encore qu’ils peuvent y prétendre. « L’Anah fonctionne au niveau national, et chaque année en Saône-et-Loire, nous arrivons à débloquer des financements au-delà de notre enveloppe initiale, en bénéficiant des aides non allouées, car non sollicitées, au niveau régional et même national ».
Nouvelle aide 2020
Pour chaque dossier, l’enveloppe débloquée peut représenter jusqu’à 50 % des montants HT, dans la limite de 10.000 €.
Un coup de pouce plus qu’apprécié qui peut être déterminant pour se lancer dans les travaux, ce qui fut le cas pour Dominique Lussat (voir l’encadré).
Pour faciliter le montage du dossier, l’Anah départementale a habilité deux opérateurs Coléas et Urbanis, basés respectivement à Mâcon et à Chalon-sur-Saône, ainsi que la société Appore basée à Montceau-les-Mines.
« Il y a en plus une aide complémentaire qui peut être de plusieurs centaines d’euros et qui vient combler en grande partie le coût de l’opérateur ».
Par ailleurs, il y a une nouveauté 2020 : « une bonification supplémentaire de 10 % versée par l’Anah si le gain énergétique est de 35 % minimum », détaille encore Cécile Dedienne, un gain énergétique qui permet de quitter les étiquettes énergie F ou G.
Au 1er juillet prochain, les entreprises intervenantes dans le cadre de ces aides devront obligatoirement être RGE, pour Reconnu garant de l’environnement. 2.300 le sont en BFC, dont 882 en Saône-et-Loire.
Des aides pour l’amélioration de l’habitat

C’est pour fêter le 25.000e dossier traité dans le cadre du dispositif Habiter mieux que Bernard Schmeltz, le préfet de région Bourgogne Franche-Comté, s’est déplacé le vendredi 17 janvier à Étang-sur-Arroux chez Dominique Lussat.
L’idée est véritablement de mettre un coup de projecteur sur ce type d’aides, auxquels les foyers les plus modestes peuvent prétendre. « Et compte-tenu de leur niveau de revenus, les agriculteurs sont la plupart du temps à même de solliciter ces aides », fait-on remarquer du côté des services de l’État.
Gain significatif
« Les types de travaux concernés par le dispositif sont très précis et concernent notamment la pose d’isolant, le changement de menuiserie, le chauffage, l’isolation par l’extérieur », développe ainsi Cécile Dedienne, adjointe au chef de service Habitat Construction de la DDT. Autre point primordial pour pouvoir toucher l’aide : que « le gain énergétique soit de 25 % minimum ». Dans les faits, « on s’aperçoit que le gain moyen énergétique est de 39 % », précise de son côté Catherine Gouby, notamment en charge de l’amélioration du parc privé à la DDT. D’où l’intérêt de procéder à ces améliorations.
Une enveloppe de 43 millions
En 2019 au niveau régional, 43 millions d’euros ont ainsi été distribués entre 6.447 dossiers, dont 1.353 en Saône-et-Loire pour 7,7 millions d’euros. Très encadré, le dispositif passe par un organisme indépendant qui réalise un diagnostic complet du logement, notamment au niveau énergétique. Cet organisme élabore avec le ménage les projets de travaux, puis aide au montage administratif et financier du dossier ainsi qu’au suivi des travaux.
Ainsi, même si l’octroi de ces aides est soumis à condition, nombre de foyers ignorent encore qu’ils peuvent y prétendre. « L’Anah fonctionne au niveau national, et chaque année en Saône-et-Loire, nous arrivons à débloquer des financements au-delà de notre enveloppe initiale, en bénéficiant des aides non allouées, car non sollicitées, au niveau régional et même national ».
Nouvelle aide 2020
Pour chaque dossier, l’enveloppe débloquée peut représenter jusqu’à 50 % des montants HT, dans la limite de 10.000 €.
Un coup de pouce plus qu’apprécié qui peut être déterminant pour se lancer dans les travaux, ce qui fut le cas pour Dominique Lussat (voir l’encadré).
Pour faciliter le montage du dossier, l’Anah départementale a habilité deux opérateurs Coléas et Urbanis, basés respectivement à Mâcon et à Chalon-sur-Saône, ainsi que la société Appore basée à Montceau-les-Mines.
« Il y a en plus une aide complémentaire qui peut être de plusieurs centaines d’euros et qui vient combler en grande partie le coût de l’opérateur ».
Par ailleurs, il y a une nouveauté 2020 : « une bonification supplémentaire de 10 % versée par l’Anah si le gain énergétique est de 35 % minimum », détaille encore Cécile Dedienne, un gain énergétique qui permet de quitter les étiquettes énergie F ou G.
Au 1er juillet prochain, les entreprises intervenantes dans le cadre de ces aides devront obligatoirement être RGE, pour Reconnu garant de l’environnement. 2.300 le sont en BFC, dont 882 en Saône-et-Loire.