Les qualités bouchères du berceau ont brillé au dernier salon de l'agriculture
Comme chaque année au Salon de l’agriculture, la charolaise a fait valoir sa vocation bouchère en présentant huit femelles de viande dont sept natives de Saône-et-Loire.

Comme chaque année, la présence de la charolaise au salon de l’agriculture aura donné lieu à une remarquable vitrine de la race. Le Herd Book et l’OS Charolais France ont su depuis plusieurs années intégrer la vocation bouchère de la charolaise au salon. Un virage pertinent qui permet, chaque année, de mettre à l’honneur à Paris des femelles bouchères finies. Une façon de montrer que la numéro 1 des races à viande ne perd jamais de vue les attentes de la filière. Six des huit femelles présentes à Paris appartenaient à des éleveurs de Saône-et-Loire : EARL Gaudet Fabien, Marly-sur-Arroux ; Gaec Prost CF, Montceau-L’Etoile ; EARL Labaune Yannick, Nochize ; Gaec Vincent père et Fille, Oudry ; Frédéric Morin, Saint-Vincent-Bragny ; Guillaume Mateuil, Oudry. Une septième bête, présentée par un éleveur du 17, était, elle aussi, native du département (Frédéric Lagrange à Martigny-le-Comte). Toutes les femelles de cette vitrine très saône-et-loirienne ont trouvé preneurs auprès de bouchers de toute la France. La demande pour des femelles bouchères de haute qualité sur le salon augmente d’année en année. Les bêtes sont même réservées à l’avance, confiait un exposant. Un débouché certes microscopique, mais qui est désormais bien installé dans le programme parisien et qui a son impact en termes d’image pour la race, sa viande et les éleveurs.
Les qualités bouchères du berceau ont brillé au dernier salon de l'agriculture

Comme chaque année, la présence de la charolaise au salon de l’agriculture aura donné lieu à une remarquable vitrine de la race. Le Herd Book et l’OS Charolais France ont su depuis plusieurs années intégrer la vocation bouchère de la charolaise au salon. Un virage pertinent qui permet, chaque année, de mettre à l’honneur à Paris des femelles bouchères finies. Une façon de montrer que la numéro 1 des races à viande ne perd jamais de vue les attentes de la filière. Six des huit femelles présentes à Paris appartenaient à des éleveurs de Saône-et-Loire : EARL Gaudet Fabien, Marly-sur-Arroux ; Gaec Prost CF, Montceau-L’Etoile ; EARL Labaune Yannick, Nochize ; Gaec Vincent père et Fille, Oudry ; Frédéric Morin, Saint-Vincent-Bragny ; Guillaume Mateuil, Oudry. Une septième bête, présentée par un éleveur du 17, était, elle aussi, native du département (Frédéric Lagrange à Martigny-le-Comte). Toutes les femelles de cette vitrine très saône-et-loirienne ont trouvé preneurs auprès de bouchers de toute la France. La demande pour des femelles bouchères de haute qualité sur le salon augmente d’année en année. Les bêtes sont même réservées à l’avance, confiait un exposant. Un débouché certes microscopique, mais qui est désormais bien installé dans le programme parisien et qui a son impact en termes d’image pour la race, sa viande et les éleveurs.