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Pousse de l'herbe

Pousse de l'herbe : toujours pas de quoi nourrir les animaux…

La sécheresse perdure dans une bonne partie du département et le peu de verdure qui reparait par endroit n’est pas en mesure de nourrir les animaux.

Pousse de l'herbe : toujours pas de quoi nourrir les animaux…

Pour qui circule en Saône-et-Loire, de Charolles en direction de Cluny, il peut être tentant de constater que les prés semblent beaucoup plus verts que sur l'Autunois, le Bourbonnais ou le Gueugnonnais. « Mais on ne peut pas parler de pousse de l'herbe », tempère Antoine Buteau de la Chambre d’agriculture. « Ces zones ont eu la chance d'avoir quelques orages au bon moment (40 mm de pluie à Jalogny le 18 août par exemple) ce qui a permis de maintenir la prairie dans un meilleur état. Il n’empêche que si dans certains endroits comme vers Verosvres-Beaubery, les prairies paraissent plus vertes, la végétation a quand même beaucoup souffert et les prés sont très dégradés », explique le technicien. Une petite pluie sur ces prairies vertes permettrait malgré tout de les faire repartir, signale cependant Antoine Buteau. Mais la pluie ne semble toujours pas au programme… « Le peu d'herbe qu'il y a sur ces secteurs plus verts ne suffit pas à nourrir les animaux », informe le conseiller qui ajoute que « tout le monde est obligé d'affourager ».

Parquer les animaux pour préserver la repousse du printemps

La bonne attitude à tenir est de « parquer les animaux sur des petites surfaces (si possible où il y a de l'eau pour l'abreuvement car cela pose aujourd'hui de gros problèmes) pour éviter le surpâturage et ainsi préserver la repousse du printemps prochain », recommande Antoine Buteau. Si ce n'est pas encore fait, le technicien préconise de « sevrer les veaux et apporter du fourrage de manière rationnée aux différentes catégories d'animaux suivant leurs besoins » (lire encadré).

 

 

Pousse de l'herbe : toujours pas de quoi nourrir les animaux…

Pousse de l'herbe : toujours pas de quoi nourrir les animaux…

Pour qui circule en Saône-et-Loire, de Charolles en direction de Cluny, il peut être tentant de constater que les prés semblent beaucoup plus verts que sur l'Autunois, le Bourbonnais ou le Gueugnonnais. « Mais on ne peut pas parler de pousse de l'herbe », tempère Antoine Buteau de la Chambre d’agriculture. « Ces zones ont eu la chance d'avoir quelques orages au bon moment (40 mm de pluie à Jalogny le 18 août par exemple) ce qui a permis de maintenir la prairie dans un meilleur état. Il n’empêche que si dans certains endroits comme vers Verosvres-Beaubery, les prairies paraissent plus vertes, la végétation a quand même beaucoup souffert et les prés sont très dégradés », explique le technicien. Une petite pluie sur ces prairies vertes permettrait malgré tout de les faire repartir, signale cependant Antoine Buteau. Mais la pluie ne semble toujours pas au programme… « Le peu d'herbe qu'il y a sur ces secteurs plus verts ne suffit pas à nourrir les animaux », informe le conseiller qui ajoute que « tout le monde est obligé d'affourager ».

Parquer les animaux pour préserver la repousse du printemps

La bonne attitude à tenir est de « parquer les animaux sur des petites surfaces (si possible où il y a de l'eau pour l'abreuvement car cela pose aujourd'hui de gros problèmes) pour éviter le surpâturage et ainsi préserver la repousse du printemps prochain », recommande Antoine Buteau. Si ce n'est pas encore fait, le technicien préconise de « sevrer les veaux et apporter du fourrage de manière rationnée aux différentes catégories d'animaux suivant leurs besoins » (lire encadré).

 

 

Pousse de l'herbe : toujours pas de quoi nourrir les animaux…

Pousse de l'herbe : toujours pas de quoi nourrir les animaux…

Pour qui circule en Saône-et-Loire, de Charolles en direction de Cluny, il peut être tentant de constater que les prés semblent beaucoup plus verts que sur l'Autunois, le Bourbonnais ou le Gueugnonnais. « Mais on ne peut pas parler de pousse de l'herbe », tempère Antoine Buteau de la Chambre d’agriculture. « Ces zones ont eu la chance d'avoir quelques orages au bon moment (40 mm de pluie à Jalogny le 18 août par exemple) ce qui a permis de maintenir la prairie dans un meilleur état. Il n’empêche que si dans certains endroits comme vers Verosvres-Beaubery, les prairies paraissent plus vertes, la végétation a quand même beaucoup souffert et les prés sont très dégradés », explique le technicien. Une petite pluie sur ces prairies vertes permettrait malgré tout de les faire repartir, signale cependant Antoine Buteau. Mais la pluie ne semble toujours pas au programme… « Le peu d'herbe qu'il y a sur ces secteurs plus verts ne suffit pas à nourrir les animaux », informe le conseiller qui ajoute que « tout le monde est obligé d'affourager ».

Parquer les animaux pour préserver la repousse du printemps

La bonne attitude à tenir est de « parquer les animaux sur des petites surfaces (si possible où il y a de l'eau pour l'abreuvement car cela pose aujourd'hui de gros problèmes) pour éviter le surpâturage et ainsi préserver la repousse du printemps prochain », recommande Antoine Buteau. Si ce n'est pas encore fait, le technicien préconise de « sevrer les veaux et apporter du fourrage de manière rationnée aux différentes catégories d'animaux suivant leurs besoins » (lire encadré).