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Agriculture biologique de Saône-et-Loire

Des projets collectifs pour la filière bio

Le Gabsel, le Groupement des agrobiologistes de Saône-et-Loire, a tenu son assemblée générale jeudi 14 mars à Saint-Sernin-du-Bois. L’occasion de voir que la filière poursuit sur une belle dynamique, ce qui l’amène à se lancer dans plusieurs projets à l’échelle locale.

Des projets collectifs pour la filière bio

Avec 354 fermes répertoriées au 31 décembre 2018, la filière bio affiche cette fois encore une croissance à deux chiffres (+ 13 % par rapport à l’année précédente). La SAU progresse elle de 6 %, comptabilisant plus de 14.000 ha. Une surface qui ne représente cependant que 2,5 % de la SAU départementale et 5,5 % des exploitations de Saône-et-Loire. À noter, que le nombre de fermes bio a plus que triplé en 20 ans.
« Dans le département, un tiers des structures bio sont en viticulture, détaille Morgane Le Bris, l’animatrice du groupement. On trouve ensuite les fermes en polyculture-élevage et élevage, un peu de maraîchage, les filières les moins représentées sont les grandes cultures, l’arboriculture-petits fruits, les plantes à parfum, aromatiques et médicinales et l’apiculture ».

Le retard des aides

Ces chiffres, certes encore provisoires, rassurent et donnent le sourire aux représentants de la filière. Le Gabsel, qui tenait son assemblée générale jeudi 14 mars à Saint-Sernin-du-Bois, en présence de producteurs bio mais aussi de représentants des instances départementales, note cependant en 2018 une diminution des surfaces en conversion par rapport à 2017, une première depuis le boom des conversions entamé en 2015.
Faut-il y voir là l’important retard pris par le versement des aides Pac ? Toujours est-il que Céline Vandamme de la DDT, en charge des aides directes, s’est voulue aussi rassurante que pédagogue, en annonçant à plusieurs participants le versement imminent du solde de leurs aides pour 2017 et en expliquant les raisons de ce retard, notamment dû au dysfonctionnement d’un logiciel et une mise en corrélation compliquée entre les aides Mab, MAEC, primoMab, etc. « Malgré tout, grâce à la mobilisation de toute une équipe, la Saône-et-Loire est l’un des départements les mieux lotis », a tenu à souligner Céline Vandamme.

Des projets collectifs pour la filière bio

Des projets collectifs pour la filière bio

Avec 354 fermes répertoriées au 31 décembre 2018, la filière bio affiche cette fois encore une croissance à deux chiffres (+ 13 % par rapport à l’année précédente). La SAU progresse elle de 6 %, comptabilisant plus de 14.000 ha. Une surface qui ne représente cependant que 2,5 % de la SAU départementale et 5,5 % des exploitations de Saône-et-Loire. À noter, que le nombre de fermes bio a plus que triplé en 20 ans.
« Dans le département, un tiers des structures bio sont en viticulture, détaille Morgane Le Bris, l’animatrice du groupement. On trouve ensuite les fermes en polyculture-élevage et élevage, un peu de maraîchage, les filières les moins représentées sont les grandes cultures, l’arboriculture-petits fruits, les plantes à parfum, aromatiques et médicinales et l’apiculture ».

Le retard des aides

Ces chiffres, certes encore provisoires, rassurent et donnent le sourire aux représentants de la filière. Le Gabsel, qui tenait son assemblée générale jeudi 14 mars à Saint-Sernin-du-Bois, en présence de producteurs bio mais aussi de représentants des instances départementales, note cependant en 2018 une diminution des surfaces en conversion par rapport à 2017, une première depuis le boom des conversions entamé en 2015.
Faut-il y voir là l’important retard pris par le versement des aides Pac ? Toujours est-il que Céline Vandamme de la DDT, en charge des aides directes, s’est voulue aussi rassurante que pédagogue, en annonçant à plusieurs participants le versement imminent du solde de leurs aides pour 2017 et en expliquant les raisons de ce retard, notamment dû au dysfonctionnement d’un logiciel et une mise en corrélation compliquée entre les aides Mab, MAEC, primoMab, etc. « Malgré tout, grâce à la mobilisation de toute une équipe, la Saône-et-Loire est l’un des départements les mieux lotis », a tenu à souligner Céline Vandamme.

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