Halles technologiques de Charolles
Portes ouvertes réussies
Le 10 octobre, l’Institut charolais et le lycée Wittmer organisaient des
portes ouvertes à la Halle technologique de Charolles. Retour sur une
opération réussie.
Dans le cadre du Mois de l'innovation, la Halle technologique de l'Institut charolais - située au lycée Wittmer de Charolles - a ouvert ses portes auprès des agriculteurs, bouchers, restaurateurs souhaitant valoriser différemment leur viande. Une annonce en avait été faite dans nos colonnes, dans notre édition du 30 septembre en page 14.
Sur la journée, c'est une trentaine de personnes qui a fait le déplacement pour découvrir cet outil de travail à façon. Après la visite de la halle proprement dite et des différents matériels, les responsables de celle-ci et de l’Institut charolais ont présenté les services proposés par la Halle en partant des cinquante recettes actuellement mises à disposition, la chronologie de fabrication, le suivi de la qualité et de la traçabilité, l'étiquetage et la réglementation et les différents coûts de la transformation à partir de cas concrets.
La visite s'achevait par une dégustation des différents produits de la halle.
Aller plus loin…
« La journée a été très intéressante. Nous avons rencontré des exploitants du département, venus de Cluny, de Cuiseaux, de Vitry-en-Charollais... ainsi que les acteurs du projet d'atelier multi-activités de Cluny », souligne Frédéric Paperin, directeur de l’Institut charolais, à l’origine de cette porte ouverte. « Il y avait aussi beaucoup d'exploitations en bio ». Pour celui qui a aussi la responsabilité de la Maison du charolais, « cette visite aboutira très certainement sur des productions à façon. Nous avons également des demandes pour transformer des viandes de porc, de chèvre et de chevreau, mais aussi du veau en plat cuisinés ».
A ce sujet, Frédéric Paperin souhaite de travailler en lien plus étroit avec le Syndicat caprin de Saône-et-Loire, lequel met en avant depuis plusieurs mois la valorisation des viandes caprines issus des troupeaux de ses adhérents. Il a ainsi en tête d’innover en proposant de nouvelles recettes… A suivre !
Lors de ces portes ouvertes, le directeur de l’Institut charolais a également mis en l'accent sur l'accompagnement proposé par la chambre d’Agriculture de Saône-et-Loire sur le sujet de la vente directe et du calcul des coûts et donc des prix de vente. « Il y a nombre de questions que les producteurs qui entendent se lancer dans la vente directe et la transformation de leurs viandes doivent se poser en amont », insiste-t-il.
A n’en pas douter, l’Institut charolais entend aller plus loin, dans l’accompagnement de ces réflexions mais aussi de ces démarches. A suivre donc.
Sur la journée, c'est une trentaine de personnes qui a fait le déplacement pour découvrir cet outil de travail à façon. Après la visite de la halle proprement dite et des différents matériels, les responsables de celle-ci et de l’Institut charolais ont présenté les services proposés par la Halle en partant des cinquante recettes actuellement mises à disposition, la chronologie de fabrication, le suivi de la qualité et de la traçabilité, l'étiquetage et la réglementation et les différents coûts de la transformation à partir de cas concrets.
La visite s'achevait par une dégustation des différents produits de la halle.
Aller plus loin…
« La journée a été très intéressante. Nous avons rencontré des exploitants du département, venus de Cluny, de Cuiseaux, de Vitry-en-Charollais... ainsi que les acteurs du projet d'atelier multi-activités de Cluny », souligne Frédéric Paperin, directeur de l’Institut charolais, à l’origine de cette porte ouverte. « Il y avait aussi beaucoup d'exploitations en bio ». Pour celui qui a aussi la responsabilité de la Maison du charolais, « cette visite aboutira très certainement sur des productions à façon. Nous avons également des demandes pour transformer des viandes de porc, de chèvre et de chevreau, mais aussi du veau en plat cuisinés ».
A ce sujet, Frédéric Paperin souhaite de travailler en lien plus étroit avec le Syndicat caprin de Saône-et-Loire, lequel met en avant depuis plusieurs mois la valorisation des viandes caprines issus des troupeaux de ses adhérents. Il a ainsi en tête d’innover en proposant de nouvelles recettes… A suivre !
Lors de ces portes ouvertes, le directeur de l’Institut charolais a également mis en l'accent sur l'accompagnement proposé par la chambre d’Agriculture de Saône-et-Loire sur le sujet de la vente directe et du calcul des coûts et donc des prix de vente. « Il y a nombre de questions que les producteurs qui entendent se lancer dans la vente directe et la transformation de leurs viandes doivent se poser en amont », insiste-t-il.
A n’en pas douter, l’Institut charolais entend aller plus loin, dans l’accompagnement de ces réflexions mais aussi de ces démarches. A suivre donc.
