Docs en goguette
A la découverte de notre société
Né en 2006, le festival itinérant Docs en goguette prend chaque année un peu plus d’importance. Avec, cette année, la projection de treize films dans onze lieux et neuf communes.
A l’origine, en 2006, Docs en goguette ne présentait que quatre films. Fruit de la collaboration de deux associations –en l’occurrence Les films du Tilleul et Rencontres et Animations Rurales–, ce festival a su grandir pour proposer lors de ce huitième opus treize films projetés dans onze lieux et neuf communes. Loin des très tendances multiplexes qui peuplent les villes, cet événement prend le parti de sortir des sentiers battus et d’aller à la rencontre du public au cœur du monde rural, de Saint-Boil à Genouilly en passant par Savianges, Saint-Gengoux-le-National, Joncy, Collonges, Saint-Micaud, Saint-Clément-sur-Guye et Bonnay. Et ce, en compagnie d’un grand nombre de réalisateurs.
Le miroir de notre monde
Le coup d’envoi de ce festival qui joue une nouvelle fois la carte de la diversité sera donné le 22 novembre à Saint-Boil avec la projection de Into eternity de Michael Madsen. L’occasion de s’interroger sur le devenir des déchets radioactifs. Parmi les temps forts, on songera aux Clarisses de Ronchamp, un risque pour la vie qui s’intéresse à la vie communautaire et spirituelle de sœurs. Mais aussi à L’interne de garde qui évoque la problématique de l’urgence médicale en périphérie des villes.
L’émotion sera de rigueur avec le documentaire Les sentiers de la liberté. Il retrace la fuite d’Elias Zommerplaag, de la Belgique aux geôles espagnoles en 1940. A noter la présence de deux personnes ayant vécu une expérience similaire dans notre région. On citera aussi Pollen pour partager l’intimité des rapports entre le monde végétal et le monde animal, Ça sonne très bien un bidon pour redécouvrir la success story des Tambours du Bronx ainsi que Water makes money pour se pencher sur la problématique de l’eau (transformée en argent) en proie aux intérêts économiques des entreprises multinationales. Sans oublier Une liberté sous contrôle qui s’interroge sur l’accompagnement des condamnés effectuant leur peine dans la société ou encore Avec Dédé, portrait d’un sonneur de bombarde virtuose, amoureux de la langue bretonne, de la musique et de l’humanité.
Du vendredi 22 au samedi 30 novembre. Participation libre (sauf Dédé : 2,50 et 4,50 €). Pour tout renseignement, tél. : 03.85.49.23.05
Le miroir de notre monde
Le coup d’envoi de ce festival qui joue une nouvelle fois la carte de la diversité sera donné le 22 novembre à Saint-Boil avec la projection de Into eternity de Michael Madsen. L’occasion de s’interroger sur le devenir des déchets radioactifs. Parmi les temps forts, on songera aux Clarisses de Ronchamp, un risque pour la vie qui s’intéresse à la vie communautaire et spirituelle de sœurs. Mais aussi à L’interne de garde qui évoque la problématique de l’urgence médicale en périphérie des villes.
L’émotion sera de rigueur avec le documentaire Les sentiers de la liberté. Il retrace la fuite d’Elias Zommerplaag, de la Belgique aux geôles espagnoles en 1940. A noter la présence de deux personnes ayant vécu une expérience similaire dans notre région. On citera aussi Pollen pour partager l’intimité des rapports entre le monde végétal et le monde animal, Ça sonne très bien un bidon pour redécouvrir la success story des Tambours du Bronx ainsi que Water makes money pour se pencher sur la problématique de l’eau (transformée en argent) en proie aux intérêts économiques des entreprises multinationales. Sans oublier Une liberté sous contrôle qui s’interroge sur l’accompagnement des condamnés effectuant leur peine dans la société ou encore Avec Dédé, portrait d’un sonneur de bombarde virtuose, amoureux de la langue bretonne, de la musique et de l’humanité.
Du vendredi 22 au samedi 30 novembre. Participation libre (sauf Dédé : 2,50 et 4,50 €). Pour tout renseignement, tél. : 03.85.49.23.05
