Abattoir du Grand Autunois-Morvan : un projet pour garder la valeur ajoutée sur le territoire
Avec son nouvel outil d’abattage de proximité, l’Autunois-Morvan veut désormais se doter d’un projet alimentaire territorial tout en créant une micro-filière vertueuse visant les grands bassins de consommation. Un schéma original et inédit qui n’a d’autre ambition que de ramener la valeur ajoutée sur le territoire.

Inaugurée en janvier dernier, la nouvelle chaine de l’abattoir communautaire d’Autun est un second départ pour les défenseurs de cet outil de proximité. Mobilisée depuis près de dix ans, une association de sauvegarde avait permis de rassembler l’engagement exigé pour déclencher l’investissement. A l’heure où la nouvelle chaine est opérationnelle, une association de promotion et de développement lui succède. Elle a vu le jour le 31 janvier dernier à Autun.
« L’enjeux est désormais le fonctionnement de l’abattoir et donc d’assurer son volume d’activité », introduisait Jean-Philippe Nivost. Cette association intervient en soutien de la Sica (présidée par Bernard Joly) qui assure le fonctionnement quotidien de l’outil avec une équipe de 18 salariés et un directeur.
D’une capacité nominale de 3.000 tonnes, le nouvel abattoir d’Autun va devoir développer son volume d’activité aujourd’hui contenu à 1.600 tonnes. « Pour équilibrer, l’outil doit tourner à plein régime », informe Michel Dupres de la Chambre d’agriculture. Le rôle de l’association de développement sera donc d’assurer cette montée en puissance en relation avec la communauté de communes du territoire, le GIEE de l’Autunois, la Chambre d’agriculture départementale.
Abattoir, maillon essentiel
Profitant du dynamisme insufflé par la communauté de communes du Grand Autunois Morvan (CCGAM) ainsi que de la mobilisation des agriculteurs au sein notamment du GIEE, l’abattoir d’Autun sera au cœur d’un projet global de territoire. Un contrat de transition écologique (CTE) a été signé en début d’année (lire encadré). Ce dispositif d’aides en faveur d’un développement économique vertueux comporte un important volet agricole. Le Grand Autunois Morvan, qui œuvre depuis plusieurs années à la mise en place d’un approvisionnement local à l’échelle de son territoire, a choisi de s’engager dans la construction « d’un projet alimentaire territorial ». L’abattoir en est un maillon essentiel. Et pour les agriculteurs, l’émergence de ce type de filière courte est une opportunité de mieux maîtriser la valorisation de leurs productions.
Ce projet alimentaire territorial reposera notamment sur l’approvisionnement de la restauration collective via la cuisine centrale communautaire. Des synergies avec des Com'com voisines ne sont pas exclues. Une étude est en cours sur la possible création d’un outil de transformation dans les murs de l’abattoir.
Un besoin de filières locales
Mais le marché local ne suffira pas pour l’abattoir d’Autun. Il va falloir aller chercher des opportunités à l’extérieur du territoire et pour ce faire, les promoteurs de l’abattoir misent sur les nombreux atouts et vertus de la production agricole locale. Car il ne s’agit pas de revenir sur le terrain des filières industrielles, au risque de banaliser à nouveau la production des fermes de l’Autunois. Au contraire, l’idée est de valoriser la bonne image des viandes produites dans le territoire au sein de micro-filières visant d’autres bassins de consommation. Pour cela, les promoteurs de l’outil d’abattage autunois ont fait appel à la fondation Avril (lire encadré). Leader mondial des filières oléagineuses et protéagineuses, le groupe Avril s’oriente vers un nouveau type de filières locales, présentait Romain Becker. « Il existe un vrai besoin en viande bovine de qualité sur les bassins de consommation sur Lyon et Paris », informe-t-il. La demande porte sur un certain niveau de qualité (conformation, régularité, goût, persillé…), la traçabilité, une réponse aux attentes sociétales (abattage local, bien-être animal…), etc… « En échange du respect de ce cahier des charges, les clients seraient prêts à y mettre le prix », indique Romain Becker.
C’est une opportunité à saisir qui va nécessiter les compétences d’un véritable « développeur » pour formaliser cette micro-filière et aller prospecter les points de vente visés. Cette embauche aura un coût. Pendant les trois premières années, ce poste pourrait être financé partiellement par FranceAgriMer, le Conseil Régional et des fonds européens, informe Michel Dupres. L’objectif étant que l’activité finisse par le financer elle-même au bout de trois ans. « La création de cette micro-filière et le projet alimentaire territorial qui va avec seraient un véritable cas d’école. Un exemple à suivre pour d’autres secteurs agricoles », conclut Jean-Philippe Nivost.
Le groupe Avril est une organisation agricole et agro-alimentaire née des filières oléagineuse et protéagineuse. Elle détient une branche financement Sofiprotéol ; une branche végétale à laquelle appartiennent Lessieur, Puget, Diester… ; une branche élevage (Matines, Sanders, abattage porcin, etc…). Le groupe détient par ailleurs des parts dans l’usine Extrusel de Chalon-sur-Saône.
Abattoir du Grand Autunois-Morvan : un projet pour garder la valeur ajoutée sur le territoire

Inaugurée en janvier dernier, la nouvelle chaine de l’abattoir communautaire d’Autun est un second départ pour les défenseurs de cet outil de proximité. Mobilisée depuis près de dix ans, une association de sauvegarde avait permis de rassembler l’engagement exigé pour déclencher l’investissement. A l’heure où la nouvelle chaine est opérationnelle, une association de promotion et de développement lui succède. Elle a vu le jour le 31 janvier dernier à Autun.
« L’enjeux est désormais le fonctionnement de l’abattoir et donc d’assurer son volume d’activité », introduisait Jean-Philippe Nivost. Cette association intervient en soutien de la Sica (présidée par Bernard Joly) qui assure le fonctionnement quotidien de l’outil avec une équipe de 18 salariés et un directeur.
D’une capacité nominale de 3.000 tonnes, le nouvel abattoir d’Autun va devoir développer son volume d’activité aujourd’hui contenu à 1.600 tonnes. « Pour équilibrer, l’outil doit tourner à plein régime », informe Michel Dupres de la Chambre d’agriculture. Le rôle de l’association de développement sera donc d’assurer cette montée en puissance en relation avec la communauté de communes du territoire, le GIEE de l’Autunois, la Chambre d’agriculture départementale.
Abattoir, maillon essentiel
Profitant du dynamisme insufflé par la communauté de communes du Grand Autunois Morvan (CCGAM) ainsi que de la mobilisation des agriculteurs au sein notamment du GIEE, l’abattoir d’Autun sera au cœur d’un projet global de territoire. Un contrat de transition écologique (CTE) a été signé en début d’année (lire encadré). Ce dispositif d’aides en faveur d’un développement économique vertueux comporte un important volet agricole. Le Grand Autunois Morvan, qui œuvre depuis plusieurs années à la mise en place d’un approvisionnement local à l’échelle de son territoire, a choisi de s’engager dans la construction « d’un projet alimentaire territorial ». L’abattoir en est un maillon essentiel. Et pour les agriculteurs, l’émergence de ce type de filière courte est une opportunité de mieux maîtriser la valorisation de leurs productions.
Ce projet alimentaire territorial reposera notamment sur l’approvisionnement de la restauration collective via la cuisine centrale communautaire. Des synergies avec des Com'com voisines ne sont pas exclues. Une étude est en cours sur la possible création d’un outil de transformation dans les murs de l’abattoir.
Un besoin de filières locales
Mais le marché local ne suffira pas pour l’abattoir d’Autun. Il va falloir aller chercher des opportunités à l’extérieur du territoire et pour ce faire, les promoteurs de l’abattoir misent sur les nombreux atouts et vertus de la production agricole locale. Car il ne s’agit pas de revenir sur le terrain des filières industrielles, au risque de banaliser à nouveau la production des fermes de l’Autunois. Au contraire, l’idée est de valoriser la bonne image des viandes produites dans le territoire au sein de micro-filières visant d’autres bassins de consommation. Pour cela, les promoteurs de l’outil d’abattage autunois ont fait appel à la fondation Avril (lire encadré). Leader mondial des filières oléagineuses et protéagineuses, le groupe Avril s’oriente vers un nouveau type de filières locales, présentait Romain Becker. « Il existe un vrai besoin en viande bovine de qualité sur les bassins de consommation sur Lyon et Paris », informe-t-il. La demande porte sur un certain niveau de qualité (conformation, régularité, goût, persillé…), la traçabilité, une réponse aux attentes sociétales (abattage local, bien-être animal…), etc… « En échange du respect de ce cahier des charges, les clients seraient prêts à y mettre le prix », indique Romain Becker.
C’est une opportunité à saisir qui va nécessiter les compétences d’un véritable « développeur » pour formaliser cette micro-filière et aller prospecter les points de vente visés. Cette embauche aura un coût. Pendant les trois premières années, ce poste pourrait être financé partiellement par FranceAgriMer, le Conseil Régional et des fonds européens, informe Michel Dupres. L’objectif étant que l’activité finisse par le financer elle-même au bout de trois ans. « La création de cette micro-filière et le projet alimentaire territorial qui va avec seraient un véritable cas d’école. Un exemple à suivre pour d’autres secteurs agricoles », conclut Jean-Philippe Nivost.
Le groupe Avril est une organisation agricole et agro-alimentaire née des filières oléagineuse et protéagineuse. Elle détient une branche financement Sofiprotéol ; une branche végétale à laquelle appartiennent Lessieur, Puget, Diester… ; une branche élevage (Matines, Sanders, abattage porcin, etc…). Le groupe détient par ailleurs des parts dans l’usine Extrusel de Chalon-sur-Saône.
Abattoir du Grand Autunois-Morvan : un projet pour garder la valeur ajoutée sur le territoire

Inaugurée en janvier dernier, la nouvelle chaine de l’abattoir communautaire d’Autun est un second départ pour les défenseurs de cet outil de proximité. Mobilisée depuis près de dix ans, une association de sauvegarde avait permis de rassembler l’engagement exigé pour déclencher l’investissement. A l’heure où la nouvelle chaine est opérationnelle, une association de promotion et de développement lui succède. Elle a vu le jour le 31 janvier dernier à Autun.
« L’enjeux est désormais le fonctionnement de l’abattoir et donc d’assurer son volume d’activité », introduisait Jean-Philippe Nivost. Cette association intervient en soutien de la Sica (présidée par Bernard Joly) qui assure le fonctionnement quotidien de l’outil avec une équipe de 18 salariés et un directeur.
D’une capacité nominale de 3.000 tonnes, le nouvel abattoir d’Autun va devoir développer son volume d’activité aujourd’hui contenu à 1.600 tonnes. « Pour équilibrer, l’outil doit tourner à plein régime », informe Michel Dupres de la Chambre d’agriculture. Le rôle de l’association de développement sera donc d’assurer cette montée en puissance en relation avec la communauté de communes du territoire, le GIEE de l’Autunois, la Chambre d’agriculture départementale.
Abattoir, maillon essentiel
Profitant du dynamisme insufflé par la communauté de communes du Grand Autunois Morvan (CCGAM) ainsi que de la mobilisation des agriculteurs au sein notamment du GIEE, l’abattoir d’Autun sera au cœur d’un projet global de territoire. Un contrat de transition écologique (CTE) a été signé en début d’année (lire encadré). Ce dispositif d’aides en faveur d’un développement économique vertueux comporte un important volet agricole. Le Grand Autunois Morvan, qui œuvre depuis plusieurs années à la mise en place d’un approvisionnement local à l’échelle de son territoire, a choisi de s’engager dans la construction « d’un projet alimentaire territorial ». L’abattoir en est un maillon essentiel. Et pour les agriculteurs, l’émergence de ce type de filière courte est une opportunité de mieux maîtriser la valorisation de leurs productions.
Ce projet alimentaire territorial reposera notamment sur l’approvisionnement de la restauration collective via la cuisine centrale communautaire. Des synergies avec des Com'com voisines ne sont pas exclues. Une étude est en cours sur la possible création d’un outil de transformation dans les murs de l’abattoir.
Un besoin de filières locales
Mais le marché local ne suffira pas pour l’abattoir d’Autun. Il va falloir aller chercher des opportunités à l’extérieur du territoire et pour ce faire, les promoteurs de l’abattoir misent sur les nombreux atouts et vertus de la production agricole locale. Car il ne s’agit pas de revenir sur le terrain des filières industrielles, au risque de banaliser à nouveau la production des fermes de l’Autunois. Au contraire, l’idée est de valoriser la bonne image des viandes produites dans le territoire au sein de micro-filières visant d’autres bassins de consommation. Pour cela, les promoteurs de l’outil d’abattage autunois ont fait appel à la fondation Avril (lire encadré). Leader mondial des filières oléagineuses et protéagineuses, le groupe Avril s’oriente vers un nouveau type de filières locales, présentait Romain Becker. « Il existe un vrai besoin en viande bovine de qualité sur les bassins de consommation sur Lyon et Paris », informe-t-il. La demande porte sur un certain niveau de qualité (conformation, régularité, goût, persillé…), la traçabilité, une réponse aux attentes sociétales (abattage local, bien-être animal…), etc… « En échange du respect de ce cahier des charges, les clients seraient prêts à y mettre le prix », indique Romain Becker.
C’est une opportunité à saisir qui va nécessiter les compétences d’un véritable « développeur » pour formaliser cette micro-filière et aller prospecter les points de vente visés. Cette embauche aura un coût. Pendant les trois premières années, ce poste pourrait être financé partiellement par FranceAgriMer, le Conseil Régional et des fonds européens, informe Michel Dupres. L’objectif étant que l’activité finisse par le financer elle-même au bout de trois ans. « La création de cette micro-filière et le projet alimentaire territorial qui va avec seraient un véritable cas d’école. Un exemple à suivre pour d’autres secteurs agricoles », conclut Jean-Philippe Nivost.
Le groupe Avril est une organisation agricole et agro-alimentaire née des filières oléagineuse et protéagineuse. Elle détient une branche financement Sofiprotéol ; une branche végétale à laquelle appartiennent Lessieur, Puget, Diester… ; une branche élevage (Matines, Sanders, abattage porcin, etc…). Le groupe détient par ailleurs des parts dans l’usine Extrusel de Chalon-sur-Saône.
Abattoir du Grand Autunois-Morvan : un projet pour garder la valeur ajoutée sur le territoire

Inaugurée en janvier dernier, la nouvelle chaine de l’abattoir communautaire d’Autun est un second départ pour les défenseurs de cet outil de proximité. Mobilisée depuis près de dix ans, une association de sauvegarde avait permis de rassembler l’engagement exigé pour déclencher l’investissement. A l’heure où la nouvelle chaine est opérationnelle, une association de promotion et de développement lui succède. Elle a vu le jour le 31 janvier dernier à Autun.
« L’enjeux est désormais le fonctionnement de l’abattoir et donc d’assurer son volume d’activité », introduisait Jean-Philippe Nivost. Cette association intervient en soutien de la Sica (présidée par Bernard Joly) qui assure le fonctionnement quotidien de l’outil avec une équipe de 18 salariés et un directeur.
D’une capacité nominale de 3.000 tonnes, le nouvel abattoir d’Autun va devoir développer son volume d’activité aujourd’hui contenu à 1.600 tonnes. « Pour équilibrer, l’outil doit tourner à plein régime », informe Michel Dupres de la Chambre d’agriculture. Le rôle de l’association de développement sera donc d’assurer cette montée en puissance en relation avec la communauté de communes du territoire, le GIEE de l’Autunois, la Chambre d’agriculture départementale.
Abattoir, maillon essentiel
Profitant du dynamisme insufflé par la communauté de communes du Grand Autunois Morvan (CCGAM) ainsi que de la mobilisation des agriculteurs au sein notamment du GIEE, l’abattoir d’Autun sera au cœur d’un projet global de territoire. Un contrat de transition écologique (CTE) a été signé en début d’année (lire encadré). Ce dispositif d’aides en faveur d’un développement économique vertueux comporte un important volet agricole. Le Grand Autunois Morvan, qui œuvre depuis plusieurs années à la mise en place d’un approvisionnement local à l’échelle de son territoire, a choisi de s’engager dans la construction « d’un projet alimentaire territorial ». L’abattoir en est un maillon essentiel. Et pour les agriculteurs, l’émergence de ce type de filière courte est une opportunité de mieux maîtriser la valorisation de leurs productions.
Ce projet alimentaire territorial reposera notamment sur l’approvisionnement de la restauration collective via la cuisine centrale communautaire. Des synergies avec des Com'com voisines ne sont pas exclues. Une étude est en cours sur la possible création d’un outil de transformation dans les murs de l’abattoir.
Un besoin de filières locales
Mais le marché local ne suffira pas pour l’abattoir d’Autun. Il va falloir aller chercher des opportunités à l’extérieur du territoire et pour ce faire, les promoteurs de l’abattoir misent sur les nombreux atouts et vertus de la production agricole locale. Car il ne s’agit pas de revenir sur le terrain des filières industrielles, au risque de banaliser à nouveau la production des fermes de l’Autunois. Au contraire, l’idée est de valoriser la bonne image des viandes produites dans le territoire au sein de micro-filières visant d’autres bassins de consommation. Pour cela, les promoteurs de l’outil d’abattage autunois ont fait appel à la fondation Avril (lire encadré). Leader mondial des filières oléagineuses et protéagineuses, le groupe Avril s’oriente vers un nouveau type de filières locales, présentait Romain Becker. « Il existe un vrai besoin en viande bovine de qualité sur les bassins de consommation sur Lyon et Paris », informe-t-il. La demande porte sur un certain niveau de qualité (conformation, régularité, goût, persillé…), la traçabilité, une réponse aux attentes sociétales (abattage local, bien-être animal…), etc… « En échange du respect de ce cahier des charges, les clients seraient prêts à y mettre le prix », indique Romain Becker.
C’est une opportunité à saisir qui va nécessiter les compétences d’un véritable « développeur » pour formaliser cette micro-filière et aller prospecter les points de vente visés. Cette embauche aura un coût. Pendant les trois premières années, ce poste pourrait être financé partiellement par FranceAgriMer, le Conseil Régional et des fonds européens, informe Michel Dupres. L’objectif étant que l’activité finisse par le financer elle-même au bout de trois ans. « La création de cette micro-filière et le projet alimentaire territorial qui va avec seraient un véritable cas d’école. Un exemple à suivre pour d’autres secteurs agricoles », conclut Jean-Philippe Nivost.
Le groupe Avril est une organisation agricole et agro-alimentaire née des filières oléagineuse et protéagineuse. Elle détient une branche financement Sofiprotéol ; une branche végétale à laquelle appartiennent Lessieur, Puget, Diester… ; une branche élevage (Matines, Sanders, abattage porcin, etc…). Le groupe détient par ailleurs des parts dans l’usine Extrusel de Chalon-sur-Saône.