Agribashing : Faire face aux actes délictueux !
Certains reprochent à la FNSEA de vouloir museler les lanceurs d’alerte en remettant en cause certaines libertés fondamentales. Loin de vouloir opposer un modèle agricole à un autre, la FNSEA exige simplement qu’aucun acte répréhensible réalisé à l’encontre d’agriculteurs ne reste impuni.

Force est de constater que les actions de certains militants s’intensifient depuis ces dernières années. Les violences aussi bien verbales que physiques se multiplient ainsi à l’encontre des agriculteurs en raison de leur activité d’éleveur ou de l’utilisation de pesticides.
Face à l’accroissement de ces actes délictuels et criminels banalisés par les médias et qui se normalisent aux yeux des téléspectateurs, la FNSEA met tout en œuvre pour prévenir ces infractions et faciliter la poursuite de leurs auteurs.
A compter du mois de février 2019, la FNSEA a échangé à plusieurs reprises avec le Ministère de l’Intérieur et la Direction générale de la gendarmerie nationale (DDGN) dans le but d’attirer leur attention sur ce que subit actuellement le monde agricole.
Cette sensibilisation a amené le Ministère de l’Intérieur à créer la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole dénommée « Demeter ». Cette cellule, mise en place au sein de la Direction générale de la gendarmerie Nationale au début du mois d’octobre 2019, a pour rôle d’apporter une vision globale et une réponse coordonnée à l’ensemble des infractions (dégradations, cambriolages, menaces, intrusions etc.) commises à l’encontre des agriculteurs français.
La cellule Demeter n’agit donc pas, contrairement à ce qu’énoncent certains journaux, en faveur de la FNSEA. Elle vise à protéger tous les agriculteurs quels que soient leur appartenance syndicale et leur mode de production ; toute personne ou toute organisation syndicale agricole peut la contacter afin de dénoncer la commission d’actes sanctionnés pénalement.
Ces échanges ont aussi permis à la FNSEA et la DGGN de travailler ensemble à une adaptation de la convention de partenariat signée en 2014 visant à prévenir les vols de matériel, aux nouvelles infractions commises dans les exploitations (telles que : vols de GPS qui n’existaient pas à cette époque ou violations de domicile par intrusions dans un bâtiment d’élevage). Par une convention en date du 13 décembre 2019, complétée et signée par le Ministre de l’Intérieur, la DGGN, la FNSEA et JA, il est ainsi prévu que les gendarmes communiquent avec les agriculteurs afin de les conseiller en matière de sécurité et de prévention sur leurs exploitations, et qu’ils soient présents et à l’écoute lorsque ces derniers subissent des infractions. Les agriculteurs les informent, quant à eux, sur la valeur de leur production et de leur matériel, sur les périodes les plus sensibles ou encore sur tout élément suspect.
En permettant de renforcer le lien avec la gendarmerie, très présente en milieu rural, cette convention garantit à tous les agriculteurs une meilleure prévention contre la commission d’infractions et un échange d’informations et de conseils. La convention n’a pas pour but de faire taire ceux qui s’opposent à un modèle agricole ou à l’élevage mais bien de sanctionner ceux qui commettent des délits ou des crimes pénalement répréhensibles.
La finalité est de sanctionner, et à l’avenir d’éviter, la commission d’infractions ayant des conséquences dramatiques telles que l’incendie dans l’Orne ou encore, le décès dans l’Eure de tout un cheptel par asphyxie, causé par l’intrusion de membres de boucherie abolition dans un élevage de dindons - Intrusion dont les auteurs ont été pénalement condamnés.
Agribashing : Faire face aux actes délictueux !

Force est de constater que les actions de certains militants s’intensifient depuis ces dernières années. Les violences aussi bien verbales que physiques se multiplient ainsi à l’encontre des agriculteurs en raison de leur activité d’éleveur ou de l’utilisation de pesticides.
Face à l’accroissement de ces actes délictuels et criminels banalisés par les médias et qui se normalisent aux yeux des téléspectateurs, la FNSEA met tout en œuvre pour prévenir ces infractions et faciliter la poursuite de leurs auteurs.
A compter du mois de février 2019, la FNSEA a échangé à plusieurs reprises avec le Ministère de l’Intérieur et la Direction générale de la gendarmerie nationale (DDGN) dans le but d’attirer leur attention sur ce que subit actuellement le monde agricole.
Cette sensibilisation a amené le Ministère de l’Intérieur à créer la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole dénommée « Demeter ». Cette cellule, mise en place au sein de la Direction générale de la gendarmerie Nationale au début du mois d’octobre 2019, a pour rôle d’apporter une vision globale et une réponse coordonnée à l’ensemble des infractions (dégradations, cambriolages, menaces, intrusions etc.) commises à l’encontre des agriculteurs français.
La cellule Demeter n’agit donc pas, contrairement à ce qu’énoncent certains journaux, en faveur de la FNSEA. Elle vise à protéger tous les agriculteurs quels que soient leur appartenance syndicale et leur mode de production ; toute personne ou toute organisation syndicale agricole peut la contacter afin de dénoncer la commission d’actes sanctionnés pénalement.
Ces échanges ont aussi permis à la FNSEA et la DGGN de travailler ensemble à une adaptation de la convention de partenariat signée en 2014 visant à prévenir les vols de matériel, aux nouvelles infractions commises dans les exploitations (telles que : vols de GPS qui n’existaient pas à cette époque ou violations de domicile par intrusions dans un bâtiment d’élevage). Par une convention en date du 13 décembre 2019, complétée et signée par le Ministre de l’Intérieur, la DGGN, la FNSEA et JA, il est ainsi prévu que les gendarmes communiquent avec les agriculteurs afin de les conseiller en matière de sécurité et de prévention sur leurs exploitations, et qu’ils soient présents et à l’écoute lorsque ces derniers subissent des infractions. Les agriculteurs les informent, quant à eux, sur la valeur de leur production et de leur matériel, sur les périodes les plus sensibles ou encore sur tout élément suspect.
En permettant de renforcer le lien avec la gendarmerie, très présente en milieu rural, cette convention garantit à tous les agriculteurs une meilleure prévention contre la commission d’infractions et un échange d’informations et de conseils. La convention n’a pas pour but de faire taire ceux qui s’opposent à un modèle agricole ou à l’élevage mais bien de sanctionner ceux qui commettent des délits ou des crimes pénalement répréhensibles.
La finalité est de sanctionner, et à l’avenir d’éviter, la commission d’infractions ayant des conséquences dramatiques telles que l’incendie dans l’Orne ou encore, le décès dans l’Eure de tout un cheptel par asphyxie, causé par l’intrusion de membres de boucherie abolition dans un élevage de dindons - Intrusion dont les auteurs ont été pénalement condamnés.
Agribashing : Faire face aux actes délictueux !

Force est de constater que les actions de certains militants s’intensifient depuis ces dernières années. Les violences aussi bien verbales que physiques se multiplient ainsi à l’encontre des agriculteurs en raison de leur activité d’éleveur ou de l’utilisation de pesticides.
Face à l’accroissement de ces actes délictuels et criminels banalisés par les médias et qui se normalisent aux yeux des téléspectateurs, la FNSEA met tout en œuvre pour prévenir ces infractions et faciliter la poursuite de leurs auteurs.
A compter du mois de février 2019, la FNSEA a échangé à plusieurs reprises avec le Ministère de l’Intérieur et la Direction générale de la gendarmerie nationale (DDGN) dans le but d’attirer leur attention sur ce que subit actuellement le monde agricole.
Cette sensibilisation a amené le Ministère de l’Intérieur à créer la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole dénommée « Demeter ». Cette cellule, mise en place au sein de la Direction générale de la gendarmerie Nationale au début du mois d’octobre 2019, a pour rôle d’apporter une vision globale et une réponse coordonnée à l’ensemble des infractions (dégradations, cambriolages, menaces, intrusions etc.) commises à l’encontre des agriculteurs français.
La cellule Demeter n’agit donc pas, contrairement à ce qu’énoncent certains journaux, en faveur de la FNSEA. Elle vise à protéger tous les agriculteurs quels que soient leur appartenance syndicale et leur mode de production ; toute personne ou toute organisation syndicale agricole peut la contacter afin de dénoncer la commission d’actes sanctionnés pénalement.
Ces échanges ont aussi permis à la FNSEA et la DGGN de travailler ensemble à une adaptation de la convention de partenariat signée en 2014 visant à prévenir les vols de matériel, aux nouvelles infractions commises dans les exploitations (telles que : vols de GPS qui n’existaient pas à cette époque ou violations de domicile par intrusions dans un bâtiment d’élevage). Par une convention en date du 13 décembre 2019, complétée et signée par le Ministre de l’Intérieur, la DGGN, la FNSEA et JA, il est ainsi prévu que les gendarmes communiquent avec les agriculteurs afin de les conseiller en matière de sécurité et de prévention sur leurs exploitations, et qu’ils soient présents et à l’écoute lorsque ces derniers subissent des infractions. Les agriculteurs les informent, quant à eux, sur la valeur de leur production et de leur matériel, sur les périodes les plus sensibles ou encore sur tout élément suspect.
En permettant de renforcer le lien avec la gendarmerie, très présente en milieu rural, cette convention garantit à tous les agriculteurs une meilleure prévention contre la commission d’infractions et un échange d’informations et de conseils. La convention n’a pas pour but de faire taire ceux qui s’opposent à un modèle agricole ou à l’élevage mais bien de sanctionner ceux qui commettent des délits ou des crimes pénalement répréhensibles.
La finalité est de sanctionner, et à l’avenir d’éviter, la commission d’infractions ayant des conséquences dramatiques telles que l’incendie dans l’Orne ou encore, le décès dans l’Eure de tout un cheptel par asphyxie, causé par l’intrusion de membres de boucherie abolition dans un élevage de dindons - Intrusion dont les auteurs ont été pénalement condamnés.