Après une formation au Lycée viticole de Davayé, on est directement employable !
En Bourgogne, la vigne et le vin bénéficient d’une belle dynamique économique. Pourtant, le secteur peine à pourvoir tous ses postes. Les besoins sont croissants. Le Lycée viticole de Davayé forme à de multiples compétences. Le taux de réussite est excellent. L’emploi est quasi-immédiat. Les évolutions de carrière sont possibles. Idem en formations adultes ou en élevage et fromage caprin. Pour finir de s’en convaincre, le lycée ouvre ses portes le 10 mars prochain.
Cela prêterai presque à rire si ce n’était pas symbolique des besoins de la filière en matière de main d’œuvre : « cela fait six mois que nous cherchons un salarié viticole ! », se désespère Jean-Philippe Lachaize, directeur du lycée. Car la concurrence est rude sur le terrain et les salaires grimpent. « Dans le vignoble, les domaines ont pris l’habitude de se piquer les meilleurs salariés à la vigne ou en cave, avec à chaque fois, des hausses de salaires au bout », analyse celui qui est aussi le directeur de l’exploitation viticole.
Du coup, les portes ouvertes – le samedi 10 mars prochain – seront l’occasion pour tous de constater l’étendue des métiers se présentant aux jeunes désireux de se lancer dans la filière vigne et vin. Si tous reconnaissent que la « problématique du foncier » peut questionner les envies d’installation de tous, à cœur vaillant rien n’est impossible dit le dicton et surtout, la filière est riche de métiers passionnants. De plus, ces métiers correspondent généralement à une aspiration moderne de « travailler à l’extérieur » pour se reconnecter avec la nature. Enfin, le développement du salariat est aussi la preuve d’une spécialisation et d’une professionnalisation. La filière viti-oeno offre aux scientifiques de belles énigmes et problèmes en biochimie en perspectives, notamment lors des vinifications.
Encadré par des pros !
« S’ils viennent chez nous, ils auront un métier », assure Jean-Philippe Lachaize, plus généralement. A première vue, les marchés des vins en France et à l’étranger sont dynamiques. La notoriété des vins de Bourgogne aidant mais obligeant à être travaillé par un marketing qui doit sans cesse se renouveler selon les règles de l’art. Reste qu’il s’agit d’un secteur extrêmement concurrentiel avec 4.000 Domaines et 400 Maisons de négoce, rien qu’en Bourgogne. « Les formations – commercial et marketing – sont ici appliquées à un produit, les vins, et cela change la donne car vous êtes directement employables. Vous êtes encadré par des pros et vous entrez facilement sur le marché du travail ». Avec une filière allant de la production à la vigne jusqu’à l’export aux quatre coins du monde, « après, on sait tout vendre », clament les anciens élèves.
Education de luxe publique
Au départ, « il y a une sélection raisonnable à l’entrée. C’est jouable. Nous ne sommes pas élitiste. On reste un établissement public », explique le directeur. Un autre atout de Davayé est sa vie scolaire « à taille humaine ». En filière générale, en Bac S par exemple, la classe compte 16 élèves. « C’est un luxe. Les professeurs consacrent plus de temps à chacun », se félicite toute l’équipe pédagogique, qui est « extrêmement motivée et compétente ». D’ailleurs, les résultats globaux aux examens l’attestent et sont au dessus des moyennes nationales.
Le travail d’accompagnement individuel va évidemment jusqu’au souci de bien orienter post-Bac ou post-BTS vers des licences DNO ou des formations marketing. Dur par contre de quitter ce cadre de vie exceptionnel, au milieu des vallées Mâconnaises, à deux pas de la ville de Mâcon, avec un internat et une restauration de qualité.
Le lycée de Davayé rayonne bien plus loin cependant. Tous les apprentis doivent au moins passer un mois à l’étranger (Angleterre, Allemagne…) dans le cadre de leur scolarité. Une mobilité internationale qui comme le passage par le lycée Davayé est un plus sur n’importe quel CV et un gage de reconnaissance par tous les professionnels.
Après une formation au Lycée viticole de Davayé, on est directement employable !
Cela prêterai presque à rire si ce n’était pas symbolique des besoins de la filière en matière de main d’œuvre : « cela fait six mois que nous cherchons un salarié viticole ! », se désespère Jean-Philippe Lachaize, directeur du lycée. Car la concurrence est rude sur le terrain et les salaires grimpent. « Dans le vignoble, les domaines ont pris l’habitude de se piquer les meilleurs salariés à la vigne ou en cave, avec à chaque fois, des hausses de salaires au bout », analyse celui qui est aussi le directeur de l’exploitation viticole.
Du coup, les portes ouvertes – le samedi 10 mars prochain – seront l’occasion pour tous de constater l’étendue des métiers se présentant aux jeunes désireux de se lancer dans la filière vigne et vin. Si tous reconnaissent que la « problématique du foncier » peut questionner les envies d’installation de tous, à cœur vaillant rien n’est impossible dit le dicton et surtout, la filière est riche de métiers passionnants. De plus, ces métiers correspondent généralement à une aspiration moderne de « travailler à l’extérieur » pour se reconnecter avec la nature. Enfin, le développement du salariat est aussi la preuve d’une spécialisation et d’une professionnalisation. La filière viti-oeno offre aux scientifiques de belles énigmes et problèmes en biochimie en perspectives, notamment lors des vinifications.
Encadré par des pros !
« S’ils viennent chez nous, ils auront un métier », assure Jean-Philippe Lachaize, plus généralement. A première vue, les marchés des vins en France et à l’étranger sont dynamiques. La notoriété des vins de Bourgogne aidant mais obligeant à être travaillé par un marketing qui doit sans cesse se renouveler selon les règles de l’art. Reste qu’il s’agit d’un secteur extrêmement concurrentiel avec 4.000 Domaines et 400 Maisons de négoce, rien qu’en Bourgogne. « Les formations – commercial et marketing – sont ici appliquées à un produit, les vins, et cela change la donne car vous êtes directement employables. Vous êtes encadré par des pros et vous entrez facilement sur le marché du travail ». Avec une filière allant de la production à la vigne jusqu’à l’export aux quatre coins du monde, « après, on sait tout vendre », clament les anciens élèves.
Education de luxe publique
Au départ, « il y a une sélection raisonnable à l’entrée. C’est jouable. Nous ne sommes pas élitiste. On reste un établissement public », explique le directeur. Un autre atout de Davayé est sa vie scolaire « à taille humaine ». En filière générale, en Bac S par exemple, la classe compte 16 élèves. « C’est un luxe. Les professeurs consacrent plus de temps à chacun », se félicite toute l’équipe pédagogique, qui est « extrêmement motivée et compétente ». D’ailleurs, les résultats globaux aux examens l’attestent et sont au dessus des moyennes nationales.
Le travail d’accompagnement individuel va évidemment jusqu’au souci de bien orienter post-Bac ou post-BTS vers des licences DNO ou des formations marketing. Dur par contre de quitter ce cadre de vie exceptionnel, au milieu des vallées Mâconnaises, à deux pas de la ville de Mâcon, avec un internat et une restauration de qualité.
Le lycée de Davayé rayonne bien plus loin cependant. Tous les apprentis doivent au moins passer un mois à l’étranger (Angleterre, Allemagne…) dans le cadre de leur scolarité. Une mobilité internationale qui comme le passage par le lycée Davayé est un plus sur n’importe quel CV et un gage de reconnaissance par tous les professionnels.
Après une formation au Lycée viticole de Davayé, on est directement employable !
Cela prêterai presque à rire si ce n’était pas symbolique des besoins de la filière en matière de main d’œuvre : « cela fait six mois que nous cherchons un salarié viticole ! », se désespère Jean-Philippe Lachaize, directeur du lycée. Car la concurrence est rude sur le terrain et les salaires grimpent. « Dans le vignoble, les domaines ont pris l’habitude de se piquer les meilleurs salariés à la vigne ou en cave, avec à chaque fois, des hausses de salaires au bout », analyse celui qui est aussi le directeur de l’exploitation viticole.
Du coup, les portes ouvertes – le samedi 10 mars prochain – seront l’occasion pour tous de constater l’étendue des métiers se présentant aux jeunes désireux de se lancer dans la filière vigne et vin. Si tous reconnaissent que la « problématique du foncier » peut questionner les envies d’installation de tous, à cœur vaillant rien n’est impossible dit le dicton et surtout, la filière est riche de métiers passionnants. De plus, ces métiers correspondent généralement à une aspiration moderne de « travailler à l’extérieur » pour se reconnecter avec la nature. Enfin, le développement du salariat est aussi la preuve d’une spécialisation et d’une professionnalisation. La filière viti-oeno offre aux scientifiques de belles énigmes et problèmes en biochimie en perspectives, notamment lors des vinifications.
Encadré par des pros !
« S’ils viennent chez nous, ils auront un métier », assure Jean-Philippe Lachaize, plus généralement. A première vue, les marchés des vins en France et à l’étranger sont dynamiques. La notoriété des vins de Bourgogne aidant mais obligeant à être travaillé par un marketing qui doit sans cesse se renouveler selon les règles de l’art. Reste qu’il s’agit d’un secteur extrêmement concurrentiel avec 4.000 Domaines et 400 Maisons de négoce, rien qu’en Bourgogne. « Les formations – commercial et marketing – sont ici appliquées à un produit, les vins, et cela change la donne car vous êtes directement employables. Vous êtes encadré par des pros et vous entrez facilement sur le marché du travail ». Avec une filière allant de la production à la vigne jusqu’à l’export aux quatre coins du monde, « après, on sait tout vendre », clament les anciens élèves.
Education de luxe publique
Au départ, « il y a une sélection raisonnable à l’entrée. C’est jouable. Nous ne sommes pas élitiste. On reste un établissement public », explique le directeur. Un autre atout de Davayé est sa vie scolaire « à taille humaine ». En filière générale, en Bac S par exemple, la classe compte 16 élèves. « C’est un luxe. Les professeurs consacrent plus de temps à chacun », se félicite toute l’équipe pédagogique, qui est « extrêmement motivée et compétente ». D’ailleurs, les résultats globaux aux examens l’attestent et sont au dessus des moyennes nationales.
Le travail d’accompagnement individuel va évidemment jusqu’au souci de bien orienter post-Bac ou post-BTS vers des licences DNO ou des formations marketing. Dur par contre de quitter ce cadre de vie exceptionnel, au milieu des vallées Mâconnaises, à deux pas de la ville de Mâcon, avec un internat et une restauration de qualité.
Le lycée de Davayé rayonne bien plus loin cependant. Tous les apprentis doivent au moins passer un mois à l’étranger (Angleterre, Allemagne…) dans le cadre de leur scolarité. Une mobilité internationale qui comme le passage par le lycée Davayé est un plus sur n’importe quel CV et un gage de reconnaissance par tous les professionnels.