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Gaec Gordat-Dussably à Volesvres

Au Gaec Gordat-Dussably à Volesvres, le vêlage facile et la finesse de viande comme crédo

Le Gaec Gordat-Dussably est l’un des dix-neuf élevages de Feder qui ouvraient ses portes début mars. Adhérents de la section reproducteurs du groupement, Olivier Gordat et Fabrice Dussably partagent avec leur technicien la volonté de sélectionner des taureaux alliant le vêlage facile et la finesse de viande.

Au Gaec Gordat-Dussably à Volesvres, le vêlage facile et la finesse de viande comme crédo

Olivier Gordat et Fabrice Dussably se sont associés en 2007 à Volesvres. Aujourd’hui, ils élèvent un cheptel de 170 charolaises inscrites avec lequel ils produisent des broutards alourdis, des vaches grasses valorisées en filière AOP Bœuf de Charolles. Les génisses les plus « épaisses » sont vendue laitonnes maigres. Toute la production est livrée au groupement Feder. Pour les reproducteurs, le Gaec fait partie de la section reproducteurs du groupement. Dans ce troupeau résultant de l’union des fermes des familles Gordat et Dussably, les premières inscriptions remontent au temps du grand-père d’Olivier. A partir de 2000, Olivier et son père se sont mis à inséminer toutes les génisses. Objectif : « améliorer la facilité de naissance et les qualités maternelles ». Aujourd’hui, la moitié des femelles du Gaec sont inséminées. Au terme de près de vingt ans d’amélioration génétique, Olivier et Fabrice se sont dotés d’un troupeau « qui vêle bien avec un bon grain de viande et de la finesse d’os », décrit Thibault Chevailler de Feder. De fait, l’exploitation ne compte en moyenne que deux césariennes pour 170 vêlages. Et ce avec des animaux bien conformés avec des vaches à plus 500 kg de poids de carcasse (moyenne 492 kg), fait valoir le technicien.

Bons index et pelvimétrie

Pour parvenir à ce résultat, les deux associés ont toujours été très rigoureux sur le choix de leurs reproducteurs. Ils apportent notamment une grande attention aux index, recherchant « des taureaux supérieurs à 100 et même plus proches de 110 en facilité de naissance, aptitude au vêlage, aptitude laitière », révèlent Olivier et Fabrice. Depuis son implication dans le programme Degeram, toutes les génisses du Gaec subissent une pelvimétrie, autrement dit une mesure de leur ouverture pelvienne effectuée par Alsoni. Cette donnée supplémentaire sur la capacité des futures vaches à vêler permet « d’affiner encore davantage les accouplements », expliquent les deux associés.

Pour le choix de leurs reproducteurs de monte naturelle comme pour la vente de leurs reproducteurs, Olivier Gordat et Fabrice Dussably s’adjoignent les conseils de leur technicien Feder, Thibault Chevailler. N’achetant leurs futurs taureaux qu’en ferme, ils vont visiter des élevages ensemble dans des exploitations qui partagent la même vision qu’eux en matière de génétique.

Des veaux triés sur le volet

Pour la vente de leurs reproducteurs, le Gaec - qui se fait aider par son technicien - tient à ne sélectionner que des sujets améliorateurs, triés sur le volet, sur la morphologie et surtout sur le papier. Avec une sélection rigoureuse s’appuyant sur l’aptitude au vêlage, le lait, l’IVMat, les associés tiennent à la disposition de leurs clients toutes les données chiffrées de leur troupeau, celles du BGTA - le bilan génétique effectué par Alsoni. La plupart des veaux sont vendus grâce aux actions menées par Feder, confient Olivier et Fabrice. Beaucoup sont commercialisés en automne. Les portes ouvertes de printemps permettent de commercialiser les derniers sujets. Chaque année, le Gaec Gordat-Dussably commercialise environ 25 jeunes reproducteurs à des clients pour la plupart producteurs de broutards.

Au Gaec Gordat-Dussably à Volesvres, le vêlage facile et la finesse de viande comme crédo

Au Gaec Gordat-Dussably à Volesvres, le vêlage facile et la finesse de viande comme crédo

Olivier Gordat et Fabrice Dussably se sont associés en 2007 à Volesvres. Aujourd’hui, ils élèvent un cheptel de 170 charolaises inscrites avec lequel ils produisent des broutards alourdis, des vaches grasses valorisées en filière AOP Bœuf de Charolles. Les génisses les plus « épaisses » sont vendue laitonnes maigres. Toute la production est livrée au groupement Feder. Pour les reproducteurs, le Gaec fait partie de la section reproducteurs du groupement. Dans ce troupeau résultant de l’union des fermes des familles Gordat et Dussably, les premières inscriptions remontent au temps du grand-père d’Olivier. A partir de 2000, Olivier et son père se sont mis à inséminer toutes les génisses. Objectif : « améliorer la facilité de naissance et les qualités maternelles ». Aujourd’hui, la moitié des femelles du Gaec sont inséminées. Au terme de près de vingt ans d’amélioration génétique, Olivier et Fabrice se sont dotés d’un troupeau « qui vêle bien avec un bon grain de viande et de la finesse d’os », décrit Thibault Chevailler de Feder. De fait, l’exploitation ne compte en moyenne que deux césariennes pour 170 vêlages. Et ce avec des animaux bien conformés avec des vaches à plus 500 kg de poids de carcasse (moyenne 492 kg), fait valoir le technicien.

Bons index et pelvimétrie

Pour parvenir à ce résultat, les deux associés ont toujours été très rigoureux sur le choix de leurs reproducteurs. Ils apportent notamment une grande attention aux index, recherchant « des taureaux supérieurs à 100 et même plus proches de 110 en facilité de naissance, aptitude au vêlage, aptitude laitière », révèlent Olivier et Fabrice. Depuis son implication dans le programme Degeram, toutes les génisses du Gaec subissent une pelvimétrie, autrement dit une mesure de leur ouverture pelvienne effectuée par Alsoni. Cette donnée supplémentaire sur la capacité des futures vaches à vêler permet « d’affiner encore davantage les accouplements », expliquent les deux associés.

Pour le choix de leurs reproducteurs de monte naturelle comme pour la vente de leurs reproducteurs, Olivier Gordat et Fabrice Dussably s’adjoignent les conseils de leur technicien Feder, Thibault Chevailler. N’achetant leurs futurs taureaux qu’en ferme, ils vont visiter des élevages ensemble dans des exploitations qui partagent la même vision qu’eux en matière de génétique.

Des veaux triés sur le volet

Pour la vente de leurs reproducteurs, le Gaec - qui se fait aider par son technicien - tient à ne sélectionner que des sujets améliorateurs, triés sur le volet, sur la morphologie et surtout sur le papier. Avec une sélection rigoureuse s’appuyant sur l’aptitude au vêlage, le lait, l’IVMat, les associés tiennent à la disposition de leurs clients toutes les données chiffrées de leur troupeau, celles du BGTA - le bilan génétique effectué par Alsoni. La plupart des veaux sont vendus grâce aux actions menées par Feder, confient Olivier et Fabrice. Beaucoup sont commercialisés en automne. Les portes ouvertes de printemps permettent de commercialiser les derniers sujets. Chaque année, le Gaec Gordat-Dussably commercialise environ 25 jeunes reproducteurs à des clients pour la plupart producteurs de broutards.

Au Gaec Gordat-Dussably à Volesvres, le vêlage facile et la finesse de viande comme crédo

Au Gaec Gordat-Dussably à Volesvres, le vêlage facile et la finesse de viande comme crédo

Olivier Gordat et Fabrice Dussably se sont associés en 2007 à Volesvres. Aujourd’hui, ils élèvent un cheptel de 170 charolaises inscrites avec lequel ils produisent des broutards alourdis, des vaches grasses valorisées en filière AOP Bœuf de Charolles. Les génisses les plus « épaisses » sont vendue laitonnes maigres. Toute la production est livrée au groupement Feder. Pour les reproducteurs, le Gaec fait partie de la section reproducteurs du groupement. Dans ce troupeau résultant de l’union des fermes des familles Gordat et Dussably, les premières inscriptions remontent au temps du grand-père d’Olivier. A partir de 2000, Olivier et son père se sont mis à inséminer toutes les génisses. Objectif : « améliorer la facilité de naissance et les qualités maternelles ». Aujourd’hui, la moitié des femelles du Gaec sont inséminées. Au terme de près de vingt ans d’amélioration génétique, Olivier et Fabrice se sont dotés d’un troupeau « qui vêle bien avec un bon grain de viande et de la finesse d’os », décrit Thibault Chevailler de Feder. De fait, l’exploitation ne compte en moyenne que deux césariennes pour 170 vêlages. Et ce avec des animaux bien conformés avec des vaches à plus 500 kg de poids de carcasse (moyenne 492 kg), fait valoir le technicien.

Bons index et pelvimétrie

Pour parvenir à ce résultat, les deux associés ont toujours été très rigoureux sur le choix de leurs reproducteurs. Ils apportent notamment une grande attention aux index, recherchant « des taureaux supérieurs à 100 et même plus proches de 110 en facilité de naissance, aptitude au vêlage, aptitude laitière », révèlent Olivier et Fabrice. Depuis son implication dans le programme Degeram, toutes les génisses du Gaec subissent une pelvimétrie, autrement dit une mesure de leur ouverture pelvienne effectuée par Alsoni. Cette donnée supplémentaire sur la capacité des futures vaches à vêler permet « d’affiner encore davantage les accouplements », expliquent les deux associés.

Pour le choix de leurs reproducteurs de monte naturelle comme pour la vente de leurs reproducteurs, Olivier Gordat et Fabrice Dussably s’adjoignent les conseils de leur technicien Feder, Thibault Chevailler. N’achetant leurs futurs taureaux qu’en ferme, ils vont visiter des élevages ensemble dans des exploitations qui partagent la même vision qu’eux en matière de génétique.

Des veaux triés sur le volet

Pour la vente de leurs reproducteurs, le Gaec - qui se fait aider par son technicien - tient à ne sélectionner que des sujets améliorateurs, triés sur le volet, sur la morphologie et surtout sur le papier. Avec une sélection rigoureuse s’appuyant sur l’aptitude au vêlage, le lait, l’IVMat, les associés tiennent à la disposition de leurs clients toutes les données chiffrées de leur troupeau, celles du BGTA - le bilan génétique effectué par Alsoni. La plupart des veaux sont vendus grâce aux actions menées par Feder, confient Olivier et Fabrice. Beaucoup sont commercialisés en automne. Les portes ouvertes de printemps permettent de commercialiser les derniers sujets. Chaque année, le Gaec Gordat-Dussably commercialise environ 25 jeunes reproducteurs à des clients pour la plupart producteurs de broutards.