Congrès de la FNSEA
Au service de l’Agriculture
Une délégation bourguignonne était présente à Montpellier pour un
congrès au cours duquel, plus que jamais, la FNSEA a réaffirmé son
véritable statut et démontré qu’elle est bien la seule organisation
capable de véritablement peser pour, et au service de, l’agriculture
française.
congrès au cours duquel, plus que jamais, la FNSEA a réaffirmé son
véritable statut et démontré qu’elle est bien la seule organisation
capable de véritablement peser pour, et au service de, l’agriculture
française.
Pas moins de vingt-et-un représentants issus des quatre départements de Bourgogne avaient pris part au 66e congrès de la FNSEA les 27, 28 et 29 mars dernier à Montpellier. Et si le temps était chaud à l’extérieur, l’ambiance ne l’était pas moins à l’intérieur où près de 900 congressistes, plus de 1.500 le dernier jour, ont assisté à ce qui restera en matière de lobbying, une des actions les plus abouties des dernières années. Car en faisant défiler à sa tribune, et en l’espace deux jours, le commissaire européen à l’agriculture, Dacian Ciolos, et sept des dix candidats à l’Elysée, la FNSEA a démontré, si cela s’avérait encore nécessaire, que son réseau comme celui des JA bénéficie d’une reconnaissance et dispose d’un poids considérable lui conférant une totale légitimité pour la défense des intérêts paysans en France.
Raisonnablement ancré dans la responsabilité
"Un syndicalisme raisonnablement ancré dans la responsabilité" : c’est ainsi que le réseau a assumé ses responsabilités, au courant de l’année 2011. En étant mobilisé à la fois sur les dossiers conjoncturels (gestion de la sécheresse, dossier environnemental…), mais également sur la structuration et l’organisation économique, que la FNSEA considère comme étant la clé de voûte de la réussite des entreprises agricoles françaises. Un travail de fond aura ainsi été mené tout au long de l’année pour avancer sur des dossiers tels que la contractualisation ou encore la future réforme de la Pac au sujet de laquelle de nombreuses propositions ont été formulées dans l’objectif de redonner un véritable allant à l’économie agricole des territoires. Moins "sexy" c’est vrai que le simplisme extrême des messages véhiculés par certaines organisations mais terriblement plus ancré dans la réalité de l’agriculture d’aujourd’hui et de demain. Un message répéter au quotidien par les responsables bourguignons, estimant que la défense des paysans ne peut éternellement être faîte de louanges et de mensonges.
Le refus de la médiocrité
Une philosophie que bon nombre de candidats à L’Elysée devrait par ailleurs méditer car si certains d’entre eux ont pu par leurs prestations politiques relever quelque peu le niveau - sur la forme tout au moins - d’une campagne présidentielle « au ras des pâquerettes », il n’en reste pas moins que le déballage de « bonnes intentions agricoles » du 29 mars semblait davantage relever de la parade et des louanges. Reste donc à se rappeler qu’en ces tristes temps, être syndicaliste et responsable est une valeur fondamentale et que la défense paysanne passe avant tout au présent comme au futur par le contournement de la médiocrité.
Raisonnablement ancré dans la responsabilité
"Un syndicalisme raisonnablement ancré dans la responsabilité" : c’est ainsi que le réseau a assumé ses responsabilités, au courant de l’année 2011. En étant mobilisé à la fois sur les dossiers conjoncturels (gestion de la sécheresse, dossier environnemental…), mais également sur la structuration et l’organisation économique, que la FNSEA considère comme étant la clé de voûte de la réussite des entreprises agricoles françaises. Un travail de fond aura ainsi été mené tout au long de l’année pour avancer sur des dossiers tels que la contractualisation ou encore la future réforme de la Pac au sujet de laquelle de nombreuses propositions ont été formulées dans l’objectif de redonner un véritable allant à l’économie agricole des territoires. Moins "sexy" c’est vrai que le simplisme extrême des messages véhiculés par certaines organisations mais terriblement plus ancré dans la réalité de l’agriculture d’aujourd’hui et de demain. Un message répéter au quotidien par les responsables bourguignons, estimant que la défense des paysans ne peut éternellement être faîte de louanges et de mensonges.
Le refus de la médiocrité
Une philosophie que bon nombre de candidats à L’Elysée devrait par ailleurs méditer car si certains d’entre eux ont pu par leurs prestations politiques relever quelque peu le niveau - sur la forme tout au moins - d’une campagne présidentielle « au ras des pâquerettes », il n’en reste pas moins que le déballage de « bonnes intentions agricoles » du 29 mars semblait davantage relever de la parade et des louanges. Reste donc à se rappeler qu’en ces tristes temps, être syndicaliste et responsable est une valeur fondamentale et que la défense paysanne passe avant tout au présent comme au futur par le contournement de la médiocrité.