Belle hausse du nombre d’échantillons lors du Concours des vins de la Côte Chalonnaise et du Couchois
De retour à Fontaines, le Concours des vins de la Côte Chalonnaise et du Couchois a été un franc succès en ce mois de janvier 2019. Pour preuve l’augmentation conséquente du nombre d’échantillons en douze mois.

Pour la troisième fois de son histoire, le Concours des vins de la Côte Chalonnaise et du Couchois s’installait à Fontaines. C’est dans les murs du lycée local qu’étaient proposés à la dégustation 640 échantillons, soit une progression de 56 échantillons en douze mois. Un chiffre dont s’est félicité le président de l’Union Agricole et Viticole Bernard Royet « Une telle hausse n’était pas arrivée depuis plusieurs années. » C’est à 9h qu’a débuté la dégustation dans un cadre particulièrement agréable pour ce rendez-vous visant non seulement à mettre en valeur la production locale mais aussi à « permettre aux viticulteurs et vignerons de se retrouver, chaque année, lors de ce moment privilégié » comme le rappelait M Fernandes de Almeida qui, pour sa part, était amené à évaluer les crémants lors de cette matinée.
Salle comble
Une 127ème édition qui aura été présidée conjointement par Jacques Lameloise, chef triplement étoilé, Coline Touret, miss Bourgogne en titre, et Aubert de Villaine, figure emblématique du monde viticole bourguignon. Lequel Aubert de Villaine était particulièrement attendu en cette matinée du 12 janvier dernier. En effet, la salle polyvalente du lycée affichait complet au moment de sa conférence qui s’intéressait à La place de l’homme et des terroirs dans la viticulture. Lors de son intervention, celui qui est arrivée dans la région en 1966 a rappelé « qu’il faut marier harmonieusement l’homme et la nature. » Et d’évoquer la démarche menée auprès de l’Unesco avec le choix de miser sur le Climat. L’occasion de souligner tout ce qu’il y a derrière cette notion de Climat et de retracer les étapes de la candidature. N’hésitant pas à affirmer « qu’être vigneron est le plus beau métier du monde », Aubert de Villaine a conclu son intervention en citant Pierre Veilletet, écrivain et grand amoureux du vin. « Il n’existe pas de vignoble prédestiné, il n’y a que des entêtements de civilisation. »
Belle hausse du nombre d’échantillons lors du Concours des vins de la Côte Chalonnaise et du Couchois

Pour la troisième fois de son histoire, le Concours des vins de la Côte Chalonnaise et du Couchois s’installait à Fontaines. C’est dans les murs du lycée local qu’étaient proposés à la dégustation 640 échantillons, soit une progression de 56 échantillons en douze mois. Un chiffre dont s’est félicité le président de l’Union Agricole et Viticole Bernard Royet « Une telle hausse n’était pas arrivée depuis plusieurs années. » C’est à 9h qu’a débuté la dégustation dans un cadre particulièrement agréable pour ce rendez-vous visant non seulement à mettre en valeur la production locale mais aussi à « permettre aux viticulteurs et vignerons de se retrouver, chaque année, lors de ce moment privilégié » comme le rappelait M Fernandes de Almeida qui, pour sa part, était amené à évaluer les crémants lors de cette matinée.
Salle comble
Une 127ème édition qui aura été présidée conjointement par Jacques Lameloise, chef triplement étoilé, Coline Touret, miss Bourgogne en titre, et Aubert de Villaine, figure emblématique du monde viticole bourguignon. Lequel Aubert de Villaine était particulièrement attendu en cette matinée du 12 janvier dernier. En effet, la salle polyvalente du lycée affichait complet au moment de sa conférence qui s’intéressait à La place de l’homme et des terroirs dans la viticulture. Lors de son intervention, celui qui est arrivée dans la région en 1966 a rappelé « qu’il faut marier harmonieusement l’homme et la nature. » Et d’évoquer la démarche menée auprès de l’Unesco avec le choix de miser sur le Climat. L’occasion de souligner tout ce qu’il y a derrière cette notion de Climat et de retracer les étapes de la candidature. N’hésitant pas à affirmer « qu’être vigneron est le plus beau métier du monde », Aubert de Villaine a conclu son intervention en citant Pierre Veilletet, écrivain et grand amoureux du vin. « Il n’existe pas de vignoble prédestiné, il n’y a que des entêtements de civilisation. »