Bruxelles est prête à tout pour conclure un accord de libre-échange avec le Mercosur
L’Union européenne et le Mercosur entendent conclure leurs pourparlers de libre-échange « sinon à la fin de l’année, en début d’année prochaine ». En tout cas, pour y parvenir, les négociateurs européens améliorent toujours davantage leur offre d’accès au marché pour les produits agricoles sensibles… Et manifestement qu’importent les conséquences, pourvu qu’il y ait accord…

« Nous pensons arriver à conclure les négociations, sinon à la fin de l’année, en début d’année prochaine », a mis en avant le 5 décembre la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström, alors que l’Union européenne et le Mercosur ont bouclé le 8 décembre une nouvelle session de pourparlers en vue d’un accord de libre-échange. « Il y aura évidemment des rencontres entre les deux parties à Buenos Aires », en marge de la conférence ministérielle de l’OMC, et « peut-être une annonce sur là où nous en sommes ».
Ni responsable, ni coupable
Questionnée sur les réticences en France concernant l’offre au bloc sud-américain de contingents tarifaires d’importation pour des produits tels que le bœuf, la volaille, les céréales ou l’éthanol, elle a répondu : « l’opinion publique française doit regarder l’accord dans son ensemble. C’est au gouvernement français que reviendra la responsabilité de vendre cet accord à ses citoyens ». C’est dit, Bruxelles est droit dans ses bottes et, en somme, ce n’est pas là son affaire. Et comme cela ne semble pas être davantage celle de Paris…
Pour leur part, le 1er décembre, les organisations agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) avaient à nouveau jugé « inacceptable que la viande bovine, le sucre et l’éthanol soient inclus dans l’offre d’accès au marché européen ». Elles l’ont dit et répété. Dans le vide manifestement…
L’offre européenne
Lors de la session à Bruxelles du 29 novembre au 8 décembre, l’Union européenne et le Mercosur ont procédé à un nouvel échange d’offres d’accès au marché. Les négociateurs de Bruxelles ont amélioré l’offre faite le 11 mai, mais le bloc sud-américain cherche manifestement à obtenir davantage encore, notamment pour la viande de bœuf.
L’offre européenne révisée - à ce stade - de contingents tarifaires d’importation pour les produits agricoles sensibles - qui pour la plupart seraient ouverts graduellement en six étapes annuelles égales - est la suivante :
- bœuf : 70.000 tonnes équivalent carcasses (tec), dont 35.000 t de viande fraîche, y compris de haute qualité, et 35.000 t de viande congelée pour la transformation, au droit de 7,5 %.
- volaille : 90.000 tec, dont 45.000 sans os, y compris préparations, et 45.000 avec os, au droit de 49,3 €/t ;
- porc : 17.000 tec de viande fraîche, réfrigérée et préparée, au droit de 83 €/t ;
- viande ovine : 3.000 t en franchise ;
- œufs et ovoproduits : 2.400 t à 50 % du droit NPF (Nation la plus favorisée) ;
- produits laitiers : 15.000 t de poudre de lait au droit de 251 €/t (en sept étapes annuelles pour la poudre de lait entier) ; 5.000 t de beurre à 7,5 % du droit NPF ; 20.000 t de fromage (en quatre étapes) libre de droit ;
- miel : 26.000 t, au droit de 8,7 % ;
- rhum : 2.400 t en vrac (équivalent alcool pur), en franchise ;
- éthanol : 600.000 t, dont 400.000 pour l’industrie chimique, avec un droit de 6,40 €/hl pour le produit non dénaturé et de 3,4 €/hl pour le produit dénaturé ;
- sucre : 100.000 t destinées au raffinage, au droit de 98 €/t, et 2.000 autres tonnes (dès la 1ère année), à 50 % du droit normal NPF ;
- céréales : 750.000 t de maïs et 250.000 t de blé tendre, en franchise de droit ; 45.000 t de riz, au droit de 15 €/t ;
- maïs doux : 1.000 t (dès la 1ère année), en franchise ;
- amidon : 1.500 t d’amidon de maïs et de manioc (dès le 1ère année), à 50 % du droit NPF, et 600 t de dérivés d’amidon, en franchise.
Sans commentaire.
Bruxelles est prête à tout pour conclure un accord de libre-échange avec le Mercosur

« Nous pensons arriver à conclure les négociations, sinon à la fin de l’année, en début d’année prochaine », a mis en avant le 5 décembre la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström, alors que l’Union européenne et le Mercosur ont bouclé le 8 décembre une nouvelle session de pourparlers en vue d’un accord de libre-échange. « Il y aura évidemment des rencontres entre les deux parties à Buenos Aires », en marge de la conférence ministérielle de l’OMC, et « peut-être une annonce sur là où nous en sommes ».
Ni responsable, ni coupable
Questionnée sur les réticences en France concernant l’offre au bloc sud-américain de contingents tarifaires d’importation pour des produits tels que le bœuf, la volaille, les céréales ou l’éthanol, elle a répondu : « l’opinion publique française doit regarder l’accord dans son ensemble. C’est au gouvernement français que reviendra la responsabilité de vendre cet accord à ses citoyens ». C’est dit, Bruxelles est droit dans ses bottes et, en somme, ce n’est pas là son affaire. Et comme cela ne semble pas être davantage celle de Paris…
Pour leur part, le 1er décembre, les organisations agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) avaient à nouveau jugé « inacceptable que la viande bovine, le sucre et l’éthanol soient inclus dans l’offre d’accès au marché européen ». Elles l’ont dit et répété. Dans le vide manifestement…
L’offre européenne
Lors de la session à Bruxelles du 29 novembre au 8 décembre, l’Union européenne et le Mercosur ont procédé à un nouvel échange d’offres d’accès au marché. Les négociateurs de Bruxelles ont amélioré l’offre faite le 11 mai, mais le bloc sud-américain cherche manifestement à obtenir davantage encore, notamment pour la viande de bœuf.
L’offre européenne révisée - à ce stade - de contingents tarifaires d’importation pour les produits agricoles sensibles - qui pour la plupart seraient ouverts graduellement en six étapes annuelles égales - est la suivante :
- bœuf : 70.000 tonnes équivalent carcasses (tec), dont 35.000 t de viande fraîche, y compris de haute qualité, et 35.000 t de viande congelée pour la transformation, au droit de 7,5 %.
- volaille : 90.000 tec, dont 45.000 sans os, y compris préparations, et 45.000 avec os, au droit de 49,3 €/t ;
- porc : 17.000 tec de viande fraîche, réfrigérée et préparée, au droit de 83 €/t ;
- viande ovine : 3.000 t en franchise ;
- œufs et ovoproduits : 2.400 t à 50 % du droit NPF (Nation la plus favorisée) ;
- produits laitiers : 15.000 t de poudre de lait au droit de 251 €/t (en sept étapes annuelles pour la poudre de lait entier) ; 5.000 t de beurre à 7,5 % du droit NPF ; 20.000 t de fromage (en quatre étapes) libre de droit ;
- miel : 26.000 t, au droit de 8,7 % ;
- rhum : 2.400 t en vrac (équivalent alcool pur), en franchise ;
- éthanol : 600.000 t, dont 400.000 pour l’industrie chimique, avec un droit de 6,40 €/hl pour le produit non dénaturé et de 3,4 €/hl pour le produit dénaturé ;
- sucre : 100.000 t destinées au raffinage, au droit de 98 €/t, et 2.000 autres tonnes (dès la 1ère année), à 50 % du droit normal NPF ;
- céréales : 750.000 t de maïs et 250.000 t de blé tendre, en franchise de droit ; 45.000 t de riz, au droit de 15 €/t ;
- maïs doux : 1.000 t (dès la 1ère année), en franchise ;
- amidon : 1.500 t d’amidon de maïs et de manioc (dès le 1ère année), à 50 % du droit NPF, et 600 t de dérivés d’amidon, en franchise.
Sans commentaire.
Bruxelles est prête à tout pour conclure un accord de libre-échange avec le Mercosur

« Nous pensons arriver à conclure les négociations, sinon à la fin de l’année, en début d’année prochaine », a mis en avant le 5 décembre la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström, alors que l’Union européenne et le Mercosur ont bouclé le 8 décembre une nouvelle session de pourparlers en vue d’un accord de libre-échange. « Il y aura évidemment des rencontres entre les deux parties à Buenos Aires », en marge de la conférence ministérielle de l’OMC, et « peut-être une annonce sur là où nous en sommes ».
Ni responsable, ni coupable
Questionnée sur les réticences en France concernant l’offre au bloc sud-américain de contingents tarifaires d’importation pour des produits tels que le bœuf, la volaille, les céréales ou l’éthanol, elle a répondu : « l’opinion publique française doit regarder l’accord dans son ensemble. C’est au gouvernement français que reviendra la responsabilité de vendre cet accord à ses citoyens ». C’est dit, Bruxelles est droit dans ses bottes et, en somme, ce n’est pas là son affaire. Et comme cela ne semble pas être davantage celle de Paris…
Pour leur part, le 1er décembre, les organisations agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) avaient à nouveau jugé « inacceptable que la viande bovine, le sucre et l’éthanol soient inclus dans l’offre d’accès au marché européen ». Elles l’ont dit et répété. Dans le vide manifestement…
L’offre européenne
Lors de la session à Bruxelles du 29 novembre au 8 décembre, l’Union européenne et le Mercosur ont procédé à un nouvel échange d’offres d’accès au marché. Les négociateurs de Bruxelles ont amélioré l’offre faite le 11 mai, mais le bloc sud-américain cherche manifestement à obtenir davantage encore, notamment pour la viande de bœuf.
L’offre européenne révisée - à ce stade - de contingents tarifaires d’importation pour les produits agricoles sensibles - qui pour la plupart seraient ouverts graduellement en six étapes annuelles égales - est la suivante :
- bœuf : 70.000 tonnes équivalent carcasses (tec), dont 35.000 t de viande fraîche, y compris de haute qualité, et 35.000 t de viande congelée pour la transformation, au droit de 7,5 %.
- volaille : 90.000 tec, dont 45.000 sans os, y compris préparations, et 45.000 avec os, au droit de 49,3 €/t ;
- porc : 17.000 tec de viande fraîche, réfrigérée et préparée, au droit de 83 €/t ;
- viande ovine : 3.000 t en franchise ;
- œufs et ovoproduits : 2.400 t à 50 % du droit NPF (Nation la plus favorisée) ;
- produits laitiers : 15.000 t de poudre de lait au droit de 251 €/t (en sept étapes annuelles pour la poudre de lait entier) ; 5.000 t de beurre à 7,5 % du droit NPF ; 20.000 t de fromage (en quatre étapes) libre de droit ;
- miel : 26.000 t, au droit de 8,7 % ;
- rhum : 2.400 t en vrac (équivalent alcool pur), en franchise ;
- éthanol : 600.000 t, dont 400.000 pour l’industrie chimique, avec un droit de 6,40 €/hl pour le produit non dénaturé et de 3,4 €/hl pour le produit dénaturé ;
- sucre : 100.000 t destinées au raffinage, au droit de 98 €/t, et 2.000 autres tonnes (dès la 1ère année), à 50 % du droit normal NPF ;
- céréales : 750.000 t de maïs et 250.000 t de blé tendre, en franchise de droit ; 45.000 t de riz, au droit de 15 €/t ;
- maïs doux : 1.000 t (dès la 1ère année), en franchise ;
- amidon : 1.500 t d’amidon de maïs et de manioc (dès le 1ère année), à 50 % du droit NPF, et 600 t de dérivés d’amidon, en franchise.
Sans commentaire.
Bruxelles est prête à tout pour conclure un accord de libre-échange avec le Mercosur

« Nous pensons arriver à conclure les négociations, sinon à la fin de l’année, en début d’année prochaine », a mis en avant le 5 décembre la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström, alors que l’Union européenne et le Mercosur ont bouclé le 8 décembre une nouvelle session de pourparlers en vue d’un accord de libre-échange. « Il y aura évidemment des rencontres entre les deux parties à Buenos Aires », en marge de la conférence ministérielle de l’OMC, et « peut-être une annonce sur là où nous en sommes ».
Ni responsable, ni coupable
Questionnée sur les réticences en France concernant l’offre au bloc sud-américain de contingents tarifaires d’importation pour des produits tels que le bœuf, la volaille, les céréales ou l’éthanol, elle a répondu : « l’opinion publique française doit regarder l’accord dans son ensemble. C’est au gouvernement français que reviendra la responsabilité de vendre cet accord à ses citoyens ». C’est dit, Bruxelles est droit dans ses bottes et, en somme, ce n’est pas là son affaire. Et comme cela ne semble pas être davantage celle de Paris…
Pour leur part, le 1er décembre, les organisations agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) avaient à nouveau jugé « inacceptable que la viande bovine, le sucre et l’éthanol soient inclus dans l’offre d’accès au marché européen ». Elles l’ont dit et répété. Dans le vide manifestement…
L’offre européenne
Lors de la session à Bruxelles du 29 novembre au 8 décembre, l’Union européenne et le Mercosur ont procédé à un nouvel échange d’offres d’accès au marché. Les négociateurs de Bruxelles ont amélioré l’offre faite le 11 mai, mais le bloc sud-américain cherche manifestement à obtenir davantage encore, notamment pour la viande de bœuf.
L’offre européenne révisée - à ce stade - de contingents tarifaires d’importation pour les produits agricoles sensibles - qui pour la plupart seraient ouverts graduellement en six étapes annuelles égales - est la suivante :
- bœuf : 70.000 tonnes équivalent carcasses (tec), dont 35.000 t de viande fraîche, y compris de haute qualité, et 35.000 t de viande congelée pour la transformation, au droit de 7,5 %.
- volaille : 90.000 tec, dont 45.000 sans os, y compris préparations, et 45.000 avec os, au droit de 49,3 €/t ;
- porc : 17.000 tec de viande fraîche, réfrigérée et préparée, au droit de 83 €/t ;
- viande ovine : 3.000 t en franchise ;
- œufs et ovoproduits : 2.400 t à 50 % du droit NPF (Nation la plus favorisée) ;
- produits laitiers : 15.000 t de poudre de lait au droit de 251 €/t (en sept étapes annuelles pour la poudre de lait entier) ; 5.000 t de beurre à 7,5 % du droit NPF ; 20.000 t de fromage (en quatre étapes) libre de droit ;
- miel : 26.000 t, au droit de 8,7 % ;
- rhum : 2.400 t en vrac (équivalent alcool pur), en franchise ;
- éthanol : 600.000 t, dont 400.000 pour l’industrie chimique, avec un droit de 6,40 €/hl pour le produit non dénaturé et de 3,4 €/hl pour le produit dénaturé ;
- sucre : 100.000 t destinées au raffinage, au droit de 98 €/t, et 2.000 autres tonnes (dès la 1ère année), à 50 % du droit normal NPF ;
- céréales : 750.000 t de maïs et 250.000 t de blé tendre, en franchise de droit ; 45.000 t de riz, au droit de 15 €/t ;
- maïs doux : 1.000 t (dès la 1ère année), en franchise ;
- amidon : 1.500 t d’amidon de maïs et de manioc (dès le 1ère année), à 50 % du droit NPF, et 600 t de dérivés d’amidon, en franchise.
Sans commentaire.
Bruxelles est prête à tout pour conclure un accord de libre-échange avec le Mercosur

« Nous pensons arriver à conclure les négociations, sinon à la fin de l’année, en début d’année prochaine », a mis en avant le 5 décembre la commissaire européenne au commerce, Cecilia Malmström, alors que l’Union européenne et le Mercosur ont bouclé le 8 décembre une nouvelle session de pourparlers en vue d’un accord de libre-échange. « Il y aura évidemment des rencontres entre les deux parties à Buenos Aires », en marge de la conférence ministérielle de l’OMC, et « peut-être une annonce sur là où nous en sommes ».
Ni responsable, ni coupable
Questionnée sur les réticences en France concernant l’offre au bloc sud-américain de contingents tarifaires d’importation pour des produits tels que le bœuf, la volaille, les céréales ou l’éthanol, elle a répondu : « l’opinion publique française doit regarder l’accord dans son ensemble. C’est au gouvernement français que reviendra la responsabilité de vendre cet accord à ses citoyens ». C’est dit, Bruxelles est droit dans ses bottes et, en somme, ce n’est pas là son affaire. Et comme cela ne semble pas être davantage celle de Paris…
Pour leur part, le 1er décembre, les organisations agricoles de l’UE (Copa-Cogeca) avaient à nouveau jugé « inacceptable que la viande bovine, le sucre et l’éthanol soient inclus dans l’offre d’accès au marché européen ». Elles l’ont dit et répété. Dans le vide manifestement…
L’offre européenne
Lors de la session à Bruxelles du 29 novembre au 8 décembre, l’Union européenne et le Mercosur ont procédé à un nouvel échange d’offres d’accès au marché. Les négociateurs de Bruxelles ont amélioré l’offre faite le 11 mai, mais le bloc sud-américain cherche manifestement à obtenir davantage encore, notamment pour la viande de bœuf.
L’offre européenne révisée - à ce stade - de contingents tarifaires d’importation pour les produits agricoles sensibles - qui pour la plupart seraient ouverts graduellement en six étapes annuelles égales - est la suivante :
- bœuf : 70.000 tonnes équivalent carcasses (tec), dont 35.000 t de viande fraîche, y compris de haute qualité, et 35.000 t de viande congelée pour la transformation, au droit de 7,5 %.
- volaille : 90.000 tec, dont 45.000 sans os, y compris préparations, et 45.000 avec os, au droit de 49,3 €/t ;
- porc : 17.000 tec de viande fraîche, réfrigérée et préparée, au droit de 83 €/t ;
- viande ovine : 3.000 t en franchise ;
- œufs et ovoproduits : 2.400 t à 50 % du droit NPF (Nation la plus favorisée) ;
- produits laitiers : 15.000 t de poudre de lait au droit de 251 €/t (en sept étapes annuelles pour la poudre de lait entier) ; 5.000 t de beurre à 7,5 % du droit NPF ; 20.000 t de fromage (en quatre étapes) libre de droit ;
- miel : 26.000 t, au droit de 8,7 % ;
- rhum : 2.400 t en vrac (équivalent alcool pur), en franchise ;
- éthanol : 600.000 t, dont 400.000 pour l’industrie chimique, avec un droit de 6,40 €/hl pour le produit non dénaturé et de 3,4 €/hl pour le produit dénaturé ;
- sucre : 100.000 t destinées au raffinage, au droit de 98 €/t, et 2.000 autres tonnes (dès la 1ère année), à 50 % du droit normal NPF ;
- céréales : 750.000 t de maïs et 250.000 t de blé tendre, en franchise de droit ; 45.000 t de riz, au droit de 15 €/t ;
- maïs doux : 1.000 t (dès la 1ère année), en franchise ;
- amidon : 1.500 t d’amidon de maïs et de manioc (dès le 1ère année), à 50 % du droit NPF, et 600 t de dérivés d’amidon, en franchise.
Sans commentaire.