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Pac post-2020

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

Bruxelles a rendu public les résultats de sa consultation sur l’avenir de la Pac. Les résultats sont, sans surprise, à l’image des intentions mêmes de la Commission…


 

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

C’est sans surprise. Et c’est aussi le jeu de cet exercice devenu quasi obligatoire au nom des soi-disant "transparence" et "démocratie". Les résultats de la consultation européenne sur l’avenir de la Pac post-2020 montrent d’un côté que les agriculteurs attendent plus de sécurité, un allégement des contraintes administratives et des opportunités de marché et, de l’autre, que les citoyens - du moins ceux qui y ont participé à la consultation (et on sait que les ONG se sont massivement mobilisées, notamment en Allemagne) - souhaitent que la Pac fasse davantage encore pour l’environnement et le climat. Un résumé a été présenté aux ministres de l’agriculture des Vingt-huit lesquels ont aussi discuté de deux points d’actualité autour de la Pac : son financement futur et sa simplification à court terme (verdissement, proposition "omnibus").

Pour le commissaire européen à l’Agriculture, Phil Hogan, cette consultation confirme, selon lui, la nécessité de faire davantage dans les domaines de l’environnement ; il note à ce sujet que les deux tiers des agriculteurs seraient prêts à faire plus en la matière. Le commissaire évoque aussi la simplification de la législation, des investissements en milieu rural, et l’attente d’une production alimentaire de qualité. A croire sur ce dernier point que ce ne serait pas le cas… Faut-il rappeler, par exemple, que le niveau d’exigence de l’Union européenne et en particulier de la France sont d’être ceux demandé pour les importations sans droit de douane concédés dans les accords de libre-échange avec les uns ou les autres ?

Déjà, se sentant renforcé dans ses convictions, le commissaire européen propose quelques pistes de réflexion : « passer d’une politique de la conformité à une orientation sur les résultats » et accorder plus de « subsidiarité aux États membres ». Bref, rien de très nouveau en fin de compte. Et la communication sur l’avenir de la Pac, prévue pour la fin d’année, ainsi que les propositions législatives qui suivront en 2018, seront-elles, elles aussi, sans surprise ? C’est plus que probable…

 

 

 

 

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

C’est sans surprise. Et c’est aussi le jeu de cet exercice devenu quasi obligatoire au nom des soi-disant "transparence" et "démocratie". Les résultats de la consultation européenne sur l’avenir de la Pac post-2020 montrent d’un côté que les agriculteurs attendent plus de sécurité, un allégement des contraintes administratives et des opportunités de marché et, de l’autre, que les citoyens - du moins ceux qui y ont participé à la consultation (et on sait que les ONG se sont massivement mobilisées, notamment en Allemagne) - souhaitent que la Pac fasse davantage encore pour l’environnement et le climat. Un résumé a été présenté aux ministres de l’agriculture des Vingt-huit lesquels ont aussi discuté de deux points d’actualité autour de la Pac : son financement futur et sa simplification à court terme (verdissement, proposition "omnibus").

Pour le commissaire européen à l’Agriculture, Phil Hogan, cette consultation confirme, selon lui, la nécessité de faire davantage dans les domaines de l’environnement ; il note à ce sujet que les deux tiers des agriculteurs seraient prêts à faire plus en la matière. Le commissaire évoque aussi la simplification de la législation, des investissements en milieu rural, et l’attente d’une production alimentaire de qualité. A croire sur ce dernier point que ce ne serait pas le cas… Faut-il rappeler, par exemple, que le niveau d’exigence de l’Union européenne et en particulier de la France sont d’être ceux demandé pour les importations sans droit de douane concédés dans les accords de libre-échange avec les uns ou les autres ?

Déjà, se sentant renforcé dans ses convictions, le commissaire européen propose quelques pistes de réflexion : « passer d’une politique de la conformité à une orientation sur les résultats » et accorder plus de « subsidiarité aux États membres ». Bref, rien de très nouveau en fin de compte. Et la communication sur l’avenir de la Pac, prévue pour la fin d’année, ainsi que les propositions législatives qui suivront en 2018, seront-elles, elles aussi, sans surprise ? C’est plus que probable…

 

 

 

 

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

C’est sans surprise. Et c’est aussi le jeu de cet exercice devenu quasi obligatoire au nom des soi-disant "transparence" et "démocratie". Les résultats de la consultation européenne sur l’avenir de la Pac post-2020 montrent d’un côté que les agriculteurs attendent plus de sécurité, un allégement des contraintes administratives et des opportunités de marché et, de l’autre, que les citoyens - du moins ceux qui y ont participé à la consultation (et on sait que les ONG se sont massivement mobilisées, notamment en Allemagne) - souhaitent que la Pac fasse davantage encore pour l’environnement et le climat. Un résumé a été présenté aux ministres de l’agriculture des Vingt-huit lesquels ont aussi discuté de deux points d’actualité autour de la Pac : son financement futur et sa simplification à court terme (verdissement, proposition "omnibus").

Pour le commissaire européen à l’Agriculture, Phil Hogan, cette consultation confirme, selon lui, la nécessité de faire davantage dans les domaines de l’environnement ; il note à ce sujet que les deux tiers des agriculteurs seraient prêts à faire plus en la matière. Le commissaire évoque aussi la simplification de la législation, des investissements en milieu rural, et l’attente d’une production alimentaire de qualité. A croire sur ce dernier point que ce ne serait pas le cas… Faut-il rappeler, par exemple, que le niveau d’exigence de l’Union européenne et en particulier de la France sont d’être ceux demandé pour les importations sans droit de douane concédés dans les accords de libre-échange avec les uns ou les autres ?

Déjà, se sentant renforcé dans ses convictions, le commissaire européen propose quelques pistes de réflexion : « passer d’une politique de la conformité à une orientation sur les résultats » et accorder plus de « subsidiarité aux États membres ». Bref, rien de très nouveau en fin de compte. Et la communication sur l’avenir de la Pac, prévue pour la fin d’année, ainsi que les propositions législatives qui suivront en 2018, seront-elles, elles aussi, sans surprise ? C’est plus que probable…

 

 

 

 

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

Bruxelles vient de publier les résultats de sa consultation sur l'avenir de la Pac...

C’est sans surprise. Et c’est aussi le jeu de cet exercice devenu quasi obligatoire au nom des soi-disant "transparence" et "démocratie". Les résultats de la consultation européenne sur l’avenir de la Pac post-2020 montrent d’un côté que les agriculteurs attendent plus de sécurité, un allégement des contraintes administratives et des opportunités de marché et, de l’autre, que les citoyens - du moins ceux qui y ont participé à la consultation (et on sait que les ONG se sont massivement mobilisées, notamment en Allemagne) - souhaitent que la Pac fasse davantage encore pour l’environnement et le climat. Un résumé a été présenté aux ministres de l’agriculture des Vingt-huit lesquels ont aussi discuté de deux points d’actualité autour de la Pac : son financement futur et sa simplification à court terme (verdissement, proposition "omnibus").

Pour le commissaire européen à l’Agriculture, Phil Hogan, cette consultation confirme, selon lui, la nécessité de faire davantage dans les domaines de l’environnement ; il note à ce sujet que les deux tiers des agriculteurs seraient prêts à faire plus en la matière. Le commissaire évoque aussi la simplification de la législation, des investissements en milieu rural, et l’attente d’une production alimentaire de qualité. A croire sur ce dernier point que ce ne serait pas le cas… Faut-il rappeler, par exemple, que le niveau d’exigence de l’Union européenne et en particulier de la France sont d’être ceux demandé pour les importations sans droit de douane concédés dans les accords de libre-échange avec les uns ou les autres ?

Déjà, se sentant renforcé dans ses convictions, le commissaire européen propose quelques pistes de réflexion : « passer d’une politique de la conformité à une orientation sur les résultats » et accorder plus de « subsidiarité aux États membres ». Bref, rien de très nouveau en fin de compte. Et la communication sur l’avenir de la Pac, prévue pour la fin d’année, ainsi que les propositions législatives qui suivront en 2018, seront-elles, elles aussi, sans surprise ? C’est plus que probable…