L’auberge du Cœur des Hommes à La Boulaye
Convivialité et partage
De son passé de rugbyman, Didier Maillard a gardé en lui une vraie notion de convivialité et d’amitié. Une chaleur humaine que l’on retrouve dans sa cuisine à la fois simple et généreuse.
S’il a effectué ses débuts dans la restauration en 1984, Didier Maillard a pris entre temps quelques chemins de traverse avant de revenir à ses premiers amours. Après avoir été pompier, vice-champion de France de free fight et joueur de rugby de haut niveau, cet ancien talonneur est devenu le pilier de l’Auberge du Cœur des Hommes. C’est à La Boulaye qu’il a décidé de poser ses valises en 2011. « Pourquoi Cœur des Hommes ? me demande-t-on souvent. C’est comme dans le film qui porte le même nom, je n’imagine pas ma vie sans mes amis. Dans mon métier de chef, l’essentiel est la convivialité et le partage. Du savoir-faire, de l’amour de la région et du respect des bons produits ».
Un copieux menu du jour
A partir de là, Didier Maillard, aidé en salle par Stéphan Gueguen, fait en sorte que chaque personne qui franchit le pas de la porte de son établissement soit accueilli avec le sourire et la bonne humeur. Ami de longue date ou touriste de passage, pour prendre l’apéritif entre copains ou pour savourer quelques plats régionaux, Didier Maillard ne mise pas sur le superflu et le tape-à-l’œil mais entend privilégier l’essentiel : le goût. Avec, par exemple, le copieux menu du jour à seulement 14 €. Se fournissant notamment auprès d’un maraîcher et d’un producteur de fromages locaux, il peut faire découvrir quelques saveurs traditionnelles du coin. En entrée, on peut se laisser tenter par le tartare de saumon, les terrines maison ou la salade de l’auberge. Avant, ensuite, de goûter à la tête de veau, aux œufs en meurette et à un excellent filet mignon d’une grande tendreté accompagné d’un généreux et goûteux gratin dauphinois à sa manière. Enfin, côté desserts, il y a le choix avec, entre autres, une tarte de saison ou de très bonnes crêpes maison avec un peu de confiture et de chantilly. En toute logique, la carte des vins mise sur des produits du département. On pense, en blancs, aux Givry, Montagny, Saint-Véran et Mâcon village. Il en est de même pour les rouges avec Givry, Rully, Mercurey ainsi que Mâcon La Roche Vineuse.
La Boulaye. Fermé mercredi soir et dimanche (sauf en juillet et en août). Tél. : 03 85 58 95 20.
Un copieux menu du jour
A partir de là, Didier Maillard, aidé en salle par Stéphan Gueguen, fait en sorte que chaque personne qui franchit le pas de la porte de son établissement soit accueilli avec le sourire et la bonne humeur. Ami de longue date ou touriste de passage, pour prendre l’apéritif entre copains ou pour savourer quelques plats régionaux, Didier Maillard ne mise pas sur le superflu et le tape-à-l’œil mais entend privilégier l’essentiel : le goût. Avec, par exemple, le copieux menu du jour à seulement 14 €. Se fournissant notamment auprès d’un maraîcher et d’un producteur de fromages locaux, il peut faire découvrir quelques saveurs traditionnelles du coin. En entrée, on peut se laisser tenter par le tartare de saumon, les terrines maison ou la salade de l’auberge. Avant, ensuite, de goûter à la tête de veau, aux œufs en meurette et à un excellent filet mignon d’une grande tendreté accompagné d’un généreux et goûteux gratin dauphinois à sa manière. Enfin, côté desserts, il y a le choix avec, entre autres, une tarte de saison ou de très bonnes crêpes maison avec un peu de confiture et de chantilly. En toute logique, la carte des vins mise sur des produits du département. On pense, en blancs, aux Givry, Montagny, Saint-Véran et Mâcon village. Il en est de même pour les rouges avec Givry, Rully, Mercurey ainsi que Mâcon La Roche Vineuse.
La Boulaye. Fermé mercredi soir et dimanche (sauf en juillet et en août). Tél. : 03 85 58 95 20.