Sanitaire
La FCO et la MHE continuent de progresser et de nouvelles zones sont touchées.
La FCO et la MHE continuent de progresser et de nouvelles zones sont touchées.
Grâce à la mobilisation syndicale et l’action déterminée des parlementaires européens, les élevages bovins restent exclus du champ d’application de la directive sur les émissions industrielles. La FNSEA et la Coopération agricole dénoncent toutefois les nouveaux seuils retenus pour les porcs et les volailles.
Le premier cas d’influenza aviaire en élevage a été confirmé le 28 novembre, dans le Morbihan sur des dindes. Dans la foulée, le ministère de l’Agriculture a relevé le niveau de risque à « modéré », entraînant la mise à l’abri des volailles dans les zones à risque.
L’accord de libre-échange avec la Nouvelle Zélande a été largement approuvé par le parlement européen.
En 2020, pour la première fois, les salariés sont devenus plus nombreux que les exploitants dans les élevages de porcs, selon les chiffres d’Agreste.
Face à la décapitalisation et aux difficultés d’installation, la FNP (éleveurs de porcs, FNSEA) a chiffré les besoins d’investissement à « plusieurs milliards d’euros » pour relancer la production.
Chargé de réfléchir aux conditions qui permettraient de réconcilier la société française et les activités d’élevage, le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) recommande l’ouverture d’un débat national mais il l’assortit de conditions préalables.
Cet automne, la conjoncture favorable du prix du lait de vache inciterait les producteurs de lait à conserver leurs vaches pour produire et vendre plus de lait d’ici la fin de l’année.
En visite dans un élevage touché par la maladie hémorragique épizootique (MHE) le 2 novembre, le ministre de l’Agriculture a confirmé que l’État indemnisera les producteurs. Trop de questions demeurent sans réponse, estiment les associations spécialisées bovines de la FNSEA (FNB, FNPL).
La Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL) est déterminée à faire en sorte que les prix à la production ne baissent pas en 2024, en raison de l’augmentation des coûts de production et de l’impératif du renouvellement des générations. Interview de Thierry Roquefeuil, président de la FNPL.
La consommation de lait bio a baissé de 23 % par rapport à 2019. La collecte de lait diminue bien plus modérément (- 3,8 % sur un an). Aussi, 40 % du lait livré est déclassé.
Moins d’un an après son arrivée sur le Vieux continent, la maladie hémorragique épizootique (MHE) a conquis cinq pays et surprend par des effets sur les bovins plus graves qu’attendu. Après son apparition dans les Pyrénées françaises le 18 septembre, le manque de recul sur cette maladie complique le dispositif de lutte, tandis que les éleveurs réclament un accompagnement économique.
Moins d’un an après son arrivée sur le Vieux continent, la maladie hémorragique épizootique (MHE) a conquis cinq pays et surprend par des effets sur les bovins plus graves qu’attendu. Après son apparition dans les Pyrénées françaises le 18 septembre, le manque de recul sur cette maladie complique le dispositif de lutte, tandis que les éleveurs réclament un accompagnement économique.
Après une récolte 2022 historiquement basse, les résultats de la campagne 2023 s’annoncent très bons, selon l’AGPM. Mais face à l’annonce de la hausse de deux redevances (eau, pesticides), et la baisse progressive des surfaces de maïs en France, le syndicat en appelle au gouvernement pour pérenniser la production.
La collecte française de lait de vache continue son érosion, selon les données de France AgriMer et de l’Idele. Sur les sept premiers mois de l’année 2023, la collecte connaît un recul de 2,3 %.
Comme la fabrication et la consommation de fromages de chèvre baissent, les importations françaises de lait diminuent. La filière laitière se concentre sur le lait collecté en France.
La première campagne de vaccination des canards contre l’influenza aviaire hautement pathogène a démarré en France.