Commercialisation de la viande
Des bovins nourris… au vin
Entrée, plat, dessert, 1 litre de vin compris : voilà presque le menu
privilégié dont bénéficient, depuis quelques mois, certains bovins
bienheureux…
privilégié dont bénéficient, depuis quelques mois, certains bovins
bienheureux…
Le viticulteur languedocien à l’origine de cette idée saugrenue, Jean-Claude Tastavy, s’est tout simplement inspiré du bœuf de Kobé (bœuf japonais élevé à la bière et massé au saké) et de deux expériences similaires menées au Canada (dans la vallée de l’Okanagan) et en Espagne (Patxi Garmendia).
Et les résultats seraient là !
Des bovidés pas avinés !
Rassurez-vous : ce nouvel apport « alcoolisé » pour les bœufs a été consciencieusement mesuré et fondé sur les normes de l’OMS (transposées au poids d’un animal).
Au sein d’une association créée pour l’occasion, le viticulteur a d’abord nourri ses bovins avec un mélange d’orge, de foin, d’eau … et de marc de raisin.
Puis, l’expérience a franchi un second pas en remplaçant le marc par 2L de vin.
Moins de stress, plus de tendresse !
L’objectif de ce mariage gastronomique inattendu pour des herbivores ?
rendre la bête plus heureuse (car un animal heureux et moins stressé donnerait de la viande de meilleure qualité)
et apporter une nouvelle saveur, très goûteuse, à la viande.
Une expérience jugée concluante (la viande caramélise à la cuisson et fond sur les papilles en une note persillée), mais qui a cependant un coût : le kilo de viande revient à environ 100 € pour les meilleurs morceaux. Par ailleurs, la nourriture doit être consommée dans les 4 mois qui suivent.
La marque « VinBovin » est déjà déposée par les syndicats agricoles FDSEA et Jeunes agriculteurs, par la fédération des caves coopératives, ainsi que par les Vignerons indépendants et le syndicat des éleveurs.
Les éthylotests vont-ils bientôt devenir obligatoires pour les charmants bovins qui déambulent le long de nos routes ?…
Et les résultats seraient là !
Des bovidés pas avinés !
Rassurez-vous : ce nouvel apport « alcoolisé » pour les bœufs a été consciencieusement mesuré et fondé sur les normes de l’OMS (transposées au poids d’un animal).
Au sein d’une association créée pour l’occasion, le viticulteur a d’abord nourri ses bovins avec un mélange d’orge, de foin, d’eau … et de marc de raisin.
Puis, l’expérience a franchi un second pas en remplaçant le marc par 2L de vin.
Moins de stress, plus de tendresse !
L’objectif de ce mariage gastronomique inattendu pour des herbivores ?
rendre la bête plus heureuse (car un animal heureux et moins stressé donnerait de la viande de meilleure qualité)
et apporter une nouvelle saveur, très goûteuse, à la viande.
Une expérience jugée concluante (la viande caramélise à la cuisson et fond sur les papilles en une note persillée), mais qui a cependant un coût : le kilo de viande revient à environ 100 € pour les meilleurs morceaux. Par ailleurs, la nourriture doit être consommée dans les 4 mois qui suivent.
La marque « VinBovin » est déjà déposée par les syndicats agricoles FDSEA et Jeunes agriculteurs, par la fédération des caves coopératives, ainsi que par les Vignerons indépendants et le syndicat des éleveurs.
Les éthylotests vont-ils bientôt devenir obligatoires pour les charmants bovins qui déambulent le long de nos routes ?…