Charolais Expansion
Direction l’Ukraine !
Vingt-six génisses et deux taureaux charolais inscrits viennent de
partir depuis la ferme du Marault à Magny-Cours pour l'Ukraine via
Charolais Expansion. Précisions.
partir depuis la ferme du Marault à Magny-Cours pour l'Ukraine via
Charolais Expansion. Précisions.
A l’issue d’un mois de quarantaine sur le site du Marault, vingt-six génisses et deux taureaux sont arrivés à destination d’une des plus belles fermes privées d'élevage d’Ukraine (1.000 vaches laitières, 1.500 truies naisseur-engraisseur).
Après plusieurs visites en France et en Ukraine, les clients ont fait confiance au Herd-book charolais (HBC) et à Charolais Expansion pour choisir les animaux les plus adaptés à l'environnement d'accueil. Le client ukrainien, accompagné d'un vétérinaire, est ensuite venu voir les animaux en cours de quarantaine. Il est en effet essentiel de rappeler que dans ce type de projet, l’accompagnement pré et post export sont des phases essentielles pour garantir le succès d’une opération. Un fils d'éleveur charolais salarié du HBC et futur ingénieur agronome, Pierre-Marie Leroy, s’est quant à lui rendu en Ukraine le 30 mai pour deux mois afin d'anticiper l'arrivée des cinq cents à mille femelles charolaises que le client souhaiterait importer dans les prochains mois.
En effet, comme pour la Russie, il y a quelques années, ce genre de contrat nécessite, en plus de l'envoi de génétique adaptée à un système extensif, une formation et un transfert de compétences incontournables envers des gens qui ne connaissent pas l'élevage allaitant, ni la race charolaise. Il en va de la crédibilité de nos éleveurs et de nos structures raciales françaises dont l'ambition dépasse largement un coup de commerce qui en cas d'échec pourrait être contre-productif ou sans lendemain !
Après plusieurs visites en France et en Ukraine, les clients ont fait confiance au Herd-book charolais (HBC) et à Charolais Expansion pour choisir les animaux les plus adaptés à l'environnement d'accueil. Le client ukrainien, accompagné d'un vétérinaire, est ensuite venu voir les animaux en cours de quarantaine. Il est en effet essentiel de rappeler que dans ce type de projet, l’accompagnement pré et post export sont des phases essentielles pour garantir le succès d’une opération. Un fils d'éleveur charolais salarié du HBC et futur ingénieur agronome, Pierre-Marie Leroy, s’est quant à lui rendu en Ukraine le 30 mai pour deux mois afin d'anticiper l'arrivée des cinq cents à mille femelles charolaises que le client souhaiterait importer dans les prochains mois.
En effet, comme pour la Russie, il y a quelques années, ce genre de contrat nécessite, en plus de l'envoi de génétique adaptée à un système extensif, une formation et un transfert de compétences incontournables envers des gens qui ne connaissent pas l'élevage allaitant, ni la race charolaise. Il en va de la crédibilité de nos éleveurs et de nos structures raciales françaises dont l'ambition dépasse largement un coup de commerce qui en cas d'échec pourrait être contre-productif ou sans lendemain !