EARL des Oliviers : le niveau génétique attire les acheteurs
A Paray-le-Monial, Eric Bonnot conduit un troupeau de 80 charolaises inséminées à 100%. Fidèle aux portes ouvertes organisées avec son groupement Charolais Horizon, Eric Bonnot valorise ainsi son très bon niveau génétique auprès d’éleveurs exigeants.

L’EARL des Oliviers est l’exploitation d’Eric Bonnot à Paray-le-Monial. Elle est constituée d’un troupeau charolais de 80 vêlages sur une surface de 140 hectares dont 70 de grandes cultures. Excepté quelques reproducteurs, toute la production est engraissée et l’élevage met en place une cinquantaine de broutards supplémentaires qu’il finit avec ses propres mâles.
La famille Bonnot soigne la génétique de son cheptel depuis trois générations. L’insémination artificielle a été généralisée depuis dix ans. Tandis qu’Eric améliorait son cheptel avec des semences de taureaux testés, l’élevage s’est mis au contrôle de performances puis à l’inscription. Ce fut une véritable motivation pour l’éleveur passionné de technique qui s’est mis à rechercher de meilleures performances en lait, conditions de vêlage, etc…
Vêlages faciles et kilos produits
Aujourd’hui, les vêlages qui chez Eric sont groupés entre le 1er septembre et le 15 novembre, « se font presque tout seul, sans vétérinaire », se félicite l’éleveur. Des vêlages faciles qui n’empêchent pas de valoriser des kilos de viande. Le poids moyen de carcasse des réformes atteint ici 520 kg ! Eric prépare d’ailleurs une femelle exceptionnelle pour le prochain Festival qui devrait dépasser les 700 kilos de viande et ce avec une conformation hors du commun !
Dans ce cheptel à fort potentiel génétique, les croissances sont élevées. Eric le constate avec ses babys en relevant une nette différence entre les mâles issus de sa propre génétique et ceux qui lui sont confiés par le groupement.
Bien indexé, le troupeau affiche un IVMAT moyen de 107, un ISEVR de 104, un AVel de 109, un ALait de 105 et un intervalle vêlage vêlage de 370 jours.
Une saine émulation
Cette année, l’EARL des Oliviers participait pour la sixième fois aux portes ouvertes organisées avec Charolais Horizon. Adhérent au groupe reproducteurs de la coopérative, Eric Bonnot bénéficie ainsi du soutien de son groupement en termes de communication et d’animation. « Notre groupe marche bien. On se concerte entre éleveurs du secteur sur nos animaux, sur la communication… Il y a une bonne émulation », confie Eric Bonnot qui reconnait manquer de temps pour s’impliquer dans la vente de ses animaux reproducteurs. Chaque année, il reçoit une dizaine de clients lors de la porte ouverte. Des gens qui viennent de plus en plus loin, attiré par le bon niveau génétique du troupeau. Certains reviennent s’approvisionner tous les ans. D’autres ont connu l’élevage à travers le système de détection des chaleurs Vigirepro dont Eric Bonnot était le tout premier équipé au niveau national.
EARL des Oliviers : le niveau génétique attire les acheteurs

L’EARL des Oliviers est l’exploitation d’Eric Bonnot à Paray-le-Monial. Elle est constituée d’un troupeau charolais de 80 vêlages sur une surface de 140 hectares dont 70 de grandes cultures. Excepté quelques reproducteurs, toute la production est engraissée et l’élevage met en place une cinquantaine de broutards supplémentaires qu’il finit avec ses propres mâles.
La famille Bonnot soigne la génétique de son cheptel depuis trois générations. L’insémination artificielle a été généralisée depuis dix ans. Tandis qu’Eric améliorait son cheptel avec des semences de taureaux testés, l’élevage s’est mis au contrôle de performances puis à l’inscription. Ce fut une véritable motivation pour l’éleveur passionné de technique qui s’est mis à rechercher de meilleures performances en lait, conditions de vêlage, etc…
Vêlages faciles et kilos produits
Aujourd’hui, les vêlages qui chez Eric sont groupés entre le 1er septembre et le 15 novembre, « se font presque tout seul, sans vétérinaire », se félicite l’éleveur. Des vêlages faciles qui n’empêchent pas de valoriser des kilos de viande. Le poids moyen de carcasse des réformes atteint ici 520 kg ! Eric prépare d’ailleurs une femelle exceptionnelle pour le prochain Festival qui devrait dépasser les 700 kilos de viande et ce avec une conformation hors du commun !
Dans ce cheptel à fort potentiel génétique, les croissances sont élevées. Eric le constate avec ses babys en relevant une nette différence entre les mâles issus de sa propre génétique et ceux qui lui sont confiés par le groupement.
Bien indexé, le troupeau affiche un IVMAT moyen de 107, un ISEVR de 104, un AVel de 109, un ALait de 105 et un intervalle vêlage vêlage de 370 jours.
Une saine émulation
Cette année, l’EARL des Oliviers participait pour la sixième fois aux portes ouvertes organisées avec Charolais Horizon. Adhérent au groupe reproducteurs de la coopérative, Eric Bonnot bénéficie ainsi du soutien de son groupement en termes de communication et d’animation. « Notre groupe marche bien. On se concerte entre éleveurs du secteur sur nos animaux, sur la communication… Il y a une bonne émulation », confie Eric Bonnot qui reconnait manquer de temps pour s’impliquer dans la vente de ses animaux reproducteurs. Chaque année, il reçoit une dizaine de clients lors de la porte ouverte. Des gens qui viennent de plus en plus loin, attiré par le bon niveau génétique du troupeau. Certains reviennent s’approvisionner tous les ans. D’autres ont connu l’élevage à travers le système de détection des chaleurs Vigirepro dont Eric Bonnot était le tout premier équipé au niveau national.
EARL des Oliviers : le niveau génétique attire les acheteurs

L’EARL des Oliviers est l’exploitation d’Eric Bonnot à Paray-le-Monial. Elle est constituée d’un troupeau charolais de 80 vêlages sur une surface de 140 hectares dont 70 de grandes cultures. Excepté quelques reproducteurs, toute la production est engraissée et l’élevage met en place une cinquantaine de broutards supplémentaires qu’il finit avec ses propres mâles.
La famille Bonnot soigne la génétique de son cheptel depuis trois générations. L’insémination artificielle a été généralisée depuis dix ans. Tandis qu’Eric améliorait son cheptel avec des semences de taureaux testés, l’élevage s’est mis au contrôle de performances puis à l’inscription. Ce fut une véritable motivation pour l’éleveur passionné de technique qui s’est mis à rechercher de meilleures performances en lait, conditions de vêlage, etc…
Vêlages faciles et kilos produits
Aujourd’hui, les vêlages qui chez Eric sont groupés entre le 1er septembre et le 15 novembre, « se font presque tout seul, sans vétérinaire », se félicite l’éleveur. Des vêlages faciles qui n’empêchent pas de valoriser des kilos de viande. Le poids moyen de carcasse des réformes atteint ici 520 kg ! Eric prépare d’ailleurs une femelle exceptionnelle pour le prochain Festival qui devrait dépasser les 700 kilos de viande et ce avec une conformation hors du commun !
Dans ce cheptel à fort potentiel génétique, les croissances sont élevées. Eric le constate avec ses babys en relevant une nette différence entre les mâles issus de sa propre génétique et ceux qui lui sont confiés par le groupement.
Bien indexé, le troupeau affiche un IVMAT moyen de 107, un ISEVR de 104, un AVel de 109, un ALait de 105 et un intervalle vêlage vêlage de 370 jours.
Une saine émulation
Cette année, l’EARL des Oliviers participait pour la sixième fois aux portes ouvertes organisées avec Charolais Horizon. Adhérent au groupe reproducteurs de la coopérative, Eric Bonnot bénéficie ainsi du soutien de son groupement en termes de communication et d’animation. « Notre groupe marche bien. On se concerte entre éleveurs du secteur sur nos animaux, sur la communication… Il y a une bonne émulation », confie Eric Bonnot qui reconnait manquer de temps pour s’impliquer dans la vente de ses animaux reproducteurs. Chaque année, il reçoit une dizaine de clients lors de la porte ouverte. Des gens qui viennent de plus en plus loin, attiré par le bon niveau génétique du troupeau. Certains reviennent s’approvisionner tous les ans. D’autres ont connu l’élevage à travers le système de détection des chaleurs Vigirepro dont Eric Bonnot était le tout premier équipé au niveau national.