Jeu Pokemon Go
Embouteillage de Pikachu
Cela va certainement prêter à plaisanterie les plus anciens mais des - gentils - monstres
ont depuis une semaine envahi les vignes de Bourgogne... Heureusement,
ils ne sont pas porteurs d’une nouvelle maladie ou d'un parasite, il s’agit en réalité du
dernier jeu Pokemon, qui a connu un succès planétaire milieu fin des années 90.
Avec ce nouveau jeu en réalité virtuelle sur Smartphones, des millions
de joueurs de Pokemon Go s’adonnent à la chasse aux Pikachu, Carapuce et
autres Bulbizarre. Et les conséquences et retombées économiques sont bien réelles !
ont depuis une semaine envahi les vignes de Bourgogne... Heureusement,
ils ne sont pas porteurs d’une nouvelle maladie ou d'un parasite, il s’agit en réalité du
dernier jeu Pokemon, qui a connu un succès planétaire milieu fin des années 90.
Avec ce nouveau jeu en réalité virtuelle sur Smartphones, des millions
de joueurs de Pokemon Go s’adonnent à la chasse aux Pikachu, Carapuce et
autres Bulbizarre. Et les conséquences et retombées économiques sont bien réelles !
L'engouement tellement inouï que l’action Nintendo –pourtant détenteur de parts minoritaires de Niantic, l’éditeur du jeu– a vu sa cotation en bourse bondir de +71 %, en battant un record de 476 milliards de yens échangés en une seule journée, soit environ 4,5 milliards de dollars !
Si le jeu s’installe gratuitement sur les Smartphones sous Androïd (Google) et iOS (Apple), son modèle économique pourrait bien intéresser les annonceurs. En effet, le directeur général de Niantic, John Hanke a expliqué au Financial Times qu'il envisageait sous peu de proposer aux annonceurs de sponsoriser des lieux sur la carte virtuelle : les PokéStops et les PokéGyms (arènes de combats), en échange d'une rémunération au coût par visite. En quelque sorte, payer pour être référencé pour que son entreprise, par exemple un caveau, soit visité par les joueurs...
A New-York, une pizzeria de Long Island, Inizio Pizza, a vu ainsi son chiffre d’affaires bondir de +75 % car, à proximité, se trouvait justement un Pokéstop où les joueurs sont invités à débusquer des objets virtuels pour jouer.
L’interprofession des vins de Bourgogne a bien compris le potentiel œnotouristique d’un nouveau genre, basé sur la gamification, en invitant sur les réseaux sociaux les joueurs à venir chasser les Pokemons dans les vignes de Bourgogne. De nouvelles façons aussi de se balader dans le vignoble et de permettre après des achats de vins... Car, qui sait, peut-être que votre chai est également susceptible d’en héberger aussi...
Si le jeu s’installe gratuitement sur les Smartphones sous Androïd (Google) et iOS (Apple), son modèle économique pourrait bien intéresser les annonceurs. En effet, le directeur général de Niantic, John Hanke a expliqué au Financial Times qu'il envisageait sous peu de proposer aux annonceurs de sponsoriser des lieux sur la carte virtuelle : les PokéStops et les PokéGyms (arènes de combats), en échange d'une rémunération au coût par visite. En quelque sorte, payer pour être référencé pour que son entreprise, par exemple un caveau, soit visité par les joueurs...
A New-York, une pizzeria de Long Island, Inizio Pizza, a vu ainsi son chiffre d’affaires bondir de +75 % car, à proximité, se trouvait justement un Pokéstop où les joueurs sont invités à débusquer des objets virtuels pour jouer.
L’interprofession des vins de Bourgogne a bien compris le potentiel œnotouristique d’un nouveau genre, basé sur la gamification, en invitant sur les réseaux sociaux les joueurs à venir chasser les Pokemons dans les vignes de Bourgogne. De nouvelles façons aussi de se balader dans le vignoble et de permettre après des achats de vins... Car, qui sait, peut-être que votre chai est également susceptible d’en héberger aussi...
