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Coopérative agricole Mâconnais Beaujolais

En ce début d'année, la CAMB lance un nouveau pôle d’activité : un pôle Services

En ce début d’année, la Coopérative agricole Mâconnais Beaujolais se dit bien déterminée à aller de l’avant. Pour preuve, la récente création de son pôle Services. Rencontre.

En ce début d'année, la CAMB lance un nouveau pôle d’activité : un pôle Services

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la Coopérative agricole Mâconnais Beaujolais (CAMB) fait peu de bruit dans le paysage agricole et viticole départemental. « Peu de bruit certes, mais cela ne signifie pas que nous n’avançons pas », rétorque aussitôt Yves Curty, directeur. Et ce dernier d’en faire la démonstration, insistant sur la dynamique déployée ces dernières années par l’ensemble des équipes.

Il faut en effet rappeler que l’entreprise a été fondée en 1887, ce qui fait de la CAMB la plus ancienne coopérative encore en activité que compte la Saône-et-Loire. À plus de cent-trente ans, l’entreprise est une coopérative d’approvisionnement spécialisée dans les domaines viticoles et agricoles et, comme son nom l’indique, travaille sur les régions mâconnaise et beaujolaise, notamment le vignoble.

Fidèle à ses valeurs

« La CAMB a su au fil du temps rester fidèle à l’esprit coopératif de ses fondateurs et cela jusqu’à aujourd’hui. Cette fidélité n’a pas empêché, loin s’en faut, la coopérative, ses équipes et ses outils à s’adapter aux nouvelles contraintes économiques et réglementaires », avance Yves Curty qui insiste fortement sur les valeurs de la coopérative. « Proximité, réactivité, efficacité et simplicité ! », avance-t-il ainsi, lui qui fait d’ailleurs de ces valeurs « de réels atouts pour l’entreprise » dans le contexte hautement concurrentiel qui est le sien. Et il faut bien dire que la bonne santé économique du vignoble dans son ensemble a incité les uns ou les autres, situés plus au sud ou plus au nord, à s’intéresser au Mâconnais-Beaujolais. La concurrence s’est de fait intensifiée dans le secteur depuis quelques années.

« Nous ne craignons pas cette concurrence », note le directeur qui y voit au contraire une formidable source d’émulations pour ses équipes pour « toujours mieux servir nos adhérents. Nous avons su organiser pour conserver notre indépendance, sans prendre de retard, et en étant à la pointe dans chacun de nos métiers de base que sont le conseil et l’approvisionnement ». C’est ainsi que la coopérative a rejoint, en 2013, Actura, la plus importante centrale d’achats en vigne. « L’appro est un univers compliqué et nous avons fait le choix de ne pas rester seuls, et ainsi de nous appuyer sur les savoir-faire et les compétences d’Actura, qui est une coopérative de négociants à l’origine, mais qui compte plusieurs coopératives agricoles comme la CAMB à son capital ».

Une entreprise solide

En parallèle et depuis plusieurs années, chacune des cinq implantations - Mâcon, Crèches-sur-Saône, Prissé, Fleurie et Saint-Jean-d’Ardières - a fait l’objet de rénovations. Partout, les locaux ont été rénovés, mis aux normes. La coopérative se targue d’être solide, « peu endettée et à même de ristourner la plus grande partie de ses résultats à ses adhérents », poursuit Yves Curty pour qui « les viticulteurs savent pouvoir s’appuyer sur la CAMB, un outil solide qui a fait ses preuves ».

La coopérative n’entend pour autant pas s’endormir sur ses lauriers, loin s’en faut. « Nous travaillons à nous adapter aux évolutions en cours, aux interrogations des viticulteurs. Nous entendons bien les préoccupations des riverains et, au-delà, de la société en général, notamment sur la question phytosanitaire… », avance le directeur. « On écoute, on entend, on s’adapte. Nous avons à la CAMB un rôle pédagogique évident vis-à-vis de nos adhérents, un rôle en matière de communication. Nous sommes peut être une petite coopérative de trente-six personnes, mais nous savons faire tout aussi bien, si ce n’est mieux, que les autres ! ». C’est dit. Yves Curty avance la forte motivation de ses équipes sur le terrain, celle de ses cinq technico-commerciaux, et qui n’a rien à envier à celle des équipes de ses différents concurrents. Il avance aussi la fierté de ses collaborateurs, leur réactivité. « On ne fait pas de bruit, mais cela ne veut pas dire que l’on ne bouge pas… », répète-t-il.

Un tournant…

Pour mieux coller au terrain, la CAMB a ainsi lancé « un nouveau pôle d’activité en ce début d’année, un pôle Services », fait état le directeur. « Nous entendons innover et compléter notre offre de services à nos adhérents pour les accompagner au quotidien en leur apportant des solutions adaptées à leurs besoins et à leurs attentes, et leur permettre de résoudre nombre de problèmes qui, bien souvent, leur pèsent ».

C’est dans ce cadre que David Buiret a rejoint la coopérative en ce début d’année (lire encadré ci-dessous). « Nous sommes confiants et entendons nous donner les moyens en anticipant, en organisant, en portant de nouveaux projets et de nouvelles réflexions. Bref, en nous développant », conclut Yves Curty qui parle de « tournant environnemental » et qui entend à ce titre que la CAMB négocie au mieux ce virage…

En ce début d'année, la CAMB lance un nouveau pôle d’activité : un pôle Services

En ce début d'année, la CAMB lance un nouveau pôle d’activité : un pôle Services

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la Coopérative agricole Mâconnais Beaujolais (CAMB) fait peu de bruit dans le paysage agricole et viticole départemental. « Peu de bruit certes, mais cela ne signifie pas que nous n’avançons pas », rétorque aussitôt Yves Curty, directeur. Et ce dernier d’en faire la démonstration, insistant sur la dynamique déployée ces dernières années par l’ensemble des équipes.

Il faut en effet rappeler que l’entreprise a été fondée en 1887, ce qui fait de la CAMB la plus ancienne coopérative encore en activité que compte la Saône-et-Loire. À plus de cent-trente ans, l’entreprise est une coopérative d’approvisionnement spécialisée dans les domaines viticoles et agricoles et, comme son nom l’indique, travaille sur les régions mâconnaise et beaujolaise, notamment le vignoble.

Fidèle à ses valeurs

« La CAMB a su au fil du temps rester fidèle à l’esprit coopératif de ses fondateurs et cela jusqu’à aujourd’hui. Cette fidélité n’a pas empêché, loin s’en faut, la coopérative, ses équipes et ses outils à s’adapter aux nouvelles contraintes économiques et réglementaires », avance Yves Curty qui insiste fortement sur les valeurs de la coopérative. « Proximité, réactivité, efficacité et simplicité ! », avance-t-il ainsi, lui qui fait d’ailleurs de ces valeurs « de réels atouts pour l’entreprise » dans le contexte hautement concurrentiel qui est le sien. Et il faut bien dire que la bonne santé économique du vignoble dans son ensemble a incité les uns ou les autres, situés plus au sud ou plus au nord, à s’intéresser au Mâconnais-Beaujolais. La concurrence s’est de fait intensifiée dans le secteur depuis quelques années.

« Nous ne craignons pas cette concurrence », note le directeur qui y voit au contraire une formidable source d’émulations pour ses équipes pour « toujours mieux servir nos adhérents. Nous avons su organiser pour conserver notre indépendance, sans prendre de retard, et en étant à la pointe dans chacun de nos métiers de base que sont le conseil et l’approvisionnement ». C’est ainsi que la coopérative a rejoint, en 2013, Actura, la plus importante centrale d’achats en vigne. « L’appro est un univers compliqué et nous avons fait le choix de ne pas rester seuls, et ainsi de nous appuyer sur les savoir-faire et les compétences d’Actura, qui est une coopérative de négociants à l’origine, mais qui compte plusieurs coopératives agricoles comme la CAMB à son capital ».

Une entreprise solide

En parallèle et depuis plusieurs années, chacune des cinq implantations - Mâcon, Crèches-sur-Saône, Prissé, Fleurie et Saint-Jean-d’Ardières - a fait l’objet de rénovations. Partout, les locaux ont été rénovés, mis aux normes. La coopérative se targue d’être solide, « peu endettée et à même de ristourner la plus grande partie de ses résultats à ses adhérents », poursuit Yves Curty pour qui « les viticulteurs savent pouvoir s’appuyer sur la CAMB, un outil solide qui a fait ses preuves ».

La coopérative n’entend pour autant pas s’endormir sur ses lauriers, loin s’en faut. « Nous travaillons à nous adapter aux évolutions en cours, aux interrogations des viticulteurs. Nous entendons bien les préoccupations des riverains et, au-delà, de la société en général, notamment sur la question phytosanitaire… », avance le directeur. « On écoute, on entend, on s’adapte. Nous avons à la CAMB un rôle pédagogique évident vis-à-vis de nos adhérents, un rôle en matière de communication. Nous sommes peut être une petite coopérative de trente-six personnes, mais nous savons faire tout aussi bien, si ce n’est mieux, que les autres ! ». C’est dit. Yves Curty avance la forte motivation de ses équipes sur le terrain, celle de ses cinq technico-commerciaux, et qui n’a rien à envier à celle des équipes de ses différents concurrents. Il avance aussi la fierté de ses collaborateurs, leur réactivité. « On ne fait pas de bruit, mais cela ne veut pas dire que l’on ne bouge pas… », répète-t-il.

Un tournant…

Pour mieux coller au terrain, la CAMB a ainsi lancé « un nouveau pôle d’activité en ce début d’année, un pôle Services », fait état le directeur. « Nous entendons innover et compléter notre offre de services à nos adhérents pour les accompagner au quotidien en leur apportant des solutions adaptées à leurs besoins et à leurs attentes, et leur permettre de résoudre nombre de problèmes qui, bien souvent, leur pèsent ».

C’est dans ce cadre que David Buiret a rejoint la coopérative en ce début d’année (lire encadré ci-dessous). « Nous sommes confiants et entendons nous donner les moyens en anticipant, en organisant, en portant de nouveaux projets et de nouvelles réflexions. Bref, en nous développant », conclut Yves Curty qui parle de « tournant environnemental » et qui entend à ce titre que la CAMB négocie au mieux ce virage…

En ce début d'année, la CAMB lance un nouveau pôle d’activité : un pôle Services

En ce début d'année, la CAMB lance un nouveau pôle d’activité : un pôle Services

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la Coopérative agricole Mâconnais Beaujolais (CAMB) fait peu de bruit dans le paysage agricole et viticole départemental. « Peu de bruit certes, mais cela ne signifie pas que nous n’avançons pas », rétorque aussitôt Yves Curty, directeur. Et ce dernier d’en faire la démonstration, insistant sur la dynamique déployée ces dernières années par l’ensemble des équipes.

Il faut en effet rappeler que l’entreprise a été fondée en 1887, ce qui fait de la CAMB la plus ancienne coopérative encore en activité que compte la Saône-et-Loire. À plus de cent-trente ans, l’entreprise est une coopérative d’approvisionnement spécialisée dans les domaines viticoles et agricoles et, comme son nom l’indique, travaille sur les régions mâconnaise et beaujolaise, notamment le vignoble.

Fidèle à ses valeurs

« La CAMB a su au fil du temps rester fidèle à l’esprit coopératif de ses fondateurs et cela jusqu’à aujourd’hui. Cette fidélité n’a pas empêché, loin s’en faut, la coopérative, ses équipes et ses outils à s’adapter aux nouvelles contraintes économiques et réglementaires », avance Yves Curty qui insiste fortement sur les valeurs de la coopérative. « Proximité, réactivité, efficacité et simplicité ! », avance-t-il ainsi, lui qui fait d’ailleurs de ces valeurs « de réels atouts pour l’entreprise » dans le contexte hautement concurrentiel qui est le sien. Et il faut bien dire que la bonne santé économique du vignoble dans son ensemble a incité les uns ou les autres, situés plus au sud ou plus au nord, à s’intéresser au Mâconnais-Beaujolais. La concurrence s’est de fait intensifiée dans le secteur depuis quelques années.

« Nous ne craignons pas cette concurrence », note le directeur qui y voit au contraire une formidable source d’émulations pour ses équipes pour « toujours mieux servir nos adhérents. Nous avons su organiser pour conserver notre indépendance, sans prendre de retard, et en étant à la pointe dans chacun de nos métiers de base que sont le conseil et l’approvisionnement ». C’est ainsi que la coopérative a rejoint, en 2013, Actura, la plus importante centrale d’achats en vigne. « L’appro est un univers compliqué et nous avons fait le choix de ne pas rester seuls, et ainsi de nous appuyer sur les savoir-faire et les compétences d’Actura, qui est une coopérative de négociants à l’origine, mais qui compte plusieurs coopératives agricoles comme la CAMB à son capital ».

Une entreprise solide

En parallèle et depuis plusieurs années, chacune des cinq implantations - Mâcon, Crèches-sur-Saône, Prissé, Fleurie et Saint-Jean-d’Ardières - a fait l’objet de rénovations. Partout, les locaux ont été rénovés, mis aux normes. La coopérative se targue d’être solide, « peu endettée et à même de ristourner la plus grande partie de ses résultats à ses adhérents », poursuit Yves Curty pour qui « les viticulteurs savent pouvoir s’appuyer sur la CAMB, un outil solide qui a fait ses preuves ».

La coopérative n’entend pour autant pas s’endormir sur ses lauriers, loin s’en faut. « Nous travaillons à nous adapter aux évolutions en cours, aux interrogations des viticulteurs. Nous entendons bien les préoccupations des riverains et, au-delà, de la société en général, notamment sur la question phytosanitaire… », avance le directeur. « On écoute, on entend, on s’adapte. Nous avons à la CAMB un rôle pédagogique évident vis-à-vis de nos adhérents, un rôle en matière de communication. Nous sommes peut être une petite coopérative de trente-six personnes, mais nous savons faire tout aussi bien, si ce n’est mieux, que les autres ! ». C’est dit. Yves Curty avance la forte motivation de ses équipes sur le terrain, celle de ses cinq technico-commerciaux, et qui n’a rien à envier à celle des équipes de ses différents concurrents. Il avance aussi la fierté de ses collaborateurs, leur réactivité. « On ne fait pas de bruit, mais cela ne veut pas dire que l’on ne bouge pas… », répète-t-il.

Un tournant…

Pour mieux coller au terrain, la CAMB a ainsi lancé « un nouveau pôle d’activité en ce début d’année, un pôle Services », fait état le directeur. « Nous entendons innover et compléter notre offre de services à nos adhérents pour les accompagner au quotidien en leur apportant des solutions adaptées à leurs besoins et à leurs attentes, et leur permettre de résoudre nombre de problèmes qui, bien souvent, leur pèsent ».

C’est dans ce cadre que David Buiret a rejoint la coopérative en ce début d’année (lire encadré ci-dessous). « Nous sommes confiants et entendons nous donner les moyens en anticipant, en organisant, en portant de nouveaux projets et de nouvelles réflexions. Bref, en nous développant », conclut Yves Curty qui parle de « tournant environnemental » et qui entend à ce titre que la CAMB négocie au mieux ce virage…