En pole position
Partie de zéro, l’entreprise mâconnaise Ixon est le symbole même de la "success story" symbolisée par un homme : Thierry Maniguet.

Il aura suffit de deux décennies pour faire de l’entreprise l’un des leaders mondiaux dans son domaine. Aujourd’hui, Ixon est devenue l’une des références pour tout amateur de moto, qu’il soit simple biker ou pilote chevronné.
Bon sang ne saurait mentir
A l’orée des années 90, bien peu auraient pu s’imaginer un tel succès lorsqu’ils croisaient Thierry Maniguet. Pourtant, quelques indices auraient pu leur mettre la puce à l’oreille. Ayant des parents gérants d’une entreprise d’articles de fête, Thierry Maniguet a baigné depuis sa plus tendre enfance dans l’univers du commerce et des affaires. La facilité aurait voulu qu’il reprenne l’entreprise familiale, alors numéro deux national. Mais la passion des deux roues en général et de la moto en particulier était la plus forte. Au départ, son souhait était d’être concessionnaire. Néanmoins, il bifurque vers une voie un peu différente en choisissant de vendre des accessoires pour la moto entre clignotants, poignées, protèges bagages... Il décide de créer pour cela Access Equip Motos France (AEMF). Les débuts sont plus qu’encourageants et il prend la décision de passer rapidement à la vitesse supérieure en commercialisant des blousons de moto en cuir. Mais il se heurte à la problématique de devoir distribuer un produit sans réelle référence, ni marque identifiée ou reconnue.
Le pari Ixon
Conscient qu’il y avait un réel créneau à prendre sur un marché par forcément hyper concurrentiel, il fait le pari de créer en 1997, à seulement 24 ans, la marque Ixon. Puis de s’implanter à Mâcon, lui qui évoluait à l’époque du côté de Villefranche-sur-Saône. Loin de se contenter d’être un simple revendeur, il choisit de maîtriser tous les maillons de la fabrication pour être totalement sûr de la qualité de son produit. Il s’associe alors à une entreprise chinoise qui travaille exclusivement pour la marque Ixon. Une collaboration qui allait durer jusqu’en 2014 et le déménagement de l’unité de production au Cambodge. Aujourd’hui, l’entreprise compte quelque 500 salariés dont environ 80 dans l’hexagone.
Cinq univers
En 2018, la gamme Ixon s’articule autour de cinq univers pour hommes et femmes : Racing, Roadster, Adventure, Urban et Heritage. Des combinaisons, des pantalons et des blousons qui jouent la carte du très bon rapport qualité-prix. Ainsi, le tarif des blousons oscille entre 150 et 300 euros. Ce qui explique que la marque soit l’une des plus distribuées dans les réseaux spécialisés. Soucieuse de se diversifier, l’entreprise dispose également de produits transversaux. On pense aussi bien aux gants qu’aux jean’s et autres baskets. Sans oublier les équipements dits secondaires (bagagerie) et des produits à destination d’une clientèle plus spécifique comme les enfants ou des personnes ayant besoin de grandes tailles.
Par ailleurs, afin de répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain, l’entreprise ne cesse de croître avec, en conséquence, un recrutement régulier et important de personnel au sein de sa structure mâconnaise. Une preuve supplémentaire de la bonne santé d’une marque qui met les gaz pour occuper la pole position mondiale.
En pole position

Il aura suffit de deux décennies pour faire de l’entreprise l’un des leaders mondiaux dans son domaine. Aujourd’hui, Ixon est devenue l’une des références pour tout amateur de moto, qu’il soit simple biker ou pilote chevronné.
Bon sang ne saurait mentir
A l’orée des années 90, bien peu auraient pu s’imaginer un tel succès lorsqu’ils croisaient Thierry Maniguet. Pourtant, quelques indices auraient pu leur mettre la puce à l’oreille. Ayant des parents gérants d’une entreprise d’articles de fête, Thierry Maniguet a baigné depuis sa plus tendre enfance dans l’univers du commerce et des affaires. La facilité aurait voulu qu’il reprenne l’entreprise familiale, alors numéro deux national. Mais la passion des deux roues en général et de la moto en particulier était la plus forte. Au départ, son souhait était d’être concessionnaire. Néanmoins, il bifurque vers une voie un peu différente en choisissant de vendre des accessoires pour la moto entre clignotants, poignées, protèges bagages... Il décide de créer pour cela Access Equip Motos France (AEMF). Les débuts sont plus qu’encourageants et il prend la décision de passer rapidement à la vitesse supérieure en commercialisant des blousons de moto en cuir. Mais il se heurte à la problématique de devoir distribuer un produit sans réelle référence, ni marque identifiée ou reconnue.
Le pari Ixon
Conscient qu’il y avait un réel créneau à prendre sur un marché par forcément hyper concurrentiel, il fait le pari de créer en 1997, à seulement 24 ans, la marque Ixon. Puis de s’implanter à Mâcon, lui qui évoluait à l’époque du côté de Villefranche-sur-Saône. Loin de se contenter d’être un simple revendeur, il choisit de maîtriser tous les maillons de la fabrication pour être totalement sûr de la qualité de son produit. Il s’associe alors à une entreprise chinoise qui travaille exclusivement pour la marque Ixon. Une collaboration qui allait durer jusqu’en 2014 et le déménagement de l’unité de production au Cambodge. Aujourd’hui, l’entreprise compte quelque 500 salariés dont environ 80 dans l’hexagone.
Cinq univers
En 2018, la gamme Ixon s’articule autour de cinq univers pour hommes et femmes : Racing, Roadster, Adventure, Urban et Heritage. Des combinaisons, des pantalons et des blousons qui jouent la carte du très bon rapport qualité-prix. Ainsi, le tarif des blousons oscille entre 150 et 300 euros. Ce qui explique que la marque soit l’une des plus distribuées dans les réseaux spécialisés. Soucieuse de se diversifier, l’entreprise dispose également de produits transversaux. On pense aussi bien aux gants qu’aux jean’s et autres baskets. Sans oublier les équipements dits secondaires (bagagerie) et des produits à destination d’une clientèle plus spécifique comme les enfants ou des personnes ayant besoin de grandes tailles.
Par ailleurs, afin de répondre aux défis d’aujourd’hui et de demain, l’entreprise ne cesse de croître avec, en conséquence, un recrutement régulier et important de personnel au sein de sa structure mâconnaise. Une preuve supplémentaire de la bonne santé d’une marque qui met les gaz pour occuper la pole position mondiale.