A savoir
Parce que le développement de la végétation est fortement corrélé aux températures, on utilise la technique de la somme des températures.
Parce que le développement de la végétation est fortement corrélé aux températures, on utilise la technique de la somme des températures.
Le confinement des chevaux et l’arrêt des rassemblements équestres semblent avoir permis de rester maitre de la situation face aux risques de propagation de l’herpèsviroses de type 1 et 4 (HVE1&4), maladie particulièrement contagieuse chez les équidés.
La connaissance du génome bouleverse les méthodes de sélection tant des espèces animales que végétales. Sans parler des microorganismes présents chez l’animal comme chez la plante qui conditionnent l’expression d’un certain nombre de caractères.
Comme si la crise du Covid-19 et ses conséquences économiques ne suffisaient pas, voici que toute la filière équine doit désormais faire face à une crise sanitaire des plus inquiétantes.
Alors que l’examen de notre dossier calamités sécheresse 2020 a eu lieu ce jeudi, l’inquiétude grandissait ces dernières semaines quant à la manière dont le ministère traitera les dossiers de sécheresse sur fourrages. En effet, des signaux inquiétants émanaient du national. FDSEA et JA se sont mobilisés dans cette dernière ligne droite.
C’est une vision plaisante à voir, « une jolie carte postale », celle de moutons pâturant dans les rangs de vignes. Mais qu’en est-il exactement ? Témoignage d’une viticultrice, Céline Robergot-Cienki dont le mari élève des moutons et pour laquelle cette pratique « rend service » à leurs filières respectives.
Le 19 janvier à l'élevage de Chène fruit (Corancy, Nièvre) chez Didier Bouchoux et sa fille Noémie, les élèves de seconde PA du LEGTA du Morvan accompagnés de leurs professeurs Mesdames Blin et Lathuillière ont pu assister à une séance d'ostéopathie sur des chevaux et une laitonne.
Le Gaec La Ferme de Follon (Haute-Savoie) a équipé sa nurserie d’un système de ventilation naturelle par persiennes orientables/volets persiennés. Premier retour d’expérience des éleveurs.
Avec la volonté de favoriser l’ouverture sociale, de diversifier le recrutement et de lutter contre les déserts vétérinaires en zones rurales, le gouvernement a publié, le 5 décembre 2020, un décret précisant l’apparition d’une nouvelle voie d’accès aux écoles nationales vétérinaires. À partir de la rentrée de septembre 2021, 160 élèves, tout justes bacheliers, pourront intégrer l’une des écoles nationales vétérinaires après un recrutement réalisé via Parcoursup.
Simon Pierre est un homme de réseau puisque c’est essentiellement grâce au bouche à oreille que fonctionnent ses quatre activités. Situé à Sommant, à l’extrême nord-ouest du département, il rayonne bien au-delà de l’Autunois. Le jeune éleveur poursuit sa route emmenant avec lui ses chevaux et ses ovins à travers des filières bien différentes mais pour lesquelles le contact avec le client final est très majoritairement réalisé en direct.
Pas évident de se lancer de but en blanc dans le travail du sol de ses parcelles viticoles derrière un cheval. Comme cela existe pour les futurs automobilistes dans les auto-écoles voire, pour les pilotes d’avion dans le cadre de leur formation professionnelle, un simulateur pourrait s’avérer intéressant pour faciliter l’apprentissage des meneurs de chevaux dans les vignes. La chambre d’agriculture de Saône-et-Loire se penche ainsi actuellement sur la pertinence d’un tel équipement, et ce en lien avec une université.
Des "crédits carbone" pour rémunérer les bonnes pratiques des éleveurs. Voici l’objectif que s’est fixée la FDSEA de Saône-et-Loire. En utilisant la méthode Carbon Agri, la profession entend redonner de la compétitivité aux agriculteurs. Mais combien espérer concrètement ? Éléments de réponse.
Après des mois de préparation et un premier report, la journée technique autour du travail des chevaux dans la vigne a pu se tenir le vendredi 16 octobre à l’AgroBio Campus de Davayé. L’occasion de présenter, ou rappeler, les multiples avantages de la traction animale dans le vignoble et les besoins de la filière.
Lors de la cérémonie de rentrée organisée en septembre au lycée militaire d’Autun, des chevaux étaient eux aussi de la fête pour la première fois. Une présence à laquelle il va falloir s’habituer puisque le ministère des armées, via le lycée militaire d’Autun, vient de reprendre la gestion du centre équestre de la ville. Avec un vrai projet à la clé impliquant tout le secteur.
Situé à Château-Chinon, le Legta du Morvan propose une formation professionnelle CGEA avec une spécialité équine. Dans le cadre de cette spécialité et afin de sensibiliser au mieux les élèves sur les risques des accidents liés à la filière équine, une formation a été organisé les 14 et 15 octobre en collaboration avec la MSA.
Les actes de barbarie envers les chevaux (et maintenant les bovins) perdurent dans le département comme ailleurs en France. Au niveau départemental, la gendarmerie, via sa cellule de prévention technique de la malveillance, a prévu quatre réunions d’information à destination des propriétaires d’équidés. La première rencontre a eu lieu lundi 19 octobre au domaine équestre de Laizé. L’occasion de faire (un peu) le point sur les affaires, et surtout de distiller plusieurs conseils.
Installée au cœur du Brionnais, Cécile Boudet dirige depuis bientôt 30 ans sa ferme équestre. Si la passion des chevaux est toujours intacte, la cavalière a surtout su faire preuve de clairvoyance et d’adaptabilité. N’ayant jamais mis les deux pieds dans le même sabot, elle vient de finir l’été et la période de confinement rassurée.
Impossible de communiquer largement et en amont sur le maintien du Chaser Day de Paray-le-Monial, situation sanitaire oblige… Pourtant le rassemblement des éleveurs de chevaux pur-sang et AQPS a bien eu lieu le 5 septembre, pour le plus grand soulagement de nombreux professionnels et des organisateurs. Compte-rendu d’une journée importante pour toute une filière.
Depuis plusieurs semaines, des poneys et des chevaux ont été et sont encore malheureusement retrouvés tués ou mutilés un peu partout en France et notamment en Bourgogne Franche-Comté.
128 chevaux de trait étaient rassemblés pour la finale régionale de Saint-Symphorien-de-Marmagne le 22 août. Ce record de participation est le fruit de la détermination des organisateurs qui ont fait le choix de s’adapter au Covid-19 et de la mobilisation des éleveurs dont certains sont venus de Rhône-Alpes et d’Auvergne.