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Terra Vitis Beaujolais Bourgogne

« Etendre notre notoriété via la communication »

A l’occasion de son assemblée générale qui s’est tenue à Villefranche
vendredi 21 mars, l’association Terra Vitis® Beaujolais Bourgogne a
réitéré son intention d’accentuer sa présence au sein du monde viticole.
Outils promotionnels, internet et médias : tous les moyens sont bons
pour promouvoir la marque.
Par Publié par Cédric Michelin
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Alors que Julien Perras, président de Terra Vitis® Beaujolais Bourgogne prononce son discours d’accueil aux adhérents, les 288 abonnées au compte Twitter de l’association peuvent instantanément lire sur leur smartphone : « En ce moment même, assemblée générale de Terra Vitis® Beaujolais Bourgogne avec pour la première fois, les adhérents du Jura ». Une photo de la tribune est même jointe au court message n’excédant pas 140 caractères.
Comme un bon nombre d’associations ou d’entreprises, Terra Vitis® s’est positionnée sur les réseaux sociaux, Facebook et Twitter notamment. L’utilisation de ces outils internet s’intègre assez logiquement au travail de communication actuellement engagé par l’association. Plus que jamais, elle vise à développer sa notoriété, mais aussi à attirer de nouveaux adhérents. « La présence sur la Toile constitue un atout essentiel », confiait Jean-Henri Soumireu, animateur de la fédération nationale de Terra Vitis®, à l’issue de l’assemblée générale organisée vendredi 21 mars à Villefranche.

Panneaux, affiches et…Twitter



En 2013, Terra Vitis® avait revu sa stratégie de communication. Le nouvel argumentaire (« Terra Vitis® : Plaisir du vin – Terre vivante ») et le choix d’un logo avaient posé les premiers jalons de cette nouvelle trajectoire ambitieuse. La diffusion en masse de nouveaux supports de communication tels que des plaquettes, des affiches ou encore des panneaux, est venu matérialiser la stratégie. D’ailleurs, chaque adhérent possède l’ensemble de ces outils de communication pour promouvoir la marque. Mais l’association ne veut pas s’arrêter là. « Encore cette année, nous devons poursuivre notre travail pour développer notre renommée », clamait Julien Perras, président de l’association Terra Vitis® Beaujolais Bourgogne.
A l’image de Twitter, le Web constitue donc un terrain de communication pleinement utilisé par la fédération nationale. La refonte du site internet (terravitis.com) le prouve. « Le nombre de visites s’accroit depuis qu’il a été mise à jour et embelli », commentait Jean-Henri Soumireu. La présence de la marque sur les réseaux sociaux se développe également. « La fréquentation ne cesse d’augmenter. En ce début d’année, nous avons enregistré une hausse de 63 % et 64 % de nos abonnés, respectivement sur Facebook (351 « J’aime ») et Twitter (288 « twittos ») par rapport à 2013 », complétait l’animateur de la fédération nationale de Terra Vitis®.
Internet n’est pas le seul moyen d’attraction. Les retombées presse sont aussi nécessaires pour l’association. Au point même que la parution d’articles ou la diffusion audiovisuelle de reportage sur la marque sont scrutés et comptabilisés chaque année. En 2013, 35 articles ont été consacrés à Terra Vitis, essentiellement en presse écrite (63 %). « La relation avec les médias reste importante. Plus on parlera de nous, plus on créera une émulation autour de la marque », insistait même Julien Perras dans les perspectives d’avenir pour cette nouvelle année. Quinze ans après sa création, Terra Vitis® continue ainsi son travail de promotion auprès des consommateurs, des professionnels et, probablement, de ses abonnées sur les réseaux sociaux.


L’Alsace, le Jura et maintenant la Bourgogne ?


En 2013, Terra Vitis® Beaujolais Bourgogne comptait 55 adhérents, soit une superficie de 738 ha pour une production de 39 908 hl de vins. Cette année, la fédération régionale s’est agrandie et dénombre désormais 64 viticulteurs. Cette légère augmentation s’explique par l’adhésion à la démarche de 7 exploitations jurassiennes. A l’échelle nationale, le vignoble alsacien a également rejoint le réseau Dix-huit viticulteurs alsaciens ont donc participé à la création d’une sixième association régionale. « Maintenant, il s’agit de travailler pour viser le même essor en Bourgogne où l’on compte peu d’adhérents », déclairait Jean-Henri Soumireu.


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