OGM
FNE conteste le principe d'équivalence en substance
La fédération France Nature environnement (FNE) dénonce, dans un
communiqué du 20 décembre, le principe « d'équivalence en substance »
proposée dans la réforme, en cours, des procédures d'évaluation des OGM.
Le projet de « lignes directrices » pour l'évaluation des OGM,
actuellement en discussion à Bruxelles propose en effet ce principe : «
si des analyses de la composition élémentaire et des comparaisons
phénotypiques et agronomiques ne montrent pas de différence de
composition en constituants entre une PGM (plante génétiquement
modifiée) et son homologue non GM, le pétitionnaire serait dorénavant
dispensé d'évaluation toxicologique », explique FNE évoquant une «
supercherie ».
communiqué du 20 décembre, le principe « d'équivalence en substance »
proposée dans la réforme, en cours, des procédures d'évaluation des OGM.
Le projet de « lignes directrices » pour l'évaluation des OGM,
actuellement en discussion à Bruxelles propose en effet ce principe : «
si des analyses de la composition élémentaire et des comparaisons
phénotypiques et agronomiques ne montrent pas de différence de
composition en constituants entre une PGM (plante génétiquement
modifiée) et son homologue non GM, le pétitionnaire serait dorénavant
dispensé d'évaluation toxicologique », explique FNE évoquant une «
supercherie ».
FNE demande au gouvernement français d'être ferme arguant : « loin d'être renforcée, l'évaluation des OGM en Europe serait dévoyée par un tour de passe-passe mis au point par les lobbies pro-OGM ». Et Bruno Genty, président de FNE d'ajouter : « L'agro-écologie que nous appelons aussi de nos vœux, monsieur le Ministre (de l'Agriculture), ne peut coexister avec des PGM ».
