Restaurant Vuillot à Cuiseaux
Fraîcheur et saisonnalité de rigueur
Depuis qu’il a repris la maison Vuillot il y a maintenant trois ans, Guillaume Playoust fait profiter à sa clientèle de sa longue expérience et d’un professionnalisme sans faille.
.JPG?fit=crop-center&p=w-sm,webp)
Il y a des choses qui ne trompent pas. Lorsque l’on rencontre Guillaume Playoust pour la première fois, on sent immédiatement que notre homme maîtrise à la perfection son métier. Après avoir pas mal bourlingué ces deux dernières décennies en France et même à l’étranger, il a décidé il y a trois ans de reprendre, avec son épouse Anne, l’hôtel restaurant Vuillot à Cuiseaux. Tout sauf une lubie. « Je ne suis pas venu m’installer ici par hasard. Ce lieu avait une bonne réputation et un vrai potentiel ».
Un homard sans Fred
Installé à la frontière de la Saône-et-Loire et du Jura, l’établissement ne peut faire autrement que d’être influencé par ces deux terres de gastronomie. Lorsque l’on parcourt la carte, on découvre « une cuisine du terroir originale, avec une recherche et des produits de saison. J’ai la volonté d’offrir une vraie variété ». Avec, à la clé, des menus du jour à 13 €, table de pays à 20 €, terroir à 26 €, gourmand à 33 € et gastronomique à 40 €. Concernant la table de pays, « j’ai sans doute été l’un des premiers inscrits et à mettre cela en place. C’est un carton. Cela représente 15 à 20 % de mes ventes. Je propose un poulet de Bresse fumé avec une sauce à la bière Rouget de Lisle. Mais aussi un fromage de chèvre chaud ou froid provenant d’un producteur local ». Car Guillaume Playoust fait en sorte de se fournir au plus près de chez lui.
Dans la vaste salle qui peut accueillir une cinquantaine de couverts, vous pourrez dîner en tête-à-tête avec votre bien-aimé(e) ou, à défaut, avec le homard qui se promène au gré de son humeur dans le proche vivier. Suite à la mise en bouche, l’entrée pourra par exemple prendre la forme d’un tian de légumes et de saint-jacques marinées, coulis de poivrons. Ou d’un assez remarquable foie gras aux pêches accompagné d’une compotée d’oignons. Une saveur renforcée par le pain maison qui sort tout juste du four. On passera ensuite à un onglet de veau avec churros de pommes de terre et arlésienne de légume, crème d’anchois ou à une truite que le chef vous invitera à aller pêcher directement dans le puits. « Ce n’est pas possible de trouver poisson plus frais ».
Allumer le feux !
La suite du repas dans cet ancien relais de poste donnera le sourire au plus exigeant des amateurs de fromage. Le plateau joue la carte de la diversité et de la différence avec, par exemple, une boulette d’Avesnes, la petite sœur du maroilles, un vilet frais ou un camembert au poivre. Quant au dessert, le service de la crêpe flambée vaut à lui-seul le déplacement et offre un vrai spectacle. Côté vins, le restaurant mise bien évidemment sur une belle gamme de vins du Jura avec, côté Saône-et-Loire, quelques succulents bourgognes blancs (givry, rully, saint-véran) et rouges (givry, rully, mercurey).
36 rue Edouard Vuillard à Cuiseaux, fermé dimanche soir et lundi midi. Tél. : 03.85.72.71.79.
Un homard sans Fred
Installé à la frontière de la Saône-et-Loire et du Jura, l’établissement ne peut faire autrement que d’être influencé par ces deux terres de gastronomie. Lorsque l’on parcourt la carte, on découvre « une cuisine du terroir originale, avec une recherche et des produits de saison. J’ai la volonté d’offrir une vraie variété ». Avec, à la clé, des menus du jour à 13 €, table de pays à 20 €, terroir à 26 €, gourmand à 33 € et gastronomique à 40 €. Concernant la table de pays, « j’ai sans doute été l’un des premiers inscrits et à mettre cela en place. C’est un carton. Cela représente 15 à 20 % de mes ventes. Je propose un poulet de Bresse fumé avec une sauce à la bière Rouget de Lisle. Mais aussi un fromage de chèvre chaud ou froid provenant d’un producteur local ». Car Guillaume Playoust fait en sorte de se fournir au plus près de chez lui.
Dans la vaste salle qui peut accueillir une cinquantaine de couverts, vous pourrez dîner en tête-à-tête avec votre bien-aimé(e) ou, à défaut, avec le homard qui se promène au gré de son humeur dans le proche vivier. Suite à la mise en bouche, l’entrée pourra par exemple prendre la forme d’un tian de légumes et de saint-jacques marinées, coulis de poivrons. Ou d’un assez remarquable foie gras aux pêches accompagné d’une compotée d’oignons. Une saveur renforcée par le pain maison qui sort tout juste du four. On passera ensuite à un onglet de veau avec churros de pommes de terre et arlésienne de légume, crème d’anchois ou à une truite que le chef vous invitera à aller pêcher directement dans le puits. « Ce n’est pas possible de trouver poisson plus frais ».
Allumer le feux !
La suite du repas dans cet ancien relais de poste donnera le sourire au plus exigeant des amateurs de fromage. Le plateau joue la carte de la diversité et de la différence avec, par exemple, une boulette d’Avesnes, la petite sœur du maroilles, un vilet frais ou un camembert au poivre. Quant au dessert, le service de la crêpe flambée vaut à lui-seul le déplacement et offre un vrai spectacle. Côté vins, le restaurant mise bien évidemment sur une belle gamme de vins du Jura avec, côté Saône-et-Loire, quelques succulents bourgognes blancs (givry, rully, saint-véran) et rouges (givry, rully, mercurey).
36 rue Edouard Vuillard à Cuiseaux, fermé dimanche soir et lundi midi. Tél. : 03.85.72.71.79.
